Philip Caputo
@philipCaputo
Je suis un Midwesterner de naissance, et quand j'ai voyagé là-bas, quand j'étais jeune, la plupart des petites villes étaient des endroits florissants et vibrants.
Philip Caputo
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@philipCaputo
Je suis un Midwesterner de naissance, et quand j'ai voyagé là-bas, quand j'étais jeune, la plupart des petites villes étaient des endroits florissants et vibrants.
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La croyance est un virus, et une fois qu'elle pénètre en vous, sa première tâche est de se préserver, et la façon dont elle se préserve est de vous empêcher d'avoir des doutes, et la façon dont elle vous empêche de douter est de vous aveugler. la façon dont les choses sont vraiment. Des preuves contraires à la croyance peuvent vous regarder droit dans les yeux et vous ne les verrez pas... Les vrais croyants ne voient tout simplement pas les choses telles qu'elles sont, car s'ils le faisaient, ils ne seraient plus de vrais croyants. .
@philipCaputo
Dans une guérilla, la frontière entre le meurtre légitime et illégitime est floue. Les politiques de zones de tir libre, dans lesquelles un soldat est autorisé à tirer sur toute cible humaine, armée ou non armée, confonde davantage les sens moraux de l'homme des combats.
@philipCaputo
Il est paradoxal que la mort de votre carrière soit en dehors du point et en même temps tout le point. Une poursuite sans tuer comme objet est comme un voyage sans destination; Une mise à mort sans poursuite en employant tout le métier du chasseur tue, pas à la chasse.
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Les vrais croyants ne voient tout simplement pas les choses comme elles le sont, car s'ils le faisaient, ils ne seraient plus de vrai croyants.
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Je suppose que chaque génération est condamnée à lutter contre sa guerre ... subir la perte des mêmes vieilles illusions et apprendre les mêmes anciennes leçons.
@philipCaputo
Il y a la culpabilité que tous les soldats ressentent d'avoir cassé le tabou contre le meurtre, une culpabilité aussi vieille que la guerre elle-même. Ajoutez à cela le sentiment de honte du soldat d'avoir combattu dans des actions qui ont résulté, indirectement ou directement, dans la mort de civils. Ensuite, accumulez une attitude d'opprobrium social, une attitude qui a fait que le combattant se sentait personnellement moralement responsable de la guerre, et vous obtenez votre bombe proverbiale de marche.
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Être correspondant à la guerre du Vietnam pour moi a été de m'exposer au danger, mais ce n'était pas complètement égoïste. Je sentais qu'il y avait ces lieux sombres de la terre, des choses sombres se passaient et que les gens devraient les connaître. Appelez cela mon obligation morale d'aller les voir et les signaler.
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Le démêlage que j'ai vécu beaucoup plus tôt dans la guerre du Vietnam que beaucoup de gens ne le pensent, était dû aux expériences immédiates de Foxhole. Mais une fois que je suis rentré chez moi et que j'ai commencé à suivre la guerre à la télévision et dans la presse, j'ai commencé à voir cet énorme jeu de con - je ne peux penser à aucun autre mot pour cela - ce gouvernement et l'armée imposaient au peuple américain , surtout sur les jeunes hommes de ma génération, et pire encore, les jeunes hommes de ma génération qui n'étaient pas particulièrement privilégiés économiquement ou intellectuellement.
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Il est paradoxal que la mort de votre carrière soit en dehors du point et en même temps tout le point. Une poursuite sans tuer comme objet est comme un voyage sans destination; Une mise à mort sans poursuite en employant tout le métier du chasseur tue, pas à la chasse.
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La croyance est un virus, et une fois qu'elle pénètre en vous, sa première tâche est de se préserver, et la façon dont elle se préserve est de vous empêcher d'avoir des doutes, et la façon dont elle vous empêche de douter est de vous aveugler. la façon dont les choses sont vraiment. Des preuves contraires à la croyance peuvent vous regarder droit dans les yeux et vous ne les verrez pas... Les vrais croyants ne voient tout simplement pas les choses telles qu'elles sont, car s'ils le faisaient, ils ne seraient plus de vrais croyants. .
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Il y a la culpabilité que tous les soldats ressentent d'avoir cassé le tabou contre le meurtre, une culpabilité aussi vieille que la guerre elle-même. Ajoutez à cela le sentiment de honte du soldat d'avoir combattu dans des actions qui ont résulté, indirectement ou directement, dans la mort de civils. Ensuite, accumulez une attitude d'opprobrium social, une attitude qui a fait que le combattant se sentait personnellement moralement responsable de la guerre, et vous obtenez votre bombe proverbiale de marche.
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En temps de guerre, le degré de patriotisme est directement proportionnel à la distance par rapport à l'avant.
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Vous allez apprendre que l'une des choses les plus brutales du monde est votre garçon américain moyen de dix-neuf ans.
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Il y a la culpabilité que tous les soldats ressentent d'avoir cassé le tabou contre le meurtre, une culpabilité aussi vieille que la guerre elle-même. Ajoutez à cela le sentiment de honte du soldat d'avoir combattu dans des actions qui ont résulté, indirectement ou directement, dans la mort de civils. Ensuite, accumulez une attitude d'opprobrium social, une attitude qui a fait que le combattant se sentait personnellement moralement responsable de la guerre, et vous obtenez votre bombe proverbiale de marche.
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Dans une guérilla, la frontière entre le meurtre légitime et illégitime est floue. Les politiques de zones de tir libre, dans lesquelles un soldat est autorisé à tirer sur toute cible humaine, armée ou non armée, confonde davantage les sens moraux de l'homme des combats.
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Guerre, le moyen le plus pratique de l'homme ordinaire de s'échapper de l'ordinaire.
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Il y a la culpabilité que tous les soldats ressentent d'avoir cassé le tabou contre le meurtre, une culpabilité aussi vieille que la guerre elle-même. Ajoutez à cela le sentiment de honte du soldat d'avoir combattu dans des actions qui ont résulté, indirectement ou directement, dans la mort de civils. Ensuite, accumulez une attitude d'opprobrium social, une attitude qui a fait que le combattant se sentait personnellement moralement responsable de la guerre, et vous obtenez votre bombe proverbiale de marche.
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Dans une guérilla, la frontière entre le meurtre légitime et illégitime est floue. Les politiques de zones de tir libre, dans lesquelles un soldat est autorisé à tirer sur toute cible humaine, armée ou non armée, confonde davantage les sens moraux de l'homme des combats.
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Il y a la culpabilité que tous les soldats ressentent d'avoir cassé le tabou contre le meurtre, une culpabilité aussi vieille que la guerre elle-même. Ajoutez à cela le sentiment de honte du soldat d'avoir combattu dans des actions qui ont résulté, indirectement ou directement, dans la mort de civils. Ensuite, accumulez une attitude d'opprobrium social, une attitude qui a fait que le combattant se sentait personnellement moralement responsable de la guerre, et vous obtenez votre bombe proverbiale de marche.