I think I should scarcely trouble the reader with a special appeal in behalf of this book, if it had not specially appealed to me for reasons apart from the author's race, origin, and condition. The world is too old now, and I find myself too much of its mood, to care for the work of a poet because he is black, because his father and mother were slaves, because he was, before and after he began to write poems, an elevator-boy. These facts would certainly attract me to him as a man, if I knew him to have a literary ambition, but when it came to his literary art, I must judge it irrespective of these facts, and enjoy or endure it for what it was in itself.

The Complete Poems

Paul Laurence Dunbar, né le 27 juin 1872 à Dayton dans l’Ohio et mort le 9 février 1906  dans cette même ville, est un écrivain américain.

Ceci, cela doit en effet être précisé, car si nous aimons les mortels, ou si nous chantons, nous comptons nos joies non pas par ce que nous avons, mais par ce qui nous a tenus de cette chose parfaite.

J'espère qu'il y a quelque chose de digne dans mes écrits et pas seulement la nouveauté d'un visage noir associé au pouvoir de rimer qui a attiré l'attention.

... nous portons le masque qui sourit et qui ment, il cache nos joues et ombrage nos yeux - cette dette que nous payons à la ruse humaine ; avec des cœurs déchirés et saignants, nous sourions.

Prenant tout cela en tout et après tout, la vie nègre à Washington est une promesse plutôt qu'un accomplissement. Mais il est à noter pour les choses vraiment excellentes qui sont promises

Mais une prière qu'il envoie du noyau profond de son cœur.

Pauvre humanité vaniteuse! Les interprètes de Dieu en effet.

Une croûte de pain et un coin pour dormir. Une minute pour sourire et une heure pour pleurer. Une pinte de joie pour une pinte d'ennuis, et jamais un rire, mais les gémissements viennent en double. Et c'est ça la vie. Une croûte et un coin qui rendent l'amour précieux, Avec un sourire pour nous réchauffer et des larmes pour nous rafraîchir, Et la joie semble plus douce quand les soucis viennent après, Et un gémissement est le plus beau des prétextes pour le rire. Et c'est cela la vie.

Vous êtes doux, ô amour, cher amour, vous êtes doux comme la colombe nicheuse.

Oh, comment avec plus que des rêves, l'âme est déchirée, le sommeil se résume pour apaiser les yeux fatigués.

Nous portons le masque qui sourit et ment, il cache nos joues et nos ombres, - - cette dette que nous payons à la ruse humaine; Avec des cœurs déchirés et saignants, nous sourions et bouche avec une myriade de subtilités. Pourquoi le monde devrait-il être autrement, en comptant toutes nos larmes et nos soupirs? Non, laissez-les voir seulement, pendant que nous portons le masque. Nous sourions, mais, ô grand Christ, nos cris à toi des âmes torturées surgissent. Nous chantons, mais oh l'argile est vil sous nos pieds, et long le mile; Mais laissez le monde rêver autrement, nous portons le masque!

L'âge est matérialiste. Le verset ne l'est pas. Je dois être avec l'âge, donc j'écris de la prose.

Je sais ce que ressent l'oiseau en cage, hélas!

Nous réduisons la divinité aux fractions vulgaires. Nous plaçons nos propres petites ambitions et les étiquetons? Messages divins ?. Avec notre vue à court terme, nous affectons pour prendre une vision globale de l'éternité.

Ce que Joe Hamilton manquait plus que toute autre chose au monde, c'était quelqu'un pour lui donner un coup de pied. Beaucoup d'un homme qui aurait pu vivre décemment et devenir un citoyen assez respectable est allé chez les chiens faute de quelqu'un pour administrer un bon coup de pied retentissant au bon moment. Il est correctif et clarifiant.

C'est une farce, - ces histoires qu'ils racontent sur les brises soupires, et gémit Astir O'er Field et Dell, parce que l'année est en train de mourir.

Léger était la chose que j'ai achetée, la petite était la dette que je pensais, la pauvre était le prêt au mieux - Dieu! Mais l'intérêt!

Les gens tiennent pour acquis que [le nègre] ne devrait pas travailler avec sa tête. Et il est si facile pour ces personnes parmi lesquelles nous vivons pour le croire; Il flatte et satisfait leur auto-complication.

Nous portons le masque qui sourit et ment.

Une minute pour sourire et une heure pour pleurer, Une pinte de joie pour un baiser de trouble, Et jamais un rire mais les gémissements doublent ; Et c'est la vie !

Washington est la ville où les grands hommes des petites villes deviennent désillusionnés

Avec notre vue à court terme, nous affectons pour prendre une vision globale de l'éternité. Notre horizon est l'univers.

Tout jeu et aucun travail fait de Jack un simple jouet.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Laurence_Dunbar

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