Rajkumar Hirani est un réalisateur, producteur, monteur et scénariste indien.

Il y a une grande influence de temps que Hrishikesh Mukherjee a toujours eu sur mon travail. Je peux regarder «Anand», «Golmaal» ou «Chupke Chupke» autant que possible. J'admire vraiment son genre de cinéma.

La pression est toujours là pour faire de bons films, mais c'est plus de votre état d'esprit, soit vous l'avez, soit vous ne l'avez pas.

Avec la fiction, vous pouvez faire ce que vous voulez, mais si vous faites un film sur quelqu'un, vous devez vous en tenir à la vérité. Vous ne pouvez pas simplement dire que je vais changer le point culminant parce que je n'aime pas ça.

Il faut toujours tenter de faire de bons films, même si vous échouez, ça va. C'est un voyage, vous avez à la fois de bons et de mauvais jours.

J'ai lu jusqu'à ce que je m'endorme. La journée en fait, je me sens coupable de lire - je sens toujours que je devrais faire autre chose!

Chaque fois que je termine un film, je pense que c'est le pire film que j'ai réalisé. Cela est forcément arrivé car en écrivant, en réalisant et en modifiant un film, je l'aurais vécu 5000 fois. Naturellement, on a tendance à perdre l'objectivité.

La religion est artificielle. Chaque religion dit que mon «Dieu est le meilleur».

Beaucoup de problèmes médicaux sont résolus si les médecins sont gentils avec les patients. Si vous pouvez leur faire penser positivement, vous n'aurez peut-être pas besoin de médicaments.

L'échelle est très facile en fait. Mettez une caméra sur un foc ou un drone et obtenez des gros coups sanglants sur de grands sets, c'est très facile. Mais alors vous êtes distrait. Si vous regardez la photo, vous ne suivez plus l'histoire.

Je suis absolument ouvert aux scripts écrits par quelqu'un d'autre.

J'essaie d'obtenir ce que je veux utiliser les forces des acteurs.

Sans ses racines en réalité, je ne pense pas que l'évasion puisse survivre.

Donc, vous savez, en tant que cinéaste, vous devez tout faire dans la phase d'écriture. Après cela, il faut le laisser sur le jugement de vos confiance et du public.

Je suis dans la publicité et je connais bien mon artisanat, mais finalement dans le cinéma, chaque scène doit avoir de l'importance, et cela a à voir avec l'écriture.

Quand je fais un film, le critère est mon esprit. Si je ris des blagues et que je me sens triste des sous-sous-sous-pensions, alors le sujet fonctionne.

J'aime les films d'intérêt humain légers.

Dans la non-fiction, j'aime Wayne Dyer. J'ai une compilation de ses meilleures citations près de mon lit! Pour moi, il est l'un des meilleurs auteurs.

Personne ne se propose d'écrire l'évasion en tant que sujet d'un film à moins que, peut-être, que vous fassiez un film fantastique.

J'ai une terrible réputation d'être nerveux.

À Hollywood, le système est tellement rationalisé, l'administration est en place. C'est pourquoi tous les six mois Spielberg est capable de faire un film.

Faire un film déroutant ne le rend pas intelligent.

J'ai passé cinq ans après que les «3 idiots» réalisent mon prochain film. Je n'ai pas vu un seul centime au cours de ces cinq années.

Je pense que certaines personnes sont cyniques par nature. Vous leur montrez n'importe quoi, ils ne voient que les problèmes et les négatifs.

Je peux me enfermer pendant des mois dans la suite d'édition sans bruit ni distraction. C'est fascinant de voir le film prendre forme.

Vous devez écrire sur quelque chose que vous connaissez vraiment ou que vous vous connectez profondément. Ne le traduit pas.

Prendre des nuances de la vraie vie vous aidera à faire des scènes qui n'ont jamais été faites auparavant. Cela maintient l'histoire intéressante.

Mon virage naturel est de m'attirer des choses qui ont eu une influence dans ma vie.

Je pense que le travail principal du cinéma est de divertir.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Rajkumar_Hirani

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