1999 : Au coeur du Midwest, la vaste demeure de Laurelfield est témoin d'événements qui vont bouleverser la vie de ses propriétaires, les Devohr. Zee, l'universitaire marxiste, voit son couple mis en péril par la femme de son demi-frère. Son beau-père Bruce rassemble des provisions face à l'imminence de l'an 2000. Et puis il y a Violet, l'aïeule, qui se serait suicidée quelque part dans cette maison et dont le portrait trône dans la salle à manger. 1955. Grace et George, son mari violent, emménagent à Laurelfield, mais rien ne se passe comme prévu. 1929. La demeure Laurelfield est occupée par une troupe d'artistes haute en couleur, sous le regard du portrait de Violet Devohr, qui hanterait les lieux.

Cent ans de Laurelfield

Une saga familiale ambitieuse et ludique sous la forme de poupées russes 1999 : Bienvenue à Laurelfield, vaste demeure du Midwest et partez à la rencontre de ses propriétaires ancestraux, les Devohr. Il y a Zee, une marxiste qui méprise la richesse de ses parents, tout en vivant dans leur maison avec son mari Doug ; sa mère Grace, qui prétend pouvoir tout savoir d'une personne en regardant ses dents ; et son beau-père Bruce, occupé à faire des réserves pour l'arrivée imminente de l'an 2000. Et puis il y a Violet, son arrière-grand-mère, qui se serait suicidée quelque part dans cette grande maison et dont le portrait est toujours accroché dans la salle à manger. 1955 : Grace et son mari violent George emménagent à Laurelfield. Rapidement, elle remarque des détails étranges qu'elle considère comme des présages d'événements à venir. Sa vie commence alors à changer... 1929 : Laurelfield est une colonie d'artistes hétéroclite et bohèmes où se retrouve la fine fleur de la création artistique de l'époque. Le petit groupe passe son temps entre poursuites artistiques et débauche sous les yeux du portrait de Violet Devhor, qui hanterait les lieux.

Cent ans de laurelfield

À Chicago, dans les années 1980, au coeur du quartier de Boystown, Yale Tishman et sa bande d'amis - artistes, activistes, journalistes ou professeurs... - vivent la vie libre qu'ils s'étaient toujours imaginée. Lorsque l'épidémie du sida frappe leur communauté, les rapports changent, les liens se brouillent et se transforment. Peu à peu, tout s'effondre autour de Yale, et il ne lui reste plus que Fiona, la petite soeur de son meilleur ami Nico.
Du Chicago des années 1980 au Paris d'aujourd'hui, Rebecca Makkai nous offre une épopée puissante sur le pouvoir de l'amitié face à la tragédie.

Les optimistes

Du Chicago des années 1980 au Paris d'aujourd'hui, une épopée puissante sur le pouvoir de l'amitié face à la tragédie.À Chicago, dans les années 1980, au coeur du quartier de Boystown, Yale Tishman et sa bande d'amis – artistes, activistes, journalistes ou professeurs... – vivent la vie libre qu'ils s'étaienttoujours imaginée. Lorsque l'épidémie du sida frappe leur communauté, les rapports changent, les liens se brouillent et se transforment. Peu à peu, tout s'effondre autour de Yale, et il ne lui reste plus que Fiona, la petite soeur de son meilleur ami Nico.Révélant un immense talent, Rebecca Makkai brosse le sublime portrait de personnages brisés qui, au milieu du chaos, n'auront pourtant de cesse de trouver la beauté et l'espoir.Lauréat de la Andrew Carnegie Medal et finaliste du National Book Award et du prix Pulitzer, Les Optimistes a déjà conquis des dizaines de milliers de lecteurs aux États-Unis et ailleurs.

Les Optimistes

Lucy, célibataire pas encore trentenaire, est bibliothécaire dans une petite ville perdue du Middle West. Ian, dix ans, fils unique de chrétiens fondamentalistes homophobes, est son plus fidèle lecteur. Un beau matin, elle le découvre sur son lieu de travail réfugié parmi les livres. Contre toute attente, elle ne va pas le ramener tout de suite à ses parents. Ensemble, ils vont parcourir plusieurs Etats de cette Amérique post-11-Septembre. Pour ce gamin rêveur, c'est la découverte du vaste monde ; pour elle, l'occasion de s'interroger sur ses origines russes, le déracinement de ses ancêtres et leurs aspirations à plus de liberté. Rebecca Makkai signe ici un premier roman humaniste et original en forme de road-book. Une balade épique et onirique qui décortique les traumatismes d'une nation faite d'immigrants, de fugueurs et de chapardeurs d'identités.

Chapardeuse

Le romancier et poète David Huddle est un écrivain calme mais fabuleux, et il fait mieux les adolescents que quiconque que je connais.

J'ai le sentiment distinct que quand je serai vieux et que je repense à ma vie, la trentaine sera un énorme flou. Il y a beaucoup de choses qui sont négligées: l'exercice, les plats, la lessive, mon pauvre jardin. J'essaie de prioriser les choses importantes mais non urgentes sur les choses sans importance mais urgentes.

Je n'ai pleuré que dans un livre, mais je suis trop gêné pour vous dire lequel. Ce n'était pas terriblement intellectuel. J'avoue, cependant, de pleurer quand j'ai lu des livres à haute voix à ma classe élémentaire. Nous avons lu une biographie de Gandhi une fois, et il était très difficile de lire la partie où Gandhi a été tué, car ils attendaient une fin heureuse.

Nous essayons tous de faire de la beauté dans le monde et d'essayer de passer de l'ordre du chaos. Et c'est ce qu'est l'art.

Dans une nouvelle, vous pouvez utiliser quelqu'un - nous n'allons être avec cette personne que pour peut-être 10 pages, et ils peuvent avoir une sorte de personnalité à une note. Et dans un roman, vous devez avoir des flèches pointant plus d'une direction pour cette personne.

Écrire une nouvelle, c'est comme peindre une image sur la tête d'une épingle. Et le simple fait de tout s'adapter est - semble parfois impossible. L'écriture d'un roman est cependant - a ses propres défis de portée. Et je pense que pour peindre une murale, où le défi est que si vous êtes assez proche pour y travailler, vous êtes trop proche pour voir le tout.

Malgré ses défis, le roman offre l'occasion de vivre dans une histoire pendant des années de votre vie imaginative. Il y a une énorme richesse à cela.

Ma sœur est musicienne. Tout le monde dans notre famille, ce sont des universitaires ou des artistes d'une sorte ou d'une autre. Et ce sont les gens avec qui je pense que j'aime passer du temps aussi. Je pense, vous savez, ils sont toujours intéressants; Ils mènent une vie intéressante, et je pense qu'ils sont importants pour tout le monde parce que tout le monde est un artiste en quelque sorte.

Les moments où j'ai essayé de ne pas être drôle, ça n'a jamais fonctionné, et les fois où j'essaie de ne pas être sombre et d'être drôle, cela ne fonctionne jamais non plus. Aussi varié que soit mon sujet, je pense que la vision du monde est assez cohérente: voir l'obscurité et voir l'humour.

Il y a une grande composante sociale pour être écrivain, à être artiste.

J'ai enseigné à l'école primaire pendant un bon moment, et donc je n'ai pas eu à remonter trop loin pour les titres et les auteurs qui peuplent les premiers chapitres de l'emprunteur.

Parfois, j'aimerais pouvoir revenir dans le temps pour rencontrer Proust, juste pour que je puisse lui donner mon inhalateur d'asthme. Le pauvre gars.

J'ai grandi en écrivant. C'était très naturel dans ma maison. Mon père était poète et sa mère avait été romancier en Hongrie. Je ne pense pas que j'en ai vraiment pensé à être ma carrière jusqu'au lycée, ce qui est encore assez tôt, mais c'était un moment en supposant que c'était quelque chose que tout le monde a fait toute la journée.

J'ai appris à lire quand j'avais trois ans en comparant les lettres de mon livre de l'oie mère avec les rimes que j'avais mémorisées.

Lorsque vous parlez à un auteur - à tout artiste, vraiment - vous apprenez quelque chose sur la façon dont ils font ce qu'ils font. Je ne me suis jamais éloigné de ce genre d'expérience en train de se sentir désabusée, comme si le magicien avait expliqué ses tours. Je trouve toujours une plus grande appréciation pour le formulaire.

Ses oeuvres

Ses derniers livres