Prithviraj Sukumaran
@prithvirajSukumaran
Pour la plupart des gens qui regardent «aiyyaa», ce que je suis dans le sud ou ce que j'ai réalisé n'a pas d'importance. Ils vont me considérer comme un acteur qu'ils verront pour la première fois.
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@prithvirajSukumaran
Pour la plupart des gens qui regardent «aiyyaa», ce que je suis dans le sud ou ce que j'ai réalisé n'a pas d'importance. Ils vont me considérer comme un acteur qu'ils verront pour la première fois.
@prithvirajSukumaran
Le type de films réalisés dépend du type de films qui deviennent des succès. C'est pourquoi je dis toujours que vous devriez faire très attention au film que vous décidez de regarder.
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J'ai un intérêt inhérent au cinéma et à l'équipement. Certains de mes meilleurs amis sont des techniciens.
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Je suis profondément déçu que les filles ne me reconnaissent pas dans un tee-shirt et un jean normal.
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Je n'enlève pas ma chemise dans chaque film que je fais.
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Nous tournions pour «Aiyyaa» dans les studios de Yash Raj, et j'ai reçu une offre pour «Aurangzeb». C'est la seule fois où je suis allé pour une audition.
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L'hindi n'a jamais été un problème. En fait, l'hindi est la seule langue que je puisse parler et écrire en dehors du malayalam et de l'anglais.
@prithvirajSukumaran
Le plus grand défi face au cinéma malayalam est territorial. Nous opérons dans un petit territoire au Kerala, et la diaspora malayalam à travers le monde en termes comparatives est assez faible. Mais nous avons des talents de classe mondiale en termes de techniciens, d'acteurs et d'écrivains.
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Tous les films que j'ai signés ou que j'ai l'intention de signer sont purement sur la base du mérite de ce dont parlent les films.
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L'échec ne me fait pas peur. Et ni un succès. Je suis également détaché des deux.
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Je n'ai pas l'intention de quitter les films du Sud et de venir à Bollywood.
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Même en tant qu'acteur, avant de devenir réalisateur ou producteur, j'étais quelqu'un qui était très impliqué dans chaque film que je faisais. Je ferais à peu près partie d'un projet à partir du moment où ils lancent le ballon au marketing. C'est très simple.
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«Aiyyaa» était un film bizarre.
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Chaque film que je fais, quelle que soit la façon dont ils s'en sortent au box-office, m'excite.
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Comme je suis sérieux au sujet d'une carrière dans les films en hindi, j'aurais déménagé à Mumbai.
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Diriger un film en hindi est définitivement sur les cartes.
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«Aiyyaa» a échoué, mais ça m'a fait remarquer.
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Tant que le travail intéressant me trouvera, j'aimerai faire plus de films de Bollywood.
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J'ai toujours cru que faciliter le bon contenu inhabituel devrait être l'une de mes prérogatives en tant que personne qui a passé la moitié de sa vie au cinéma.
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Je ne suis pas pressé d'aller nulle part.
@prithvirajSukumaran
J'ai fait plus de 100 films, ce qui est une partie importante de la vie dans le cinéma, donc si quelque chose peut me surprendre, alors je pense que nous pouvons dire que nous regardons quelque chose d'assez nouveau.
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Quelque chose comme un «Maheshinte Prathikaram» fonctionnera partout dans le monde car il parle de quelque chose qui est au-delà de la langue.
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Onze ans dans les films, c'est long.
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Chaque fois que les acteurs de Down South font un film de Bollywood, il est toujours considéré comme: «Oh, ce doit être une chose unique» ou un rôle stéréotypé.
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Le plus grand défi face au cinéma malayalam est territorial. Nous opérons dans un petit territoire au Kerala, et la diaspora malayalam à travers le monde en termes comparatives est assez faible. Mais nous avons des talents de classe mondiale en termes de techniciens, d'acteurs et d'écrivains.
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Je ne suis jamais allé chercher un film de Bollywood. C'est arrivé naturellement ... c'était un cours naturel.
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Nous avons toujours voulu redonner au cinéma, et nous ne pourrions pas penser à une meilleure façon de le faire que de faciliter les films qui, selon nous, rendront le cinéma malayalam fier.
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Je peux lire et écrire en hindi.
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Agir dans deux films signifierait quatre mois de l'année, ce qui me laisserait huit mois, et si Bollywood a besoin de ce temps de ma part, je suis prêt à donner un coup de feu.
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J'agis, produit et dirige. Ce sont trois emplois différents dans le même domaine de la créativité. Je les apprécie tous également, mais en fin de compte, je suis un acteur.