Un simple matelot de la marine américaine finit par révolutionner le concept même des forces spéciales en créant l'unité d'élite américaine la plus célèbre au monde : le SEAL Team 6.À l'origine, rien ne laissait présager que Richard Marcinko, un fils de mineur d'origine tchèque, révolutionnerait le concept même des forces spéciales en créant l'unité d'élite américaine la plus célèbre au monde : le SEAL Team 6. Pour Dick Marcinko, ce jeune homme bagarreur, grande gueule, doté d'une volonté hors du commun, tout commence par un engagement comme simple matelot dans la marine américaine en tant que transmetteur, jusqu'à ce qu'il découvre l'existence des SEAL, les forces spéciales de la Navy, et qu'il fasse le nécessaire pour intégrer l'un des deux seuls « teams » existant à l'époque. Déployé à deux reprises au Vietnam, sa personnalité hors du commun le pousse à user de stratégies de contre-guérilla particulièrement agressives à l'égard du Viet-cong, quitte à enfreindre les ordres d'un état-major réticent à l'idée de prendre des risques. Nommé conseiller militaire au Cambodge à l'issue de la guerre du Vietnam, il continue à passer plus de temps sur le terrain que dans son bureau. Détesté par certains officiers d'état-major, adulé par d'autres, Marcinko va ensuite prendre le commandement du SEAL Team 2, mais l'échec de l'opération Eagle Claw - menée par la Delta Force pour libérer des otages américains retenus en Iran - signe la réorganisation du commandement des opérations spéciales. Dick Marcinko se voit alors confier la mission de créer une nouvelle unité spéciale capable d'intervenir partout dans le monde, à n'importe quel moment, dans n'importe quel environnement. Il va désormais consacrer toute son énergie à façonner à son image cette unité d'exception qu'est le SEAL Team 6. Un nom qui est, depuis, entré dans l'Histoire. Découvrez le parcours de Dick Marcino, fils de mineur d'origine tchèque, qui créa l'illustre unité SEAL Team 6, une unité capable d'intervenir partout dans le monde, à n'importe quel moment, dans n'importe quel environnement.

Un guerrier non conventionnel - Mémoires du fondateur du SEAL Team 6

A l'origine, rien ne laissait présager que Richard Marcinko, un fils de mineur d'origine tchèque, révolutionnerait le concept même des forces spéciales en créant l'unité d'élite américaine la plus célèbre au monde : le SEAL Team 6. Pour Dick Marcinko, ce jeune homme bagarreur, grande gueule, doté d'une volonté hors du commun, tout commence par un engagement comme simple matelot dans la marine américaine en tant que transmetteur, jusqu'à ce qu'il découvre l'existence des SEAL, les forces spéciales de la Navy, et qu'il fasse le nécessaire pour intégrer l'un des deux seuls "teams" existant à l'époque. Déployé à deux reprises au Vietnam, sa personnalité hors du commun le pousse à user de stratégies de contre-guérilla particulièrement agressives à l'égard du Viet-cong, quitte à enfreindre les ordres d'un état-major réticent à l'idée de prendre des risques. Nommé conseiller militaire au Cambodge à l'issue de la guerre du Vietnam, il continue à passer plus de temps sur le terrain que dans son bureau... Détesté par certains officiers d'état-major, adulé par d'autres, Marcinko va ensuite prendre le commandement du SEAL Team 2, mais l'échec de l'opération Eagle Claw- menée par la Delta Force pour libérer des otages américains retenus en Iran — signe la réorganisation du commandement des opérations spéciales. Dick Marcinko se voit alors confier la mission de créer une nouvelle unité spéciale capable d'intervenir partout dans le monde, à n'importe quel moment, dans n'importe quel environnement. Il va désormais consacrer toute son énergie à façonner à sa manière cette unité d'exception qu'est devenu le SEAL Team 6. Un nom qui est, depuis, entré dans l'Histoire.

Appelez cela un défaut de caractère - lorsqu'il est attaqué, je contre-attaque. Toujours.

Plus vous transpire en entraînement, moins vous saignez au combat.

Les règles de la guerre et des affaires sont les mêmes. La victoire et le succès sont les mêmes. Dans l'un, c'est la vie et / ou la mort dans l'autre, c'est le succès ou l'échec. Il y a vraiment peu de place pour le compromis de "matière grise".

Il n'y a qu'un seul type d'échec que je ne peux pas tolérer: l'échec de l'échec.

Tirez d'abord et posez des questions pas du tout

La sagesse conventionnelle n'est pas du tout la sagesse. La sagesse conventionnelle prend la parole de quelqu'un d'autre pour la façon dont les choses sont les adeptes de ce monde qui comptent sur l'hypothèse. Pas les dirigeants.

Au cours des dernières semaines, je réagissais. Ce n'était pas une façon de gagner. Pour gagner, vous prenez l'initiative. Vous déclenchez l'action. Vous faites réagir l'adversaire à vous.

La douleur était la façon de leur corps de leur dire qu'ils s'étaient poussés à leurs limites - ce qui était exactement là où ils étaient censés être.

Je demande à mes enfants (tous) d'être ce qu'ils veulent être; Soyez juste le meilleur possible à ce qu'ils choisissent.

Le changement fait mal. Cela rend les gens peu sûrs, confus et en colère. Les gens veulent que les choses soient les mêmes qu'elles l'ont toujours été, car cela facilite la vie. Mais, si vous êtes un leader, vous ne pouvez pas laisser votre peuple s'accrocher au passé.

Le combat de la guerre et une guerre économique ont beaucoup de similitudes. Vous devez être qualifié, agressif, connaître votre ennemi et vos attributs et limitations forts. Les deux compétences sont nécessaires, bien que l'on puisse être plus naturel.

Lorsque vous vous battez, vous ne vous battez pas pour des valeurs abstraites comme le drapeau, la nation ou la démocratie. Vous vous battez pour votre copain. Vous vous battez pour le garder en vie, et il se bat pour vous garder en vie, et vous allez dans cette direction, jour après jour, bataille après la bataille. Et quand l'un de vos copains meurt, quelque chose à l'intérieur de vous décède également. Mais vous continuez. Vous vous battez, pour que sa mort ne soit pas vide de sens, son sacrifice n'est pas pour rien.

Je ne suis pas la pensée; "Gagner n'est pas important, jouer au jeu est". Si cela est en fait vrai; Alors pourquoi gardons-nous le score ??

Les couteaux sont comme des cartes de crédit; Ne quittez pas la maison sans eux et en portez toujours plusieurs

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