Pierre Fresnay détestait parler de lui, de sa vie personnelle (même l'âme), ce qu'une certaine presse a appelé la vie privée. Mais il parlait avec gourmandise de son métier, d'un oncle comédien qui n'était pas Rameau, des horreurs du Théâtre Français soumis aux caprices des ministres, il riait, mimait, les longues soirées passaient, il s'étouffait de rire. Voici des échos de ces récits recueillis par un des derniers confidents que Fresnay se soit faits... C'était quelques courtes semaines avant sa mort.

Pierre Fresnay

Découvrir l'intimité des "grands hommes" est décidément une chose exquise ! Dans cette correspondance - ou plutôt ce monologue exalté ! - L'amour de Napoléon pour sa femme Joséphine se conjugue furieusement sur toute la palette des sentiments. Tour à tour, sa passion se montre sensuelle, exclusive, sauvage voire brutale avant de s'assagir au fil des épreuves ou des champs de batailles ! Même à la fin, Napoléon continuera de témoigner une affection sans bornes à "sa" Joséphine ! Lues par la voix bouleversante de Pierre Fresnay, ces lettres montrent la conscience d'un homme dont le génie s'abandonne - sans fard - à la passion des sentiments !

Lettres d'Amour de Napoléon à Joséphine

Un terrain de golf est pour le golf. Un court de tennis est pour le tennis. Un camp de prisonniers, c'est pour s'évader.

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