Rafael Correa
@rafaelCorrea
La presse équatorienne et latino-américaine n'est pas comme la presse européenne ou nord-américaine, qui a une éthique professionnelle. Ils sont habitués à être au-dessus de la loi, à chanter, à extorquer.
Rafael Correa
Rafael Vicente Correa Delgado ([rafaˈel biˈsente koˈrea ðelˈɣaðo]), né le 6 avril 1963 à Guayaquil, est un économiste et homme d'État équatorien, président de la République du 15 janvier 2007 au 24 mai 2017. Économiste de gauche, Rafael Correa, est élu président de la République fin 2006 avec 56 % des voix, et investit le 15 janvier 2007. Après son élection, une nouvelle constitution — comprenant notamment un renforcement de l’aspect social de la politique gouvernementale et une plus large reconnaissance des droits des indigènes — est adoptée par référendum avec 64 % de suffrages favorables, et est suivie de nouvelles élections. Il est réélu au premier tour en 2009 avec 52 % des voix, puis en 2013 avec 57 % des suffrages. Il ne se représente pas lors de l'élection présidentielle de 2017. Rafael Correa mène des politiques publiques de lutte contre la pauvreté et les inégalités. Son gouvernement double le salaire minimum, renforce les aides sociales aux familles défavorisées et distribue des centaines de milliers de logements sociaux. Pour financer cette politique, il nationalise une partie du secteur des hydrocarbures, prend le contrôle des gisements et réduit l’influence des multinationales étrangères. Il est toutefois confronté à l’effondrement des cours du pétrole en 2016. À l'issue de sa présidence, il devient le principal opposant de son successeur Lenín Moreno, son ancien vice-président. Accusé de corruption, il est condamné en 2020 par contumace à huit ans de prison et 25 ans d’inéligibilité. Il réside depuis juillet 2017 en Belgique, où il a obtenu l'asile politique. Interpol a refusé les demandes du gouvernement équatorien de faire procéder à son arrestation et à son extradition, estimant que sa condamnation pouvait être motivée par des considérations politiques.
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@rafaelCorrea
La presse équatorienne et latino-américaine n'est pas comme la presse européenne ou nord-américaine, qui a une éthique professionnelle. Ils sont habitués à être au-dessus de la loi, à chanter, à extorquer.
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Assumer tous les pouvoirs n'est bon pour personne. Le pouvoir corrompt et le pouvoir absolu corrompt absolument. Toutes ces expériences ont une mauvaise fin.
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Je suis économiste, pas un astrologue.
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Le grand péché adoptait le socialisme du 21e siècle, quelque chose que même son fondateur, Ditrich sait exactement ce qu'il est, bien qu'il dise qu'il est en construction.
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Nous allons devoir discuter avec et demander les opinions d'autres pays. Nous ne souhaitons offenser personne, surtout un pays que nous tenons dans un respect aussi profond que le Royaume-Uni.
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Il y a une question de renforcer la confiance, et je pense que le président Barack Obama offre la confiance. Personnellement, je pense qu'il est un individu transparent avec les bonnes intentions. Je pense donc que les choses vont changer en termes de politique étrangère américaine, en particulier en ce qui concerne l'Amérique latine.
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Ne venez pas nous donner des conférences sur la liberté. Vous avez besoin d'une vérification de la réalité. N'agissez pas comme un enfant grossier gâté. Ici, vous ne trouverez que la dignité et la souveraineté. Ici, nous n'avons envahi personne. Ici, nous ne torturons pas comme à Guantanamo. Ici, nous n'avons pas de drones tuant un terroriste présumé sans aucun procès, tuant également les femmes et les enfants de ces supposés terroristes. Alors ne venez pas nous donner des conférences sur la vie, le droit, la dignité ou la liberté. Vous n'avez pas le droit moral de le faire.
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Je voudrais juste souhaiter au président Obama la bonne chance, et qu'il devrait garder à l'esprit que, tout comme il est une bonne personne, nous sommes beaucoup d'entre nous présidents en Amérique latine qui sont aussi de bonnes personnes.
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On a parlé du manque de consensus, mais nous savons tous que c'est le veto des puissances étrangères, la situation intolérable de notre Amérique du 21e siècle.
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Nous ne tolérerons pas les abus et les crimes commis chaque jour au nom de la liberté d'expression. C'est la liberté d'extorsion et le chantage.
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Einstein a dit que si quelqu'un fait à maintes reprises quelque chose, ou essaie de faire quelque chose, avec les mêmes résultats négatifs, et continue d'insister pour le faire, alors il est idiot. Cette stratégie réalisée, appliquée par les États-Unis en Colombie, a été un échec total.
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Nous sommes confrontés à une crise que nous n'avons pas provoquée, mais nous sommes les principales victimes de la plus grande crise depuis les années 1930. Il n'a pas été généré par des facteurs externes au système, mais par des facteurs qui sont de l'essence même du système: l'individualisme exacerbé, la déréglementation, la concurrence, etc.
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Ils ont parlé d'une dictature et ils avaient raison parce qu'il y a une dictature et qu'il y a un gouvernement qui a combattu cette dictature, la dictature des médias.
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Ce que nous avons subi au cours des dernières décennies dans le monde a été totalement fou, et tout cela est le résultat du capitalisme. La main-d'œuvre en Amérique latine a été traitée comme un instrument vulgaire pour l'accumulation de capital. Des mécanismes d'exploitation ont été imposés, tels que l'externalisation, la médiation du travail, et similaires. Les résultats sont évidents: une plus grande inégalité en Amérique latine; Le chômage est plus élevé que dans les décennies précédentes; Nous n'avons pas résolu le problème de la pauvreté; Nous avons perdu beaucoup de souveraineté.
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L'Équateur est un pays qui défend le droit à la vie.
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La main-d'œuvre en Amérique latine a été traitée comme un instrument vulgaire pour l'accumulation de capital.
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Un quotidien doit rendre compte de l'actualité, pas jouer à la géopolitique.
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Après réflexion, j'ai décidé que tant que je serais président de l'Équateur, je n'assisterai à aucun Sommet des Amériques tant qu'il n'aura pas commencé à prendre les décisions nécessaires.
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Un quotidien doit rendre compte de l'actualité, pas jouer à la géopolitique.
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Je ne suis pas habitué à donner des conseils à ceux qui ne l'ont pas demandé.
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L'Équateur a environ 700 kilomètres de frontière avec la Colombie, et une grande partie est une jungle impénétrable.
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Ne venez pas nous donner des conférences sur la liberté. Vous avez besoin d'une vérification de la réalité. N'agissez pas comme un enfant grossier gâté. Ici, vous ne trouverez que la dignité et la souveraineté. Ici, nous n'avons envahi personne. Ici, nous ne torturons pas comme à Guantanamo. Ici, nous n'avons pas de drones tuant un terroriste présumé sans aucun procès, tuant également les femmes et les enfants de ces supposés terroristes. Alors ne venez pas nous donner des conférences sur la vie, le droit, la dignité ou la liberté. Vous n'avez pas le droit moral de le faire.
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Si vous entrez dans l'Amazonie équatorienne et que vous collez votre main dans le sol, ce que vous obtenez, ce sont les boues d'huile. Les compagnies pétrolières continuent de faire tout ce qu'elles veulent.
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C'est à vous de décider qui croire: les mêmes personnes que d'habitude ou ceux qui mettent en danger leur vie pour sauver le pays.
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Un quotidien doit rendre compte de l'actualité, pas jouer à la géopolitique.
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Je suis pacifiste par nature.