Exploring the relationship between human behaviour and economic analysis : Microeconomics and Behaviour 2nd Edition establishes the fundamentals of intermediate microeconomics in a clear and narrative style and develops economic intuition about the world around us. The text continually encourages the reader to think like an economist through the development of core analytical tools and Economic Naturalist examples. Distinctive Features : Economic Naturalist examples : Updated for the new edition, the text uses Economic Naturalist examples to show how economic principles can be used to explain experiences and observations of everyday life. Throughout the text, these examples demonstrate the relevance of economics by enabling the reader to apply economic concepts to everyday situations and also instil an inclination to do so. Why do people not haggle in supermarkets ? Why does it pay to be careful with special offers ? Business examples : Making content even more relevant for business students, Microeconomics and Behaviour 2nd Edition contains numerous examples that relate to business issues, tackling such questions as : Why is it good that Uber increases prices in crisis situations ? Why did mobile phone companies pay too much (or too little) for a 3G licence ?

Microeconomics and Behaviour

Principles of Economics

Qu'est-ce qui pousse les plus riches à dépenser des sommes folles pour acquérir des objets de luxe ? Et quel est le prix de cet engouement pour les individus et pour la société ? Voilà les questions qui ont conduit Robert H. Frank à examiner le rapport entre nos habitudes de consommation et notre quête du bonheur. Psychologie évolutionniste à l'appui, il révèle que la consommation de luxe est souvent liée à des préoccupations de statut social. Si les dépenses de luxe ne font guère souffrir les plus riches, Frank démontre leur effet sur l'ensemble de la société : nos heures de travail ne cessent de s'allonger et le temps consacré à la famille ou aux amis diminue comme peau de chagrin. Tout cela pour rester dans la course. Affirmant par ailleurs que les difficultés ainsi engendrées pour la classe moyenne et les plus démunis sont imputables aux forces concurrentielles du marché, Frank plaide pour une réforme fiscale ingénieuse qui permettrait de remédier aux effets pervers de la consommation de luxe. Livre à la fois engagé et solidement ancré dans la recherche, La course au luxe séduit tant par son analyse originale des inégalités économiques que par les perspectives qu'il laisse entrevoir.

La course au luxe - L'économie de la cupidité et la psychologie du bonheur

Principes d'économie (4e édition)

Des questions telles que "est-ce que mon costume est ok?", Ou "Mes performances professionnelles sont-elles satisfaisantes?", Sont impossibles à penser en l'absence d'un cadre de référence approprié. Pour une action en interview pour servir son objectif, il doit vous faire bien paraître par rapport aux autres candidats pour le travail que vous souhaitez. Pour que votre performance professionnelle soit satisfaisante, elle doit se comparer favorablement avec les performances des autres qui souhaitent la même promotion que vous. Comme Charles Darwin l'a vu clairement, une grande partie de la vie est notée sur la courbe et les modèles économiques conventionnels ignorent complètement ce fait.

Comme John Maynard Keynes nous l'a enseigné dans les années 1930, dans de telles situations, le gouvernement est la seule entité ayant à la fois le motif et la capacité d'augmenter suffisamment les dépenses totales pour remettre les gens au travail. Il se trouve qu'il existe de longues listes de projets publics importants qui ne demandent qu'à être réalisés.

La vie est notée sur la courbe. Ce n'est pas à quel point vous êtes, à quel point vous êtes fort, à quel point vous êtes intelligent. C'est à quel point vous êtes bon dans les choses qui comptent par rapport aux gens qui vous entourent.

L'erreur la plus courante que nous faisons en tant qu'enseignants est de tenter trop de dire à nos élèves.

À moins que nous puissions agir collectivement, il n'y aurait aucun moyen de nous défendre, aucun moyen de définir ou d'appliquer les droits de propriété. Nous ne pouvions pas freiner la congestion ou la pollution ni construire et maintenir les infrastructures publiques.

L'une des raisons qui pourraient motiver un travailleur à accepter un emploi plus risqué avec un salaire plus élevé, par exemple, serait que cela lui permettrait de soumissionner plus efficacement pour une maison dans un meilleur district scolaire. Mais si d'autres travailleurs faisaient de même, aucun n'atteindre l'objectif pour lequel ils s'efforçaient.

Le lien entre le comportement individuel rationnel et les résultats collectivement souhaitables est extrêmement ténu.

Pendant les trois décennies qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale, les revenus ont augmenté d'environ 3% par an pour les personnes de haut en bas de l'échelle de revenu, mais depuis lors, la plupart des revenus se sont produits chez le quintile supérieur. Et parmi ce groupe, la majeure partie de la croissance des revenus s'est produite parmi les 5% les plus élevés. Le motif se répète tout le long. La majeure partie de la croissance parmi les 5% les plus importantes a été parmi les 1% les plus élevés, et la majeure partie de la croissance parmi ce groupe a été parmi les plus hauts d'un dixième de un pour cent.

Il n'est pas exagéré de dire que l'augmentation des inégalités a conduit bon nombre des 99% dans un fossé financier. Cela a également aidé à engendrer la bulle de logement qui nous a donné la crise financière de 2008, dont les effets persistants ont forcé de nombreux manifestants de la SOW à essayer de lancer leur carrière dans le marché du travail le plus inhospitalier que nous ayons vu depuis la Grande Dépression. Même les récents diplômés qui parviennent à trouver des emplois subiront une pénalité de toute une vie dans une réduction des salaires.

John Stuart Mill pensait que la seule raison acceptable pour que le gouvernement limite la liberté d'une personne était de l'empêcher de nuire inacceptable aux autres. Mill n'était pas libertaire, mais de nombreux libertaires ne sont pas rapides à citer ce principe lorsqu'ils se disputent un règlement à qui ils s'opposent. Et je crois que la plupart des libertaires réfléchis sont prêts à embrasser quelque chose de assez proche du principe de dommage de Mill. Mais accepter ce principe implique d'accepter de nombreuses institutions de l'État providence moderne que les libertaires se sont vigoureusement opposés dans le passé, comme la réglementation de la sécurité.

La hausse des inégalités n'a vraiment rien fait de valeur pour ses bénéficiaires ostensibles, le plus haut de pour cent. Ils ont tous construit de plus grandes demeures et organisé des fêtes plus somptueuses. Mais ce faisant, ils ont simplement soulevé la barre qui définit ce qui est considéré comme adéquat dans ces catégories.

Comme les économistes le notent depuis longtemps, le problème n'est pas que si peu de gens votent, c'est que beaucoup le font. Après tout, aucun vote individuel n'a jamais fait pencher la balance dans une élection présidentielle.

L'économie, comme elle est souvent enseignée aujourd'hui, nous dépeint comme Homo Economicus-quelqu'un qui ne vote pas aux élections présidentielles, ne renvoie pas de portefeuilles perdus et ne laisse pas de conseils lors de la restauration de la ville. Julie Nelson nous rappelle que la plupart des gens ne sont pas vraiment comme ça. Elle aide à ouvrir la voie à une façon plus riche et plus descriptive de penser à la vie économique.

Nous pourrions réduire les dépenses privées de plusieurs billions de dollars par an sans nécessiter de sacrifices douloureux de la part de quiconque. Ce serait plus que suffisant pour reconstruire notre infrastructure en ruine et éliminer une fois pour toutes l'endettement du gouvernement.

Si les taux d'imposition marginaux les plus élevés sont réglés trop élevés, ils découragent l'activité économique productive. Dans la limite, un taux d'imposition marginal le plus élevé de 100% signifierait que les contribuables n'accepteraient rien en travaillant plus dur ou en investissant davantage. En revanche, un taux marginal supérieur plus élevé sur la consommation encouragerait en fait les économies et les investissements. Un taux d'imposition de la consommation marginale supérieure de 100% signifierait simplement que si une famille riche dépensait un dollar supplémentaire, elle doit également un dollar supplémentaire d'impôt.

En bref, les choses dont nous avons besoin dont nous avons besoin et les choses disponibles pour que nous achetons dépendent en grande partie - par un certain point, presque entièrement - sur les choses que les autres choisissent d'acheter.

Lorsque la tarte économique s'agrandit, il est toujours possible pour tout le monde d'avoir une tranche plus grande qu'auparavant. Il est donc vraiment dans tout notre intérêt d'agrandir la tarte économique en éliminant les déchets chaque fois que possible.

Le retrait de l'économie sur pied est correctement considéré comme un investissement dans la prospérité future. Lorsque les entreprises et les consommateurs sont confrontés à des opportunités d'investissement attrayantes, souvent le seul moyen de les saisir est d'emprunter. Il en va de même pour le gouvernement. Contrairement aux déclarations des critiques de la relance économique, ces investissements n'appauvreront pas nos petits-enfants. Continuer à permettre à l'économie languissant en récession est le moyen le plus sûr de les appauvrir.

Si la recherche concerne des exemples qui contredisent les prédictions des modèles économiques standard, une bonne règle de base est de commencer en France.

Lorsque les gens se heurtent les uns aux autres au cours de la poursuite de leurs objectifs, il est dans l'intérêt de chacun de résoudre tout problème qui en résulte de la manière la moins coûteuse possible.

Aucune société n'a jamais réussi sans un gouvernement décent.

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