Australopithecus species have been the topic of much debate in palaeoanthropology since Raymond Dart described the first species, Australopithecus africanus, in 1925.  This volume synthesizes the geological and paleontological context of the species in East and South Africa, covers individual sites, such as Dikika, Hadar, Sterkfontein, and Malapa, debates the alpha taxonomy of some of the species, and addresses questions of the movements of the species across the continent.  Additional chapters discuss the genus in terms of sexual dimorphism, diet reconstruction - using microwear and isotopic methodologies, postural and locomotor behavior, and ontogeny.ai

The Paleobiology of Australopithecus

L'histoire et les progrès de la paléontologie : ses modèles, ses techniques expérimentales, ses acteurs, son rôle dans la reconstitution de l'évolution ou de l'étude des événements cataclysmiques. Méconnue mais fascinante, cette discipline souligne l'urgence d'un changement de comportement de l'espèce humaine, en passe d'anéantir un nombre considérable d'espèces animales en détruisant l'environnement.

La sixième extinction ; évolution et catastrophes

Le nom de Leakey évoque celui d'une grande famille d'anthropologues : Louis Leakey, Mary Leakey et leur fils Richard ont révolutionné l'étude des origines de l'homme par leurs découvertes et leurs travaux en Afrique orientale.
Richard Leakey, en 1984, a eu la chance de mettre au jour, près du lac Turkana, le squelette complet d'un jeune garçon qui vivait il y a un million et demi d'années (Homo erectus). Dans L'Origine de l'humanité, Richard Leakey nous restitue l'aventure de la paléontologie moderne et fait le point sur ses connaissances les plus récentes concernant l'apparition de l'homme, ses caractéristiques physiques, ses lieux d'habitat.
IL insiste sur le rôle, chez nos ancêtres, de la bipédie, capacité révolutionnaire à l'origine de progrès considérables. Il montre ensuite comment les hommes ont développé organisation sociale, culture, langage, et cette qualité fondamentale et mystérieuse : la conscience de soi.

L'origine de l'humanite

Les origines de l'homme

L'histoire de la Terre est ponctuée d'extinctions de masse qui, par cinq fois, ont détruit jusqu'à 95% des espèces vivantes. Ces grandes extinctions, leurs causes et leurs conséquences ont fait couler beaucoup d'encre : l'hypothèse la plus admise aujourd'hui attribue ces catastrophes naturelles à la collision d'un astéroïde avec notre planète ; en outre, ces extinctions ne sont plus assimilées à des trous noirs de l'évolution car elles ont provoqué, à terme, des sursauts d'inventivité de la vie. Qui en réchappe, enfin ? Là aussi, les scientifiques ont revu la thèse darwinienne de la sélection naturelle par le niveau d'adaptation des espèces à leur environnement : les mammifères n'étaient pas mieux adaptés que les dinosaures qu'ils ont remplacés à la fin du Crétacé... Chaîne du vivant en dents de scie, sauts qualitatifs d'une espèce à celle qui lui succède, part de l'aléatoire dans la sélection naturelle : avec cette histoire de la diversité et de la complexité croissante de la vie, Richard Leakey et Roger Lewin appellent aussi de leurs voeux une prise de conscience. L'homme est, certes, le produit des hasards de l'évolution, et voué, comme toute espèce, à la disparition, mais il reste la seule espèce consciente de cette diversité des formes de vie sur Terre dont l'époque actuelle nous offre la plus grande panoplie. Au moment où la croissance de la population et l'exploitation frénétique des ressources naturelles risquent de provoquer la sixième extinction de masse, les deux auteurs nous rappellent que l'aptitude proprement humaine à admirer la nature devrait avoir pour corollaire le souci d'en protéger la diversité, fruit de quatre milliards d'années.

La Sixième extinction : Évolution et catastrophes

Le nom de Leakey évoque celui d'une grande famille d'anthropologues : Louis Leakey, Mary Leakey et leur fils Richard ont révolutionné l'étude des origines de l'homme par leurs découvertes et leurs travaux en Afrique orientale. Richard Leakey, en 1984, a eu la chance de mettre au jour, près du lac Turkana, le squelette complet d'un jeune garçon qui vivait il y a un million et demi d'années (Homo erectus). Dans L'origine de l'humanité, Leakey nous restitue l'aventure de la paléontologie moderne et fait le point sur ses connaissances les plus récentes concernant l'apparition de l'homme, ses caractéristiques physiques, ses lieux d'habitat. Il insiste sur le rôle, chez nos ancêtres, de la bipédie, capacité révolutionnaire à l'origine de progrès considérables. Il montre ensuite comment les hommes ont développé organisation sociale, culture, langage, et cette qualité fondamentale et mstérieuse : la conscience de soi.

L'origine de l'humanité

Les Origines de l'homme

Richard Erskine Frere Leakey, né le 19 décembre 1944 à Nairobi et mort le 2 janvier 2022 près de Nairobi, est un paléoanthropologue kenyan. 
Il a travaillé dans la partie orientale de l'Afrique et en particulier au Kenya avant de s'impliquer dans la politique de ce pays.

L'élimination rituelle des morts parle clairement d'une conscience de la mort, et donc d'une conscience de soi.

Il ne faut pas oublier qu'il y a très peu d'articles survivants de cette période, souvent juste simples, petits os, une dent, un ruban de crâne. La catégorisation de ces pièces peut être très difficile.

Les innovations scientifiques nous fournissent continuellement de nouveaux moyens d'analyser les découvertes.

Les éléphants peuvent vivre jusqu'à un âge allant jusqu'à 70 ou 80 ans et ils ont une bonne mémoire. Il se pourrait qu'ils rencontrent une zone qui connaît une sécheresse. Ensuite, ils continuent sur leur chemin et rencontrent des gens.

La culture représente une nouveauté dans le monde de la nature, et elle aurait pu ajouter un bord efficace et unificateur aux forces de la sélection naturelle.

Nous espérons trouver plus de pièces du puzzle qui feront la lumière sur la connexion entre ce singe droit, notre premier ancêtre et l'homme moderne.

Pour que les fossiles prospèrent, certaines circonstances favorables sont nécessaires. Tout d'abord, bien sûr, les vestiges de la vie doivent être là. Ceux-ci doivent ensuite être lavés avec de l'eau dès que possible, de sorte que les os sont recouverts d'une couche de sédiments.

Dans le domaine de la protection des espèces, nous devons nous préoccuper de ce qui est juste par opposition à ce qui pourrait être plus facile ou populaire à court terme.

Malheureusement, je ne suis plus en mesure de participer au travail sur le terrain moi-même, car mes deux jambes ont été amputées à la suite d'un accident d'avion il y a douze ans.

Comme chaque parent le sait, les enfants passent par une poussée de croissance des adolescents, au cours de laquelle ils ont mis des pouces à un rythme alarmant. Les humains sont uniques à cet égard: la plupart des espèces de mammifères, y compris les singes, progressent presque directement de la petite enfance à l'âge adulte.

Pendant trois millions d'années, nous avons été chasseurs-cueilleurs, et c'est par les pressions évolutives de ce mode de vie qu'un cerveau si adaptable et si créatif a finalement émergé. Aujourd'hui, nous nous tenons avec le cerveau de chasseurs-cueilleurs dans nos têtes, regardant un monde moderne mis à l'aise pour certains par les fruits de l'inventivité humaine, et rendus misérables pour d'autres par le scandale de la privation au milieu de l'abondance.

Les humains deviennent humains grâce à un apprentissage intense non seulement des compétences de survie, mais des coutumes et des mœurs sociales, de la parenté et des lois sociales, c'est-à-dire la culture.

Je risquerais de supposer que nous avons trouvé des restes humains fossilisés d'au moins un millier de spécimens différents en Afrique du Sud et de l'Est, plus ou moins complets à cela. Je pense que c'est là que le prélude à l'histoire humaine a été principalement joué.

Le problème des singes n'est pas une pénurie d'argent, c'est une pénurie de stratégie. Faisons nos esprits ... la seule chose que nous avons plus que les autres singes ... et sécurisons leur avenir.

Lors de la chasse aux fossiles, il est très facile d'oublier que plutôt que de vous dire comment les créatures vivaient, les restes que vous trouvez indiquent seulement où ils sont devenus fossilisés.

Moi aussi, je suis convaincu que nos ancêtres venaient d'Afrique.

La paléoanthropologie n'est pas une science qui se termine par la découverte d'un os. Il faut avoir l'original avec lequel travailler. C'est une tâche à vie.

Il m'est venu à l'esprit que si je ne gérais pas le crash correctement, il n'y aurait pas de survivants.

Un certain nombre de scientifiques d'horizons très différents peuvent proposer des évaluations complètement différentes. Les discussions ou polémiques sont sans fin. Une fois par an, nous essayons de réunir les découvreurs les plus importants pour échanger leurs expériences et leurs connaissances.

Les éléphants étaient abattus dans des masses. Certains ont même été tués à proximité des grands hôtels touristiques.

Nous sommes des singes bipèdes, et il ne devrait pas être surprenant de voir ce fait reflété dans la façon dont nos ancêtres vivaient.

J'ai été élevé pour croire à la liberté de pensée et de discours. Si une minorité souhaite accepter cette position, c'est leur droit. Ce que je crains, c'est que cette minorité puisse sembler plus grande qu'elle ne l'est vraiment. Ce qui est étrange, c'est qu'il y a encore des gens qui croient que le monde n'est pas un globe.

Il est pratiquement impossible de contrôler le nord du Kenya, qui est peuplé principalement par des nomades migrants.

Faisant écho aux critiques faites des crânes Habilis de son père, il a ajouté que le crâne de Lucy était si incomplet que la plupart de celle-ci était «l'imagination faite de plâtre de Paris», ce qui rend impossible de tirer une conclusion ferme sur les espèces à laquelle elle appartenait.

Il a fallu environ 230 ans pour identifier et décrire les trois quarts d'un million d'insectes; S'il y a en effet au moins trente millions, comme l'estime Erwin (Terry Erwin, le Smithsonian Institute), alors, travaillant comme dans le passé, les taxonomistes d'insectes ont dix mille ans d'emploi devant eux. Ghilean Prance, directeur des jardins botaniques de Kew, estime qu'une liste complète des plantes dans les Amériques occuperait des taxonomistes pendant quatre siècles, travaillant à nouveau à des tarifs historiques.

Changement climatique: Nous n'avons jamais fait face à un moment plus critique sur notre planète

https://fr.wikipedia.org/wiki/Richard_Leakey

Ses oeuvres

Ses derniers livres