Reginald Heber
@reginaldHeber
Saint, Saint, Saint, Seigneur Dieu Tout-Puissant! Tôt le matin, notre chanson vous élèvera.
Reginald Heber
Reginald Heber, né à Malpas (Angleterre) le 21 avril 1783 et décédé le 3 avril 1826 à Trichinopoly (Inde), est un évêque anglican, voyageur, homme de lettres et auteur d'hymnes anglais. Après 16 ans comme curé de campagne, il est devenu le deuxième évêque anglican de Calcutta (pour tous les territoires de l'empire anglais), où il est mort subitement à 42 ans. Fils d'un riche ecclésiastique et propriétaire terrien, Heber s'est fait une réputation comme poète dès ses études à l'Université d'Oxford. Après son diplôme, au plus fort des guerres napoléoniennes, il a entrepris un grand voyage en Scandinavie, en Russie et en Europe centrale. Il a été ordonné prêtre en 1807, et a repris la paroisse paternelle d'Hodnet, dans le Shropshire. Il a combiné ses devoirs pastoraux avec d'autres activités dans l'Église, l'écriture d'hymnes, et plus généralement une œuvre littéraire comprenant notamment une étude critique des œuvres complètes du théologien du XVIIe siècle Jeremy Taylor. Heber a été consacré évêque anglican de Calcutta en octobre 1823. Durant son court épiscopat, il a voyagé dans tout son diocèse qui couvrait tout l'empire colonial anglais en Asie) et s'est attaché à améliorer les conditions matérielles et spirituelles de ses ouailles. Son dur travail, un climat hostile et son indifférence à sa santé ont provoqué sa mort au cours d'une visite à Trichinopoly (aujourd'hui Tiruchirappalli), après moins de trois ans en Inde. Des monuments à sa mémoire ont été élevés en Inde et dans la Cathédrale Saint-Paul de Londres. Un recueil de ses hymnes a été publié peu après sa mort ; un de ceux-ci, Holy, Holy, Holy (en), est encore populaire et chanté le dimanche de la Trinité.
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@reginaldHeber
Saint, Saint, Saint, Seigneur Dieu Tout-Puissant! Tôt le matin, notre chanson vous élèvera.
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Avec des cloches tombantes de Bluethou les plus claires, il a attiré ma vue enfantine, ressemblant presque aux papillons azur qui volaient sur les fleurs de la lande devenus légèrement tremblants.
@reginaldHeber
Puis sur! puis sur! Là où le devoir mène, mon cours est toujours en avant.
@reginaldHeber
Les fleurs du printemps peuvent se flétrir, l'espoir de l'été, l'automne tombe en hiver, les oiseaux abandonnent l'ombre; Les vents soient bercés - le soleil et la lune oublient leur ancien décret, mais nous, dans la dernière heure de la nature, ô Seigneur! va s'accrocher à toi.
@reginaldHeber
Nous avons un ami et un protecteur, dont, si nous ne nous éloignons pas de lui, ni le pouvoir ni l'esprit ne peuvent nous séparer. Dans sa force, nous faisons passer notre voyage, à travers les tempêtes, les problèmes et les dangers du monde. Cependant, ils peuvent rage et gonfler, bien que les montagnes tremblent aux tempêtes, notre rocher ne sera pas ému: nous avons un ami qui ne nous abandonnera jamais; Un refuge, où nous pouvons nous reposer en paix et nous tenir dans notre sort à la fin des jours. Il en va de même pour celui qui vit et était mort; qui est vivant pour toujours; et a les clés de l'enfer et de la mort.
@reginaldHeber
Le Fils de Dieu va à la guerre, une couronne royale à gagner; sa bannière rouge sang ruisselle: qui suit dans son train? Qui peut boire sa tasse de malheur, triomphant sur la douleur, qui porte sa croix en dessous, il suit dans son train.
@reginaldHeber
Nous avons un ami et un protecteur, dont, si nous ne nous éloignons pas de lui, ni le pouvoir ni l'esprit ne peuvent nous séparer. Dans sa force, nous faisons passer notre voyage, à travers les tempêtes, les problèmes et les dangers du monde. Cependant, ils peuvent rage et gonfler, bien que les montagnes tremblent aux tempêtes, notre rocher ne sera pas ému: nous avons un ami qui ne nous abandonnera jamais; Un refuge, où nous pouvons nous reposer en paix et nous tenir dans notre sort à la fin des jours. Il en va de même pour celui qui vit et était mort; qui est vivant pour toujours; et a les clés de l'enfer et de la mort.
@reginaldHeber
Lorsque le printemps déverrouille les fleurs pour peindre le sol qui rit; Lorsque les brises douces de l'été actualisent le labeur de la tondeuse; Lorsque l'hiver tient dans des chaînes glaciales, les jachères et l'inondation; En Dieu, la Terre se réjouit toujours et possède son fabricant bien.
@reginaldHeber
Les oiseaux qui se réveillent le matin et ceux qui aiment l'ombre; Les vents qui balayent la montagne ou endormi la clairière somnolente; Le soleil qui, de sa bower ambre se réjouit sur son chemin, la lune et les étoiles, le nom de leur maître dans l'écran Pomp silent.
@reginaldHeber
Les plus brillants et les meilleurs des fils de la matinée, l'aube dans notre obscurité, et nous confèrent votre aide.
@reginaldHeber
Quoi bien que les brises épicées soufflent de l'île douce de Ceylan; Bien que chaque prospect se plaise, et seul l'homme est vil: en vain avec une gentillesse somptueuse, les dons de Dieu sont étroits; Les païens dans sa cécité s'incline vers le bois et la pierre.
@reginaldHeber
Pain du monde, dans la miséricorde brisée, le vin de l'âme, dans la miséricorde, par qui les paroles de la vie ont été prononcées, et dans la mort de laquelle nos péchés sont morts: regardez sur le cœur par la douleur brisée, regardez les larmes par les pécheurs Said; et soyez ta fête pour nous le tokenthat par ta grâce, nos âmes sont nourries.
@reginaldHeber
Pain du monde, dans la miséricorde brisée, le vin de l'âme, dans la miséricorde, par qui les paroles de la vie ont été prononcées, et dans la mort de laquelle nos péchés sont morts: regardez sur le cœur par la douleur brisée, regardez les larmes par les pécheurs Said; et soyez ta fête pour nous le tokenthat par ta grâce, nos âmes sont nourries.
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Par Cool Siloam's Shady Rill How Sweet Le Lily pousse!
@reginaldHeber
Aucun marteau n'est tombé, aucun axes pesant n'a sonné, comme un peu de palmier, le tissu mystique a pris le silence ».
@reginaldHeber
Ainsi, l'espoir céleste est tout serein, mais l'espoir terrestre, à quel point Soe'er, fluctue toujours de cette scène changeante, aussi fausse et éphémère que c'est juste.
@reginaldHeber
Lorsque le printemps déverrouille les fleurs pour peindre le sol qui rit; Lorsque les brises douces de l'été actualisent le labeur de la tondeuse; Lorsque l'hiver tient dans des chaînes glaciales, les jachères et l'inondation; En Dieu, la Terre se réjouit toujours et possède son fabricant bien.
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Les païens dans sa cécité vers le bois et la pierre.
@reginaldHeber
Nous refusons à notre Seigneur chaque fois que, comme les démas, nous, à travers l'amour de ce monde présent, abandonnons le cours de devoir que le Christ nous a clairement signalé.
@reginaldHeber
Le printemps déverrouille les fleurs pour peindre le sol qui rit.
@reginaldHeber
Lorsque le voile de la mort a été établi entre nous et les objets de notre respect, à quel point nous devenons à la vue rapide à leurs mérites, et à quel point nous souvenons-nous amèrement, ou même les regards, de méchanceté qui aurait pu s'échapper dans nos rapports avec nos rapports avec eux.
@reginaldHeber
Quoi bien que les brises épicées soufflent de l'île douce de Ceylan; Bien que chaque prospect se plaise, et seul l'homme est vil: en vain avec une gentillesse somptueuse, les dons de Dieu sont étroits; Les païens dans sa cécité s'incline vers le bois et la pierre.
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Nous avons un ami et un protecteur, dont, si nous ne nous éloignons pas de lui, ni le pouvoir ni l'esprit ne peuvent nous séparer. Dans sa force, nous faisons passer notre voyage, à travers les tempêtes, les problèmes et les dangers du monde. Cependant, ils peuvent rage et gonfler, bien que les montagnes tremblent aux tempêtes, notre rocher ne sera pas ému: nous avons un ami qui ne nous abandonnera jamais; Un refuge, où nous pouvons nous reposer en paix et nous tenir dans notre sort à la fin des jours. Il en va de même pour celui qui vit et était mort; qui est vivant pour toujours; et a les clés de l'enfer et de la mort.
@reginaldHeber
L'éternité n'a pas de cheveux gris! Les fleurs s'estompent, le cœur se tordant, l'homme vieillit et meurt, le monde se trouve dans le sépulcre des âges, mais le temps n'écrit pas de rides sur le front de l'éternité.
@reginaldHeber
N'oubliez pas que chaque conformité coupable avec les humeurs du monde, chaque indulgence pécheresse de nos propres passions, constitue des soucis et des craintes pour l'heure des ténèbres; et que le souvenir de temps mal dépensé parsera notre lit de maladie d'épines et s'ajoutera à nos esprits de désespoir avec désespoir.
@reginaldHeber
Pain du monde, dans la miséricorde brisée, le vin de l'âme, dans la miséricorde, par qui les paroles de la vie ont été prononcées, et dans la mort de laquelle nos péchés sont morts: regardez sur le cœur par la douleur brisée, regardez les larmes par les pécheurs Said; et soyez ta fête pour nous le tokenthat par ta grâce, nos âmes sont nourries.
@reginaldHeber
Des montagnes glacées du Groenland, du brin corail de l'Inde, où les fontaines ensoleillées d'Afrique se trouvent sur leur sable doré; de nombreuses rivières anciennes, de nombreuses plaines palmatiques, ils nous appellent pour délivrer leur terrain de la chaîne d'erreur.
@reginaldHeber
Lorsque le voile de la mort a été établi entre nous et les objets de notre respect, à quel point nous devenons à la vue rapide à leurs mérites, et à quel point nous souvenons-nous amèrement, ou même les regards, de méchanceté qui aurait pu s'échapper dans nos rapports avec nos rapports avec eux.
@reginaldHeber
La mort monte sur chaque brise qui passe, il se cache dans chaque fleur.