Questa è una storia che comincia nel 1934 in una casa verde in un villaggio nell'estremo Nord della Svezia. È una storia che rimbalza tra Uppsala, Copenaghen, Parigi, Los Angeles, Broadway, Reykjavík e Berlino, e che (non) finisce ai giorni nostri. È la storia di un bambino quasi perfetto, di un ragazzo baciato dal talento e dal successo, di un uomo devastato dall'alcolismo. È la storia di chi suo malgrado si è sempre trovato al centro della Storia, e si è sentito in dovere di osservare. È una storia sulla nascita del terrorismo alle Olimpiadi di Monaco, sul processo alla banda Baader-Meinhof, sulla Mano di Dio di Maradona, sulla caduta del Muro di Berlino vista da piazza Venceslao. E Olof Palme, Rudolf Nurejev, Ingmar Bergman hanno i loro cammei. È una storia che se è cominciata così bene come ha potuto finire così male? È una storia di solitudine e resurrezione, dove si scopre che non sono le domande a essere sbagliate, ma quasi sempre lo sono le risposte, taglienti come ghiaccio, implacabili e fondamentaliste. È una storia sulla vita, l'unica, quella che non viene restituita quando la prima è stata sprecata. È la storia di un intellettuale che non solo ha raccontato la nostra epoca come pochi hanno saputo fare, ma vi ha anche lasciato un segno profondo. È la storia più onesta, lucida e coinvolgente che Per Olov Enquist abbia mai raccontato. È la sua storia.

Un'altra vita

En 1770, alors que le jeune roi du Danemark, Christian VII, est atteint de folie, quelques nobles mènent a eux seuls les affaires du royaume. Contraint d'épouser l'héritière de la famille royale anglaise, le roi lui préfère une prostituée, aussitôt écartée par la Cour. Christian VII part alors à travers l'Europe pour retrouver sa chère disparue. Dans ce climat de confusion, les conseillers commettent l'erreur de convoquer au palais le docteur Struensee : instruit et progressiste, ce dernier obtient les faveurs de son roi, se rapproche de la reine délaissée et occupe une place que beaucoup lui disputent. En butte aux complots de toute sorte, le médecin signe de fait son arrêt de mort. Sous couvert d'un sujet historique, Per Olov Enquist met en scène les grands conflits d'idées du Siècle des lumières à travers des personnages emblématiques et intemporels. En 1770, alors que le jeune roi du Danemark, Christian VII, est atteint de folie, quelques nobles mènent a eux seuls les affaires du royaume. Contraint d'épouser l'héritière de la famille royale anglaise, le roi lui préfère une prostituée, aussitôt écartée par la Cour. Christian VII part alors à travers l'Europe pour retrouver sa chère disparue. Dans ce climat de confusion, les conseillers commettent l'erreur de convoquer au palais le docteur Struensee : instruit et progressiste, ce dernier obtient les faveurs de son roi, se rapproche de la reine délaissée et occupe une place que beaucoup lui disputent. En butte aux complots de toute sorte, le médecin signe de fait son arrêt de mort. Sous couvert d'un sujet historique, Per Olov Enquist met en scène les grands conflits d'idées du Siècle des lumières à travers des personnages emblématiques et intemporels.

Le Médecin personnel du roi

Utilisant des écrits de Blanche Wittman, favorite du Docteur Charcot puis assistante de Marie Curie, Per Olov Enquist une nouvelle fois s'interroge sur la force de l'amour confronté à la monstruosité et à la mort.

Blanche et Marie

Dans une petite communauté suédoise, l'échange de deux bébés confondus à la naissance provoque des déchirements douloureux remplis de honte et de culpabilité.

La bibliothèque du capitaine Nemo

Danemark 1770. Le pays est officiellement dirigé par le roi Christian VII, mais le pouvoir est entre les mains de quelques conseillers calculateurs. Névrosé, à demi fou, le souverain a peur de sa jeune épouse et lui préfère une prostituée que la Cour ne tarde pas à éloigner. Alors, Christian VII part à travers l'Europe pour retrouver sa chère disparue. Avant son départ, les conseillers ont pris soin d'affecter à son service un médecin nommé Struensee, homme du peuple, instruit et progressiste, dont l'influence sur Christian VII va, à leur corps défendant, devenir considérable. Au retour du voyage en Europe, alors qu'une grande confiance s'est instaurée entre les deux hommes, Struensee se rapproche de la jeune reine délaissée, tout en se consacrant à la mise en place de réformes irrecevables pour la noblesse. En butte aux complots et aux manœuvres de toute sorte, le médecin personnel du roi signe de ce fait son arrêt de mort... Après quelques années de silence, Per Olov Enquist retrouve ici, sous couvert d'un sujet historique, la thématique du pouvoir, de la liberté de l'individu puis de la décadence. Fondé sur l'Histoire, ce roman théâtral et puissant met en scène des personnages emblématiques et intemporels, un trio magnifique composé par le roi, la reine et le médecin, lancés dans une danse de mort orchestrée par des spectres.

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement suédois décide de renvoyer en Union soviétique des réfugiés militaires originaires des pays baltes. Aussitôt s'engage dans l'opinion publique un vaste débat qui prend peu à peu les dimensions d'une affaire Dreyfus. Roman, pamphlet, récit historique, enquête, L'Extradition des Baltes est pour Per Olov Enquist l'occasion d'explorer, sous ses aspects concrets ou fantasmatiques, un des épisodes les plus douloureux de l'histoire suédoise moderne. Publié en Suède en 1968, ce livre est encore aujourd'hui d'une actualité criante tant il expose sans détour les arcanes de la vie politique d'un Etat ; il apporte une contribution exemplaire aux discussions relatives au droit d'asile et à la justice internationale.

L'Extradition des Baltes

Enquist è scrittore che ama provocare: dalla scelta dei temi, scottanti problemi di storia o di attualità, a quella dei protagonisti, spesso grandi mistificatori o mostri, fino allo stile, secco e senza concessioni, vuole scuotere, suscitare reazioni, scardinare facili risposte acquisite. Come Sciascia, parte spesso da fatti reali per costruire la sua opera sul margine sottile che corre fra documenti e invenzione. Così il suo Strindberg: Una vita: non una biografia, ma un punto di vista personale, in cui l'autore fa gli inevitabili conti che ogni scrittore svedese si trova prima o poi a dover fare con l'ingombrante « padre », il « monumento nazionale », che fu però al centro di scandali e processi, osannato e insultato, ora in trionfo e ora bandito. Era una figura complessa e contraddittoria: misogino che ebbe tre mogli da cui fu amato e odiato con passione, socialista anarchico, ma affascinato da Nietzsche, mistico visionario, ma processato per vilipendio alla religione, pittore solitario e inquieto nomade, fotografo e alchimista, artista che visse in prima persona tutti i fermenti del suo tempo. La vita è raccontata per immagini, con l'immediatezza, l'efficacia e la facilità del linguaggio visivo. Si tratta, infatti, di un « romanzo televisivo », servito da sceneggiatura per una serie a puntate trasmessa sui teleschermi di mezza Europa. Enquist scrive di Strindberg come in un dramma di Strindberg, punta i riflettori sui lati nascosti e sceglie intenzionalmente episodi forti o ambigui ponendo al centro della scena non tanto l'artista, ma l'uomo del suo tempo, l'epoca da cui è scaturita la nostra, e l'uomo nella vita quotidiana, con i dubbi e le illusioni che fanno ogni giorno la nostra.

Strindberg: una vita

Ce volume contient les six textes suivants : Le Cinquième hiver du magnétiseur / Hess / Le Départ des musiciens / Le Second / L'Ange déchu / La Bibliothèque du Capitaine Némo

Oeuvres romanesques - Tome 1

Marie Stuart

"Le rôle que joue Knut Hamsun dans le souvenir de la plupart des Norvégiens d'aujourd'hui est celui du traître à sa pairie. Le rôle qu'il joua comportait cependant de nombreuses autres facettes : c'est un patriote, un écrivain national, un traître à sa patrie, un agitateur, un personnage médiatique, un intermédiaire pour quelques dirigeants politiques mondiaux ; mais lui-même pensait en jouer un autre : le rôle de celui qui désire sauver le pays. Dont il aimait la terre. Mais fut-il jamais nationaliste ? Que pensait-il réellement de la Norvège ? Cela complique la danse de mort. Il s'agit cependant d'un drame de l'amour." (Extrait de l'introduction)
Dans ce récit qui est aussi le scénario d'un film réalisé par Jan Troell, avec Max von Sydow dans le rôle principal, Per Olov Enquist, utilisant des documents avérés - sur l'entrevue d'Hitler et d'Hamsun, notamment -, s'attache à narrer la dernière tragédie intime de ce lauréat du prix Nobel de littérature qui, durant la Deuxième Guerre mondiale, prit, à quatre-vingt-trois ans, nettement parti pour l'Allemagne hitlérienne, précipitant ainsi son exclusion et son déclin.
De Per Olov Enquist, Actes Sud a déjà publié L'Extradition des Baltes (1985), L'Ange déchu (1986), Le Second (1989), La Bibliothèque du capitaine Nemo (1992).

Hamsun

Celui qui, en sport, reste dans l'ombre du champion, comme le fils dans celle de son père, jusqu'à ce que le mythe s'écroule.

Le second

A la fin du xviiie siècle, la petite ville de seefond est le théâtre d'événements exceptionnels : le  thaumaturge friedrich meisner, aventurier et manipulateur, prend le pouvoir sur les esprits en créant l'illusion.
 Ses passes magnétiques guérissent les malades et changent le docteur selinger, homme de science rationaliste, en un témoin subjugué.  un hiver durant, la crédulité des foules va hisser le magnétiseur au sommet d'une ville béate, puis dubitative et dès lors vindicative.  parabole sur la montée du fascisme et les limites du scepticisme, le cinquième hiver du magnétiseur est avant tout le récit envoûtant de l'ascension et de la chute d'un homme possédé par sa propre vision, un roman fascinant qui mêle vérité et mensonge pour faire surgir, des derniers feux du siècle des lumières, l'obscurité de l'équivoque et de l'incertitude.

Le cinquième hiver du magnétiseur

Il viaggio di Lewi è il cammino di una vita, la storia del "più grande leader spirituale che la Svezia abbia mai avuto", un Pilgrim's Progress che attraversa il Novecento, gettando nuova luce sul processo che ha fatto di una nazione povera uno dei modelli più avanzati della modernità. Lewi Pethrus: chi era quel piccolo "venditore ambulante del Västergötland", idealista senza grande educazione, attivo nei primi sindacati, che sogna di diventare scrittore e finisce predicatore, chiamato da Dio nella piccola comunità Filadelfia di Stoccolma, da cui fonderà il movimento Pentecostale svedese, trasformandolo in un "impero"? E chi è Sven Lidman, poeta erotico, seduttore, arrivista, autore di romanzi ambientati in quell'alta società in cui è entrato di straforo, che trova nel movimento la salvezza dalla morte interiore, diventandone l'altra figura carismatica? I due "gemelli di Dio", opposti e complementari, l'organizzatore e l'incantatore di folle, il costruttore e l'intellettuale, l'uomo dei diseredati e il poeta che rivoluziona la predicazione, due pianeti che fatalmente si avvicinano, attratti nelle reciproche orbite fino a un'inevitabile collusione. Non è mai per giudicare che Enquist sceglie per protagonisti i più controversi personaggi della storia, ma per cercare di capire la complessità umana e il presente, interrogando il passato: non c'è via d'uscita ai meccanismi del potere? È fatale che ogni grande ideale per diffondersi si trasformi in istituzione, che ogni movimento popolare diventi chiesa o partito, perdendo la fiamma interiore, l'anima rivoluzionaria? Qual è il legame tra illuminismo, socialismo e una fede religiosa che predica il battesimo dello Spirito, il parlare in lingue, le guarigioni miracolose, diffusa tra più di duecentocinquanta milioni di persone nel mondo? Ma non è un caso che i fatti vengano visti attraverso la testimonianza di un terzo personaggio: il mite Efraim. Scavando nelle radici, anche in Lewi e Sven Enquist riconosce se stesso, ma il suo cuore resta dalla parte degli esclusi dal potere, dei semplici che ci credono davvero, degli anonimi che non hanno voce e forse per questo "parlano in lingue", e sulla cui tomba si può scrivere: "Era umile, ma fece del suo meglio".

Il viaggio di lewi

Per Olov Enquist, qui signe souvent P.O. Enquist, né le 23 septembre 1934 à Hjoggböle (Suède) et mort le 25 avril 2020 à Vaxholm (Suède), est un écrivain, dramaturge, scénariste et journaliste suédois.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Per_Olov_Enquist

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