Paul Heyse was a great German novelist who was awarded the Nobel Prize in Literature in 1910.
His father was a celebrated scholar and professor at the University; and he himself, while still a student, undertook a special tour in Italy in order to examine manuscripts in the libraries of Florence, Rome, and Venice.
Whoever casts a glance on the long row of closely printed volumes which form Paul Heyse's complete works, and remembers that the author was born in the year 1830, will first of all be apt to exclaim, "What industry!" Involuntarily he will trace back this astonishing productiveness to a will power of rare endurance. None the less, however, does it owe its origin to a singularly fortunate nature. This nature possessed within itself so luxuriant a fruitfulness that it has yielded its harvest without the least effort of the will, without any undue exertion; it has yielded a harvest of such variety that we might believe it to be fostered according to a defined plan and with a painstaking will; nevertheless, it has obviously been permitted to act with thorough independence...

Paul Heyse : the German Eminent Author

Paul Heyses Weihnachtgeschichten:

Eine Weihnachtsbescherung.

Das Freifräulein.

Die Geschichte von Herrn Wilibald und dem Frosinchen.

Die Dryas.

Weihnachtsgeschichten

Paul Heyses vier Meisternovellen. Seine Jugenderinnerungen und Bekenntnisse bieten Beschreibungen berühmter Männer sowie literarische Porträts seiner Freunde: u. a. Adolph Menzel, Emanuel Geibel, Theodor Fontane, Hermann Kurz, Ernst Wichert, Ludwig Laistner. Episoden und Eskapaden. Berlin, Rom, München. Bericht und Beurteilung des 19. Jahrhunderts.

Paul Heyses Meisternovellen und Autobiographisches - L'Arrabbiata, Andrea Delfin, Die Einsamen, Der letzte Zentaur, Jugenderinnerungen und Bekenntnisse

Je suis né à Berlin le 15 mars 1830, le deuxième fils du professeur de l'Université royale K. W. L. Heyse et de son épouse Julie, née Saaling, venue d'une famille juive.

Après avoir fréquenté le gymnase entre mes huitième et dix-septième années, j'ai étudié la philologie classique à l'Université de Berlin pendant deux ans avec Boeckh et Lachmann, et avec le soutien amical d'Emanuel Geibel et de Franz Kugler, j'ai touché à toutes sortes de poésie.

À Bonn, où j'ai étudié pendant un an, je suis passé de la philologie classique à la philologie romantique, enseigné par son grand fondateur, F. Diez, et au début de 1852, j'ai reçu le doctorat pour une thèse sur le refrain dans la poésie provençale.

Au printemps de 1854, certaines de mes publications ont persuadé le roi Maximilian II de Bavière de m'offrir, à la suggestion d'Emanuel Geibel, un poste à Munich avec un salaire annuel de 1000 guildeurs, pour participer à ses soi-disant symposiums, chaque semaine par semaine Soirees où les universitaires et les poètes ont été rassemblés.

Ses oeuvres

Ses derniers livres