Le 23 mars 2003, non loin de Nasiriyah, le convoi de ravitaillement de Jessica Lynch tombe dans une embuscade et quatre de ses compagnons sont tués. Jessica pour sa part est conduite dans un hôpital où on la retiendra prisonnière neuf jours durant. Son sauvetage par un commando d'élite fait la une de la presse internationale et galvanise le peuple américain en mal de victoire. Et puis, tout aussi vite, la voici qui passe du statut d'héroïne à celui de manipulatrice ; car le doute plane : est-elle complice d'une opération " marketing " orchestrée par les va-t-en-guerre de Washington ? Or Jessica n'est qu'une jeune fille de dix-neuf ans qui s'est engagée dans l'armée pour financer ses études d'institutrice, et voir le monde. Elle est revenue d'Irak les jambes brisées, les reins hors d'état de marche, le cœur lourd de multiples violences. Inlassablement, elle répète sa vérité : " Je ne suis pas une héroïne, je suis une survivante. " Et c'est avec l'aide de Riek Bragg, journaliste lauréat du prix Pulitzer, qu'ici elle rétablit les faits.

Jessica Lynch, otage en Irak - Occasion

Eglises En Bois. Regards D'Ecrivains

C'est une condition courante d'être pauvre ... Vous avez toujours peur que les bonnes choses de votre vie soient temporaires, que quelqu'un puisse les enlever, car vous n'avez aucun pouvoir au-delà de votre propre force brute pour les arrêter.

La seule chose que la pauvreté fait est de broyer vos terminaisons nerveuses au point que vous pouvez travailler plus dur et vous baisser plus bas que la plupart des gens. Il éloigne les rêves d'une personne au point que le désespoir se manifeste, et le rêveur accepte que le travail acharné et les maisons empruntées sont toute cette vie.

J'ai dicté des histoires d'un aéroport après avoir écrit l'histoire à long terme dans l'avion que j'ai obtenu des interviews téléphoniques, puis j'ai été applaudi par les éditeurs pour «Magic de travail».

Il est facile d'être apprécié lorsque le monde n'a pas de bords dentelé, lorsque la vie est des couvertures électriques et des glaces de pêche. Mais pour être aimé, un homme a besoin d'un dragon.

Chaque vie mérite une certaine dignité, peu importe à quel point la coquille qui le porte pauvre ou endommagée la porte.

J'ai commencé à lire le roman de Harper Lee dans la nuance maigre d'un pin à l'extérieur de la maison de ma grand-mère, de gros beagles pressant contre moi, suppliant l'attention, ignoré. À Dark, j'ai continué à lire, d'abord sur le canapé, un sandwich à la bologne dans une main, puis dans mon lit, à la lumière d'une ampoule de 60 watts suspendue au plafond sur un cordon de goutte orange. Lorsque ma mère est venue de son travail de femme de chambre et a débranché mon lustre, j'ai rejoué l'histoire dans ma tête jusqu'à ce qu'elle soit épuisée par les rêves. Je me suis réveillé le lendemain matin, odorant des biscuits et j'ai de nouveau atteint le livre.

J'ai dicté des histoires d'un aéroport après avoir écrit l'histoire à Longhand dans l'avion que j'ai obtenu des interviews téléphoniques, puis j'ai été applaudi par les éditeurs pour «Magic de travail».

Ce fut un bon moment, le genre que vous aimeriez appuyer entre les pages d'un livre, ou vous cacher dans votre tiroir à chaussettes, afin que vous puissiez le toucher à nouveau.

Je ne pense pas qu'il y ait une différence entre écrire pour un journal ou un magazine et faire un chapitre dans un livre.

Il y a ces écrivains de boutique qui pensent que s'ils n'écrivent pas leurs romans assis dans un bistrot avec leurs ordinateurs portables, alors ce ne sont pas de vrais écrivains. C'est ridicule.

Vous ne détestez pas le temps que vous perdez; Cela évoque une émotion beaucoup plus passive que cela. Vous souhaitez seulement l'avoir en arrière, comme un quart dans une machine à sous malchanceuse.

Mais j'espère que je n'aurai jamais une vie qui n'est pas entourée de livres, par des livres liés au papier et au tissu et à la colle, de telles choses périssables pour les idées ont duré des milliers d'années. . . J'espère que je suis toujours mural par le poids et la largeur et la vapeur maladroits, inefficaces et désuets, j'espère que je passerai mes derniers jours sur cette terre à organiser et à les réorganiser sur des trônes de bon pin, chêne et acajou, en acajou, Parce que j'aime juste regarder leurs couvertures et rêver de la promesse des belles histoires à l'intérieur.

Lorsque vous êtes un rédacteur sportif, vous apprenez à utiliser votre imagination et à fléchir votre muscle littéraire, car c'est le même jeu joué à maintes reprises. Il n'y a rien d'unique ou de merveilleux. Ce n'est pas un tremblement de terre ou un meurtre de masse étrange. C'est juste le même vieux jeu joué encore et encore, et vous devez faire ressortir les personnalités. Vous devez les faire glisser les coups de pied et crier à la lumière du jour, ou vous n'êtes pas un bon rédacteur sportif.

C'est un endroit où les grands-mères tiennent des bébés sur leurs tours sous les étoiles et chuchotent dans leurs oreilles que les lumières dans le ciel sont des trous dans le sol du ciel.

Et Sandy Martindale... est sortie avec Elvis avant les combinaisons à strass et la drogue, quand il était pointu, cool et déchiqueté, comme de la porcelaine projetée contre un mur.

Il n'est pas rare d'envoyer quelqu'un pour mener une interview que vous n'avez pas le temps de mener. C'est ce que nous faisons.

Les meilleurs écrivains qui ont mis un stylo sur papier ont souvent eu une formation en journalisme.

J'ai fait des amis pour la vie, la façon dont je les fais habituellement. Tout crétin peut être agréable, mais si les gens vous aident lorsque vous êtes à votre pire, c'est un ami.

La plupart des correspondants nationaux vous diront qu'ils comptent sur des limons et des chercheurs et stagiaires et commis et assistants de presse.

Je crois que si nous allons écrire sur la vie et la mort, nous ne devons pas le faire à partir des sièges bon marché.

La passion est quelque chose que vous ne manquez vraiment pas, après avoir refroidi. C'est comme regarder une bouteille vide sur le bord de la route et penser: "Mon garçon, j'aurais aimé avoir un coke." Les amours que vous manquez sont ceux qui disparaissent quand ils sont encore chauds, même chauds, au toucher.

Comme la plupart des hommes, Jimmy Jim n'était ni bon ni tout mauvais. C'est juste que quand il était mauvais, des gens plus doux ont vu en lui une fureur inquiétante. Les gens, beaucoup eux, ne comprennent pas la fureur. Ils comprennent la colère et même la haine, mais Fury est l'un de ces vieux mots qui se sont démolis. Jimmy Jim Bundrum l'a compris. Il monta son épaule comme un perroquet.

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