Dieu existe-t-il ?

Lorsque Jésus a dit Nicodème, un chef des Juifs : "Il faut que vous naissiez de nouveau", ce dernier s'est demandé avec étonnement : " Comment cela peut-il se faire ? " Environ deux mille ans plus tard, l'expression "naître de nouveau" est encore mal comprise, même si un nombre croissant de personnes affirment avoir vécu cette expérience. Dans ce petit livre, R. C. Sproul dissipe la confusion et explique soigneusement ce que signifie "être né de nouveau". Il affirme que la nouvelle naissance est essentielle pour le salut et poursuit en montrant que cette régénération est une oeuvre souveraine de Dieu dans notre coeur.

Que signifie "naître de nouveau" ?

Valentine est une petite fille qui aime parler à Dieu. Mais elle trouve ses prières bien trop simples, en tout cas pas aussi belles que celles de son papa. Un soir, elle lui demande de lui apprendre à parler à Jésus. Son papa lui raconte alors l'histoire vraie de maître Peter, un barbier qui ne savait pas non plus comment prier et qui n'osait pas en parler. Ce barbier avait un vieil ami du nom de Martin Luther. Un jour, ce dernier se rendit dans son échoppe pour se faire tailler la barbe et couper les cheveux. Maître Peter prit alors son courage à deux mains et lui demanda des conseils pour mieux prier. En guise de réponse, Martin Luther lui écrivit une lettre. En découvrant cette lettre près de 500 ans plus tard, Valentine apprendra elle aussi à parler à Dieu. Basé sur l'histoire vraie de Martin Luther et de son barbier, ce texte apprend aux enfants à s'adresser à Dieu. Un texte simple, accompagné de belles illustrations, pour les enfants de 3 à 10 ans.

Le barbier qui voulait prier

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Valentine est une petite fille qui aime parler à Dieu. Mais elle trouve ses prières bien trop simples, en tout cas pas aussi belles que celles de son papa. Un soir, elle lui demande de lui apprendre à parler à Jésus. Son papa lui raconte alors l'histoire vraie de maître Peter, un barbier qui ne savait pas non plus comment prier et qui n'osait pas en parler.
Ce barbier avait un vieil ami du nom de Martin Luther. Un jour, ce dernier se rendit dans son échoppe pour se faire tailler la barbe et couper les cheveux. Maître Peter prit alors son courage à deux mains et lui demanda des conseils pour mieux prier. En guise de réponse, Martin Luther lui écrivit une lettre. En découvrant cette lettre près de 500 ans plus tard, Valentine apprendra elle aussi à parler à Dieu.
Basé sur l'histoire vraie de Martin Luther et de son barbier, ce texte apprend aux enfants à s'adresser à Dieu. Un texte simple, accompagné de belles illustrations, pour les enfants de 3 à 10 ans.

Le Barbier qui voulait prier

L'espoir est appelé l'ancre de l'âme car il donne de la stabilité à la vie chrétienne. Mais l'espoir n'est pas simplement un `` souhait '', je souhaite que tel ou tel se déroule plutôt, c'est ce qui s'accroche à la certitude des promesses de l'avenir que Dieu a faite.

Une personne fidèle est révélée par ceux qui la haïssent. Êtes-vous détesté pour votre foi ou votre éthique ? Si personne ne vous hait, peut-être que vous n'avez pas montré Christ assez ouvertement.

Il y a une longue et sacrée histoire de l'utilisation de X pour symboliser le nom du Christ, et d'après son origine, cela n'a pas signifié de manque de respect.

La seule justice qui répond aux exigences de la loi est la justice du Christ.

Si Dieu dit: «Je vous pardonne», vous êtes pardonné, peu importe ce que vous vous sentez, et refuser ce pardon est un acte d'arrogance.

Quand Dieu dit quelque chose, l'argument est terminé.

Le péché ne fait pas simplement de mauvais choix ou des erreurs. Le péché a le désir dans nos cœurs de faire la volonté de l'ennemi de Dieu.

Être chrétien, c'est être un théologien - un étudiant de Dieu et sa volonté. Le dédain contemporain pour le contenu théologique et l'accent mis sur l'image de soi et les émotions n'ont pas été partagés par l'Église apostolique.

Les Écritures ne disent pas que Dieu est «l'amour, l'amour, l'amour» ou qu'il est «colère, colère, colère», mais qu'il est «saint, saint, saint».

Nous préférons les ombres où nous nous sentons en sécurité à la lumière qui nous expose et nous fait dire «malheur à moi!

L'échec de l'évangélisme moderne est l'incapacité à comprendre la sainteté de Dieu.

La grande triade d'ennemis pour la croissance chrétienne contient le monde, la chair et le diable.

S'il y a une molécule Maverick dans tout l'univers, alors Dieu n'est pas souverain. Et si Dieu n'est pas souverain, il n'est pas Dieu.

La question n'est pas: "Pourquoi n'y a-t-il qu'une seule façon vers Dieu?" Mais "Pourquoi y a-t-il même une façon?"

Aucun pécheur n'a le droit de dire en toute impunité: «Dieu tu me dois la grâce». Si la grâce est due, ce n'est pas la grâce. L'essence même de la grâce est son caractère volontaire. Dieu se réserve le droit souverain et absolu de donner la grâce à certains et de refuser cette grâce des autres.

La prière est pour le chrétien quel souffle à la vie, mais aucun devoir du chrétien n'est tellement négligé.

La grâce de Dieu n'est pas infinie. Dieu est infini et Dieu est gracieux.

Par définition, la grande différence entre la miséricorde et la justice est que la miséricorde n'est jamais obligatoire.

Je me repose uniquement dans sa justice et dans son expiation parce que je sais que je ne peux rien faire pour compenser ma propre iniquité.

Si Christ pouvait déposer une plainte, ce serait: "Ma mariée ne me parle jamais".

Par sa vie, sa mort et sa résurrection, notre Sauveur a conquis nos ennemis et, par son esprit, il nous a accordé pour partager la victoire.

Nous vivons à une époque de crise dans la culture laïque et dans l'église en ce qui concerne la belle.

Dieu ne gouverne pas le consentement de ses sujets mais par son autorité souveraine. Son règne s'étend sur moi, que je vote pour lui ou non.

La vraie foi produit toujours une réelle conformité au Christ.

L'ironie de la Seigneurie du Nouveau Testament est que ce n'est que dans l'esclavage à Christ que un homme peut découvrir une liberté authentique.

La foi ne nous oblige jamais à crucifier nos esprits ou à nier nos sens.

Se conformer à ce monde, c'est risquer la perte de son âme éternelle.

Le cynisme et le scepticisme sont la forme la plus grossière de quasi-intellectualisme ... Que le cynique devienne cynique de son cynisme et du sceptique sceptique quant à son scepticisme et rejoigne la bataille.

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