Philip Baker Hall
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@philipBakerHall
Pinchas Perry, le directeur de «The Chicago 8», m'a offert le rôle du juge, et il ne savait pas que, 35 ans plus tôt, j'avais joué un juge dans la production théâtrale. La vie a donc ses propres petits rebondissements.
@philipBakerHall
"Mariah" a été le premier rôle régulier pour moi, et c'est vraiment grâce à "Secret Honor". C'était vraiment le résultat direct de cela. Parce que maintenant j'avais un agent et j'étais soumis pour ce rôle, pour James Malone. Et... j'étais le premier choix du directeur de casting pour James Malone.
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Plus le budget est gros, plus vous devez coordonner et ce n'est pas facile de le faire toujours parce que non seulement les gens ont du mal à communiquer de cette façon, mais il y a souvent des désaccords internes et que tout le monde n'est pas nécessairement sur la même longueur d'onde. Même dans un film à gros budget avec des acteurs et réalisateurs célèbres, tout le monde pourrait être sur une page complètement différente. Le réalisateur doit trouver un moyen d'amener tout le monde sur la même longueur d'onde, plus ou moins, et les garder là-bas.
@philipBakerHall
Good Times" s'est déroulé devant un public, avec trois caméras, et c'était vraiment intimidant. Il y avait des gens des deux côtés, qui se déplaçaient d'un plateau à l'autre, et c'était assez effrayant. Comme je l'ai dit, je n'avais aucune base à Hollywood. Je ne connaissais pratiquement personne. Juste au niveau social. Je me suis sentie assez isolée ici, vraiment.
@philipBakerHall
Certains réalisateurs ne disent pas grand-chose. Michael Mann, par exemple. Je me souviens que sur «l'initié», il n'a jamais eu grand-chose à dire. Il ferait une scène, en quelque sorte un signe de tête, puis le préparait pour le refaire. Et vous pourriez faire une scène 10 ou 12 fois ou plus, le même petit bit de 31 secondes. Et on pouvait dire qu'il n'était pas satisfait, mais il ne dirait pas grand-chose.
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Good Times" s'est déroulé devant un public, avec trois caméras, et c'était vraiment intimidant. Il y avait des gens des deux côtés, qui se déplaçaient d'un plateau à l'autre, et c'était assez effrayant. Comme je l'ai dit, je n'avais aucune base à Hollywood. Je ne connaissais pratiquement personne. Juste au niveau social. Je me suis sentie assez isolée ici, vraiment.
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Depuis que j'étais au lycée, ma vie tournait vraiment autour du théâtre en direct, donc c'est presque génétique.
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Les pièces sont un très grand engagement. Cela prend vraiment un minimum de trois mois de votre vie, vraiment. Et si vous avez de la famille ou des enfants, au moins pendant la période de répétition pendant cinq ou six semaines, vous dites en quelque sorte au revoir à tout le monde.
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Good Times" s'est déroulé devant un public, avec trois caméras, et c'était vraiment intimidant. Il y avait des gens des deux côtés, qui se déplaçaient d'un plateau à l'autre, et c'était assez effrayant. Comme je l'ai dit, je n'avais aucune base à Hollywood. Je ne connaissais pratiquement personne. Juste au niveau social. Je me suis sentie assez isolée ici, vraiment.
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Pinchas Perry, le directeur de «The Chicago 8», m'a offert le rôle du juge, et il ne savait pas que, 35 ans plus tôt, j'avais joué un juge dans la production théâtrale. La vie a donc ses propres petits rebondissements.