Quand on m'a raconté ces petits contes, j'ai découvert : une paire de souliers fatigués de marcher, un coucou qui joue au détective heure après heure, et un oiseau moqueur qui reçoit son baptême de l'air. L'histoire du baptême de l'air est aussi un feuilletoscope. En feuilletant les pages rapidement, tu verras l'oiseau qui vole, même à reculons et sens dessus dessous.

Le baptême de l'air et autres petits contes

Quand on m'a raconté ces petits contes, j'ai découvert... Une vague qui navigue les océans avec un canard, un très gros animal et son voisin du dessous et une araignée qui finit en queue de poisson. Mais ce n'est pas tout...

Le coucou et le chat affamé ; et autres petits contes

Comme l'a noté Patrick Moore, co-fondateur de Greenpeace au moment de la sortie de ce livre aux Etats-Unis, " le mouvement écologique a perdu son objectivité, son éthique et son humanité. Les douleurs et les souffrances qu'il inflige aux populations des pays en voie de développement sont devenues intolérables ". En cet essai lucide et courageux, Paul Driessen explique l'histoire et les tactiques des groupes radicaux qui sont au cœur de l'écologisme contemporain. Il montre comment des peurs sont disséminées dans les pays riches, et à quelles fins. Il montre aussi et surtout l'envers du décor : pendant qu'ici certains s'agitent et parlent d'apocalypse, dans les contrées pauvres du monde, des êtres humains subissent les conséquences en termes de maladies, de famines et de morts prématurées. Certaines idées, dit Driessen, pourraient, si on les examine en France ou en Amérique du Nord, sembler n'être que des idées : il importe de dire qu'à cinq ou six mille kilomètres de là, ces idées tuent et laissent derrière elles des millions de cadavres.

L'impérialisme écologique - Peurs vertes, morts noires

Quelle différence que 120 ppm a fait pour les plantes et pour les animaux et les humains qui en dépendent. Plus il y a de dioxyde de carbone dans l'atmosphère, plus il est absorbé par des plantes de chaque description - - et plus ils se développent plus rapides, même dans des conditions défavorables comme l'eau limitée, les températures de l'air extrêmement chaud ou les infestations d'insectes, de mauvaises herbes et autres ravageurs. À mesure que les arbres, les herbes, les algues et les cultures poussent plus rapidement et deviennent plus sains et plus robustes, les animaux et les humains bénéficient d'une meilleure nutrition sur une planète plus verte et plus verte.

Quelques degrés de plus seraient bons pour l'humanité et la planète, en particulier avec plus de dioxyde de carbone fertilisant pour les plantes dans l'air. [...] Mais quelques degrés de moins auraient de graves conséquences néfastes pour les habitats, la faune, l'agriculture et l'humanité."

Bloquer la construction de projets d'électricité centralisés, car le fait d'être «approprié» ou «durable», c'est condamner des milliards de personnes à la pauvreté et à des maladies continues et à des millions pour la mort prématurée.

L'imposant de nouvelles réglementations excessives ou la fermeture des centrales électriques au charbon produirait peu de prestations de santé ou environnementales. Mais cela impliquerait d'énormes coûts sur la société - et amènerait les usines, les bureaux et les économies à un terme hurlant dans les États qui dépendent de 80 à 98% du charbon: Indiana, Kentucky, Missouri, Dakota du Nord, Ohio, Utah, Virginie-Occidentale et Wyoming.

Le jour où le monde manque de pétrole est beaucoup plus éloigné à l'avenir que les militants verts ne veulent l'admettre. Cela ressort clairement des données compilées par le Dr Robert Bradley, Jr. à l'Institute for Energy Research.

Le fait de ne pas utiliser de combustibles fossiles est en train de ne pas utiliser d'énergie. C'est le suicide économique et l'éco-braffe.

Si les fanatiques technophobes d'aujourd'hui [militants environnementaux] avaient été en charge au cours des siècles précédents, nous devions faire avancer les progrès humains au Moyen Âge - et au-delà, car même le feu, le roue et l'agriculture biologique pose des risques, et aucun n'aurait réussi le " Sécurité absolue "Testez la demande des fanatiques. Les mettre en charge maintenant signifierait une fin de progrès et une privation perpétuelle pour les habitants des pays en développement.

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