Pierre Karch, né le 20 juin 1941 à Saint-Jérôme (Québec), est un écrivain, nouvelliste, essayiste, éditeur et critique canadien.

L'amour est une victoire pour soi et sur les autres !

Chanter, c'est aussi une façon de pleurer.

Peut-on jamais être tout à fait malheureux quand on sait qu'on ne le sera pas toujours ?

Un pays c'est plus qu'un régime politique. Un pays, surtout pour ceux qui ont quitté celui de leur origine, c'est fait des souvenirs qu'on y a laissés.

Un homme qui réussit son suicide est bien au-delà de la mort car il s'est mesuré à Dieu, en choisissant son heure, et a eu le dernier mot.

Ce qui ne fait pas de bruit n'intéresse personne.

Le rêve, s'il doit avoir un sens, devrait dominer la vie des hommes.

Les mots permettent d'ironiser sur tout, de minimiser les situations fâcheuses quand on les vit et de les grossir de nouveau quand on les raconte.

Les parents comprennent peu les enfants parce que les enfants ne trouvent pas les mots pour s'expliquer.

Une mère, c'est vaste comme le monde. Elle est l'univers de chaque enfant qu'elle a porté, un univers unique qu'elle a inventé à chaque maternité.

Il y a des souvenirs qu'on aime se faire rappeler.

Contre le désespoir, la sympathie est d'un bien faible secours.

Les heureux sont les gens qui ont su garder en eux-mêmes la mémoire vive de leurs sensations les plus intenses. Il n'y a pas de bonheur sans souvenirs.

Sur sa branche, une fleur se croit toujours immortelle, même fanée. Comme nous.

La piété est tout aussi aveugle que l'amour et les autres passions.

Quand on est malheureux, veut-on vraiment être consolé ?

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Karch

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