Once upon a time I was falling apart. Now I'm always falling in love. Pick up the microphone. When Rob Sheffield moved to New York City in the summer of 2001, he was a young widower trying to start a new life in a new town. Behind, in the past, was his life as a happily married rock critic, with a wife he adored, and a massive collection of mix tapes that captured their life together. And then, in a flash, all he had left were the tapes. Beyoncé , Bowie, Bon Jovi, Benatar .

Turn Around Bright Eyes - The Rituals of Love and Karaoke

Années 1990. Pearl Jam, Pavement, Nirvana, Beck et BjArk imposent un son nouveau A une culture américaine en pleine mutation. Rob Sheffield, un grand timide passionné de rock, rencontre Renée, une furie punk des Appalaches. Deux êtres que tout oppose hormis la musique. C'est elle, en effet qui les réunit, et c'est elle qui va rythmer leur histoire d'amour, devenir leur paysage intime. C'est elle qui aidera Rob à surmonter la disparition brutale de Renée. Rob Sheffield nous raconte cette histoire d'amour trop vite interrompue à partir de sa "bande originale", les K7 que lui et Renée enregistraient l'un pour l'autre. Des K7 pour l'amour, d'autres pour se faire la gueule, des K7 pour les jours radieux, d'autres pour les jours de pluie.Livre à la BO exceptionnelle, d'Elvis à Missy Elliott, des Rolling Stones à Yo La Tengo, de Léonard Cohen à Pavement, Bande originale est surtout une magnifique chanson d'amour. On nous aura rarement fait comprendre avec autant d'émotion combien la musique est inséparable de nos vies, comment elle rythme nos jours, leurs harmonies et leurs dissonances.

Bande Originale

Comme la plupart des fans de «So You Think You Can Dance», je ne connaîtrais pas une pasodoble si elle me battait avec un râteau.

Il est facile de voir pourquoi «l'American Horror» est en train de faire des gens. Les hallucinations ultravioles ne s'arrêtent jamais assez longtemps pour avoir un sens. En termes de cohérence, cela fait ressembler votre film moyen de David Lynch à «Burn Avis».

Je suis sentimental sur la musique des années 90. Déplorable, vraiment. Mais j'aime tout. En ce qui me concerne, les années 90 étaient la meilleure époque de la musique de tous les temps, même ce que je déteste à l'époque, même les choses qui m'ont donné des crampes d'estomac.

Chaque bande de mixage raconte une histoire. Les assembler, et ils s'ajoutent à l'histoire de la vie.

Julia Louis-Dreyfus est tout simplement parfaite dans «Veep». Elle peut montrer les griffes épineuses sous sa finesse patricienne. La façon évidente de jouer «Veep» serait de faire de Louis-Dreyfus une héroïne folklorique, une héroïne folklorique, une avec un cœur plus commun ou populiste que ses ennemis. Mais elle n'en est pas un.

La mépabilité des célébrités est une chose précieuse.

Nos vies ne faisaient que commencer, notre moment préféré était en ce moment, nos chansons préférées n'étaient pas écrites.

Chaque Américain veut une ardoise propre, mais personne ne veut perdre ce qu'il a.

Les gens qui agitent des caméras numériques lors de spectacles sont les mêmes personnes qui s'assoient devant vous lors de jeux de hockey et portent ces doigts géants de mousse qui disent, nous sommes numéro un!

Parfois, de grands morceaux arrivent aux mauvais moments, et lorsque le mauvais temps est terminé, tous les morceaux ne peuvent pas avancer avec vous.

On pourrait penser que si quelqu'un pouvait empêcher l'Amérique de se soucier des nouvelles du soir, ce serait Katie Couric, le Tri Delt de Virginie qui est devenu la chérie de l'Amérique dans le spectacle «Aujourd'hui». Mais ses notes ont été lamentables - elle arrive à la dernière place chaque semaine.

Vous ne pouvez pas battre l'attitude de la ruche pour la punkette glamour.

Dans mes écouteurs, j'ai mené une vie de romance, d'incident et d'intrigue, dont aucune n'avait rien à voir avec le monde en dehors de mon Walkman.

Mais le rythme de la bande de mixage est le rythme de la romance, le bourdonnement analogique d'une connexion physique entre deux corps humains bâclés.

Vous pouvez entendre le rythme cardiaque celtique dans toute l'Europe et l'Amérique, de Bing Crosby à Jack White, des Smiths à ma sanglante Valentine, de House of Pain à Marky Mark et du groupe funky.

La première saison de «Community» a trébuché un peu parce que les intrigues ont trop souvent traversé le réalisme, mais ce n'est plus un problème. Pas lorsque les épisodes de prix concernent un fort de couverture à l'échelle du campus, ou un jardin secret avec un trampoline magique.

Vous connaissez la chanson du prince où le téléphone de la fille sonne mais elle lui dit: "Quiconque appelle ne pourrait pas être aussi mignon que toi?" J'ai envie de vivre ce moment dans la vraie vie.

Autrefois, lorsqu'une star a quitté un émission à succès encore en flèche, il célébrait en le tuant. Mais «The Office» a envoyé Michael Scott d'une manière plus cruelle et plus finale: ils l'ont rendu normal. Puisque nous parlons de Michael Scott, «Normal» pourrait l'étirer, évidemment.

L'amour meurt de différentes manières, et il est naturel que l'herbe semble plus verte de l'autre côté. Mais ce n'est pas une compétition; Il y a beaucoup de douleur à faire.

Je ne savais pas ce que j'étais. Je n'avais pas de nom.

Big Star a inventé une vision du rock & roll bohème cool qui n'avait rien à voir avec New York, Los Angeles ou Londres, ce qui les a complètement démodés dans les années 1970, mais en a également fait une source d'inspiration pour des générations de gamins étranges du Sud.

C'est un peu incroyable à quel point «Gray's Anatomy» est populaire. Quel autre spectacle peut se vanter d'une distribution aussi sincère de médecins, glissant à travers de tels triangles d'amour superficiels?

Mais la réponse est simple. L'amour est une bande de mixage.

Je n'avais aucune voix avec qui parler parce qu'elle était toute ma langue.

Merci pour la musique, Sleater-Kinney. Ce gang de trois était le meilleur groupe de punk rock américain de tous les temps. Jamais.

Lorsque vous collez une chanson sur une bande, vous la libère.

L'essentiel de l'écran LCD est que les gens ont toujours voulu que ce groupe existe. Pendant des années, il était manifestement évident qu'un groupe comme celui-ci devait exister, et les gens attendaient avec impatience qu'ils se présentent.

Les musiciens monogames sont comme des joueurs de hockey végétalien.

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