Focusing on families and their shared traits makes bird identification easier than ever. This guide takes readers beyond merely identifying birds to understanding them. Many birders can tell the difference between a White-eyed and Bell's Vireo but cannot begin to describe a vireo and what distinguishes members of this family from warblers or flycatchers. The "species by species" approach makes it difficult to appreciate birds for what they are: members of well-organized groupings united by common traits. Putting the focus on families, and their shared characteristics, makes bird identification easier and more meaningful. More than 150 color photos illustrate the 81 bird families of the United States and Canada.

Bird Families Of North America

The Arctic doesn't spring to mind when most people think about autumn. Yet in his continuing effort to invite readers' curiosity through unpredictability, Pete Dunne pairs the transitional season of autumn with this fragile environment in flux. The book begins on Bylot Island in Nunavut, Canada, at the retreating edge of the seasonal ice sheet, then moves to Alaska, where the needs of molting geese go head to head with society's need for oil. Then on to the Barren Lands of Canada and a search for the celebrated caribou herds that mean life and death for human and animal predators alike. A canoe trip down the John River is filled with memories, laughter, and contemplation. A caribou hunt with a professional trapper leads to a polemic on hunting. Dunne travels to an island in the Bering Sea, off the coast of Alaska, to look for rare birds and ponder the passionate nature of competitive bird listers. No trip to the Arctic would be complete without a trip to see polar bears, so Dunne and his wife visit Churchill, Manitoba, the polar bear capital of the world. These majestic but threatened creatures lead Dunne to think about his own life, our interactions with the natural world, and the importance of the Arctic, North America's last great wilderness.

Arctic Autumn - A Journey to Season's Edge

Bypassed by time and "Joisey" Shore-bound vacationers, the marshes and forests of the Bayshore constitute one of North America's last great undiscovered wild places. Sixty million people live within a tank of gas of this environmentally rich and diverse place, yet most miss out on the region's amazing spectacles. Bayshore Summer is a bridge that links the rest of the world to this timeless land. Pete Dunne acts as ambassador and tour guide, following Bayshore residents as they haul crab traps, bale salt hay, stake out deer poachers, and pick tomatoes. He examines and appreciates this fertile land, how we live off it and how all of us connect with it. From the shorebirds that converge by the thousands to gorge themselves on crab eggs to the delicious fresh produce that earned the Garden State its nickname, from the line-dropping expectancy of party boat fishing to the waterman who lives on a first-name basis with the birds around his boat, Bayshore Summer is at once an expansive and intimate portrait of a special place, a secret Eden, and a glimpse into a world as rich as summer and enduring as a whispered promise.

Bayshore Summer - Finding Eden in a Most Unlikely Place

J'adore l'opportunité d'aller là-bas pendant 40 minutes et de lutter, et d'avoir ce temps pour engager l'histoire et avoir un brillant match technique de lutte.

J'ai toujours eu l'état d'esprit, même sur des émissions indépendantes, que même si le public savait qui j'étais, je le traitais comme s'ils ne l'ont pas fait. Chaque fois que je veux leur apprendre qui je suis et leur montrer de quoi je fais.

Je pense que beaucoup de lutte tourne autour de la perspective de type bodybuilding sur la nutrition, alors que j'ai une approche différente; Je suis bien plus concentré sur la longévité et je m'assure de faire entrer ces micronutriments et de manger un tas de bien biologiques aussi souvent que possible.

J'adorerais faire WrestleMania - si c'était possible, j'aimerais défendre le titre britannique à Wrestlemania, et qui sait - dans quelques années, que je sois le premier champion britannique de la WWE, ou peut-être le second ou Troisièmement, c'est définitivement un objectif que j'aimerais atteindre.

Pour moi, ce fut la première ère indépendante d'AJ Styles, Samoa Joe, Daniel Bryan qui m'a inspiré et ils étaient dans des salles de sport et des petites lieux crasseux ayant de fantastiques matchs de lutte et c'est ce qui m'a séduit à propos de la lutte à l'époque.

Le principal défi est de faire partie d'une équipe de tag, où vous n'avez jamais fait de trucs d'équipe de tag auparavant, même pour trouver de nouveaux mouvements et idées.

Lors des spectacles indépendants, la foule est très impliquée et il s'agit d'interagir avec le public en direct. Avec la WWE, c'est moins important et il s'agit davantage de dépeindre votre personnage et de le faire passer au plus grand nombre de personnes que possible.

Je recevais beaucoup de tweets de personnes disant que Shawn Michaels avait parlé de moi sur le podcast de Chris Jericho, puis j'ai pu rencontrer Shawn Michaels quand j'étais en Floride.

William Regal est une influence évidente, tout comme Finlay - vous pouvez le voir dans mon style de lutte - mais j'essaie de ne pas copier trop de ce que je vois maintenant car cela faisait partie de mon problème dès le début.

J'ai la chance d'avoir cette carrière où je n'ai pas passé du temps à clouer sur une seule marque.

Cela a toujours été la voie en Grande-Bretagne. Je ne suis pas sûr de ce que c'est, mais ça a toujours été un cliché ici que nous commençons à lutter contre environ 10 ans. Je suis vraiment content d'avoir eu l'occasion parce que cela m'a donné un énorme coup de tête.

Personnellement, je n'ai rien entendu, mais la WWE n'a pas exactement été silencieuse sur le fait que leur objectif est de faire un spectacle de marque britannique à temps plein. Ils ont été assez ouverts à ce sujet depuis le début.

Si je pouvais affronter quelqu'un à tout moment de Wrestlemania, ce serait Mark Andrews.

J'ai en quelque sorte vu quelques itérations de NXT, mais la seule constante est que c'est un vestiaire compétitif de manière positive.

J'étais en Chine pendant 3 mois, faisant une tournée et je faisais équipe avec CJ Banks. Nous avions besoin d'un nom et c'était à l'époque du Cruiserweight Classic. Nous pensions que Bruiserweight était un nom assez drôle.

Je pensais que je pouvais aller me faire un plus grand nom sur les indépendants et peut-être au Japon, des endroits comme ça.

Vous ne verrez pas beaucoup de monnaie flashy et fantaisie, mais vous verrez un style graveleux et dur, que vous n'aurez pas vu auparavant de nombreuses autres personnes.

Je suis un défenseur d'être végétalien à part entière. C'est ma façon idéale que j'aimerais que les gens vivent, mais la clé est de manger aussi peu d'aliments transformés et un régime plus entier de type aliments que possible.

J'ai commencé à lutter à Coventry dans un centre communautaire délabré juste sur des tapis, nous n'avions même pas d'anneau.

Évidemment, je suis vraiment occupé, m'intégrant dans les trucs de la WWE et des apparences comme celle-ci maintenant, tous les événements que j'ai faits et les tournées de Smackdown, puis voyageant. Je suis juste allé à Singapour, je suis allé au Canada ... partout dans le monde.

Je m'appelle «le bruiserweight». Je correspond à la catégorie de poids d'un Cruiserweight, mais je ne lutte pas comme votre Cruiserweight moyen.

J'ai été végétalien, je pense que c'est comme trois ou quatre ans maintenant. Donc, quand je suis devenu végétalien pour la première fois, je me souviens avoir dit que c'était beaucoup mieux et que je me sens comme ça. Je suis végétalien depuis si longtemps, cependant, que je ne me souviens pas vraiment à quel point cela ferait une différence.

Je pense que je vais toujours avoir le mal du pays. Même si Orlando est incroyable et que le soleil est toujours couché, je manquerai toujours Birmingham. Je ne sais pas ce que c'est.

J'ai toujours essayé d'être le bon gars et d'imiter ce que faisaient mes lutteurs préférés - des gens comme AJ Styles - mais mon personnage a commencé à cliquer quand je suis devenu mauvais.

Trent Seven ne m'aurait pas laissé aller à un essai portant des chaussettes.

Pour moi et Tyler Bate, pour aller là-bas et montrer ce que nous pouvons faire devant un public qui n'est probablement pas si familier avec ce que nous faisons, je suis reconnaissant.

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