Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais
Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, né le 24 janvier 1732 à Paris où il meurt le 18 mai 1799, est un écrivain, dramaturge, musicien et homme d'affaires français. Éditeur de Voltaire, il est aussi à l'origine de la première loi en faveur du droit d'auteur et le fondateur de la Société des auteurs. Également espion et marchand d'armes pour le compte du roi, il est un homme d'action et de combats ne semblant jamais désarmé face à un ennemi ou à l'adversité. Son existence est tout entière marquée par l'empreinte du théâtre, et, s'il est principalement connu pour son œuvre dramatique, en particulier la trilogie de Figaro, sa vie se mêle étrangement à ses œuvres. Figure majeure du siècle des Lumières, il est considéré comme un des annonciateurs de la Révolution française et de la liberté d'opinion ainsi résumée dans sa plus célèbre pièce, Le Mariage de Figaro : « Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur, il n'y a que les petits hommes qui redoutent les petits écrits. »
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Auteur ajouté le
August 4, 2023
Biographie
Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, né le 24 janvier 1732 à Paris où il meurt le 18 mai 1799, est un écrivain, dramaturge, musicien et homme d'affaires français. Éditeur de Voltaire, il est aussi à l'origine de la première loi en faveur du droit d'auteur et le fondateur de la Société des auteurs. Également espion et marchand d'armes pour le compte du roi, il est un homme d'action et de combats ne semblant jamais désarmé face à un ennemi ou à l'adversité. Son existence est tout entière marquée par l'empreinte du théâtre, et, s'il est principalement connu pour son œuvre dramatique, en particulier la trilogie de Figaro, sa vie se mêle étrangement à ses œuvres. Figure majeure du siècle des Lumières, il est considéré comme un des annonciateurs de la Révolution française et de la liberté d'opinion ainsi résumée dans sa plus célèbre pièce, Le Mariage de Figaro : « Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur, il n'y a que les petits hommes qui redoutent les petits écrits. »