Au milieu du XXe siècle, Robert Klein s'est attelé à une tâche immense : repenser l'art et son histoire à partir de la notion aristotélicienne de technè. Loin d'être réductible à la représentation ou à la production du beau idéal, l'art est manière de faire, habitus ou disposition à produire selon une "droite raison" (recta ratio). Dans L'Esthétique de la technè, cette thèse placée sous la direction d'André Chastel et restée jusqu'à ce jour inédite, Klein montre de quelle façon cette conception artificialiste de l'art irrigue l'essentiel de la pensée et de la production artistique du XVIe siècle. L'oeuvre maniériste, qu'il s'agisse d'une sculpture "terrible" de Michel-Ange, d'un tableau "capricieux" d'Arcimboldo ou d'un bronze "virtuose" de Cellini, a pour finalité de susciter la stupeur et l'émerveillement, conduisant le spectateur à s'interroger sur les procès techniques (alliance d'intelligence et d'habilité manuelle) qui l'ont fait advenir sous cette forme. En mettant ainsi l'accent sur le comment, Klein conteste le privilège de l'idée sur les moyens et offre une vision "aristotélicienne" de la Renaissance bien différente de celle, essentiellement néoplatonicienne et idéaliste, à laquelle on la réduit encore trop souvent.

L'esthétique de la technè - L'art selon Aristote et les théories des arts visuels au XVIe siècle

«Robert Klein, dit André Chastel, circule sans aucune espèce d'embarras ni de confusion de la science à l'art, de la philosophie à l'interprétation des styles. Il considère avec prédilection les points d'interférence comme les emblèmes, où l'image se noue avec l'idée, la perspective, où elle subit l'épreuve d'une construction rationnelle, et les petits jeux analogiques où elle se colore de magie ; et dans chaque cas il ne découvre pas seulement la présence plus ou moins explicite d'un principe, une base doctrinale qu'il faut recueillir dans des textes oubliés, mais aussi le moment d'une préoccupation continue et qui, si l'on est assez attentif, débouche au milieu des problèmes et même des polémiques les plus modernes.»

La forme et l'intelligible - ecrits sur la renaissance et l'art moderne

Robert Klein est un acteur, scénariste, compositeur, producteur et réalisateur américain, né le 8 février 1942 à New York (New York).

Je suppose que je suis content et fier du respect de mes pairs, et que lorsque je disparais de la scène ou de cette terre, j'aurai laissé une marque. Ils diront: «Il l'a bien fait». J'aime être drôle; Il ouvre les gens.

Je n'ai pas de statistiques pour le prouver, mais je suis sûr que le lieu de travail américain sera affecté négativement lundi, le lendemain de XXIV. Le jeu sera au centre de la conversation, et les distractions heureuses et tristes seront à l'ordre du jour, sans parler des millions de gueule de bois. Je n'achèterais pas un grille-pain ou un parachute fabriqué le lendemain du Super Bowl XXIV. Vous ne pouvez pas engendrer une telle anticipation torride pour un événement si grand qu'il nécessite des chiffres romains en tant que suffixe, puis s'attendez à ce qu'il n'y ait pas de répercussions sociales à sa fin.

J'adore le théâtre en direct. Je retire mes rochers en faisant du stand-up, et je suis le seul acteur. Mais se présenter huit fois par semaine et ne pas avoir ce temps pour moi; Pour faire les lignes de quelqu'un d'autre? Lorsque je travaille pour Wendy Wasserstein ou Terrence McNally, Neil Simon ou même Shakespeare, je n'ai pas le droit de changer les lignes.

La comédie est toujours vivante et il y a encore des gens drôles. Les Juifs sont toujours surreprésentés dans la comédie et la psychiatrie et sous-représentés dans le sacerdoce. Cet humour juif immigré est toujours avec nous.

Les années 50 étaient terrifiantes avec des trucs de bombes nucléaires mais ennuyeux d'une manière sociale, puis les années 60 se produisaient, et rappelez-vous, il n'y avait pas de sida.

J'ai fait le premier spécial HBO jamais en 1975 au Haverford College. Le câble était nouveau alors: HBO était une entité temporelle, avec peut-être 400 000 ou 500 000 abonnés et peut-être 50 employés.

Selon un récit des écoles de la ville de New York dans les années 1950 : L'enseignant ne pouvait techniquement pas frapper l'enfant, mais les vieilles vieilles ont trouvé des moyens de contourner les règles. La méthode push-probe-pull était populaire, dans laquelle l'enseignante ne vous frappait pas, mais vous poussait avec ses doigts noueux et ressemblant à des sorcières et attrapait votre visage comme une tire de tire jusqu'à ce que vous hurliez. ... Le pull-and-choke était également un favori. Il a été exécuté en tirant la cravate obligatoire comme un nœud coulant, jusqu'à ce que le visage du garçon errant prenne les couleurs de l'école.

Mais je pense que l'autre ressemble un peu plus à la corrida, un peu plus audacieux et bien que j'apprécie le bon jeu d'acteur et que j'ai aimé être polyvalent toute ma carrière, cela m'a permis de travailler.

Qu'est-ce qui fait une bonne nounou? Une bonne nounou est quelqu'un qui veut vraiment faire le travail. Quelqu'un qui aime les enfants, qui apprécie vraiment ce qu'elle fait et, bien sûr, est apprécié par son employeur.

J'ai appris plus à la Second City que à Yale pour tous ces frais de scolarité élevés.

J'ai un régime d'entraînement; Je ne suis pas un maniaque. Cela semble cliché, mais la comédie stand-up, faisant un spectacle individuel, aide à me garder jeune, et oui, c'est épuisant, mais je ne m'effondre pas.

[Le Super Bowl, la quintessence de la création américaine. Un mélange étourdissant d'esprit d'entreprise brillant dans une atmosphère de compétition intense. C'est le spectacle parfait pour la culture la plus compétitive de ce système solaire.

Quand j'ai commencé, il n'y avait pas de communauté de comédie, pas d'industrie de la comédie; Il y avait des comédiens.

J'étais un clown de classe. Mon père était un clown de classe. Mon fils a été un clown de classe, et il a en quelque sorte couru dans la famille.

Il y a certaines familles qui incorporent absolument leur nounou dans le cadre de la famille, et il y a d'autres personnes, et il y a des codes pour cela, quand ils appellent, ils disent: «Je ne cherche vraiment pas un ami». Il est clair qu'ils ne seront pas membres de la famille.

J'allais dans l'école, je sens cette odeur institutionnelle de la soupe aux tomates, du beurre d'arachide, du désinfectant et de la salle des garçons. Passez la salle à manger, voyez la femme à manger familière avec la robe blanche et le filet sur ses cheveux. Au bout de 50 ans de service distingué, le Board of Education lui donne un filet de bronze - avec son nom dessus. Cela découle de la règle du Board of Education pour garder ses cheveux hors de la nourriture.

J'étais dans la fanfare De Witt Clinton Hight. L'un des pires groupes jamais formés. Lorsque nous avons joué l'hymne national, les gens de chaque pays se tenaient - sauf les Américains.

Et les seules études étaient - Rodney Dangerfield était mon mentor et il était mon école d'art dramatique à Yale pour la comédie.

Dans le livre des choses, les gens font le plus souvent mal que le bien, l'investissement doit certainement dépasser la liste, suivi de près par une papeterie et une consommation d'artichauts

J'ai ce que nous appelons un «acte symphonique». Je suis le seul comédien, je pense, dans le pays qui le fait.

Le large centre de recherche représente le modèle de la plus haute qualité de ce que la proposition 71 devrait être un financement.

J'ai écrit mon livre `` The amorous Busboy of Decatur Avenue '' complètement comme un écrivain, l'écrire, tout réécrit. Mais dans mon stand-up, j'improvise au départ, sans jamais le remettre en question trop étroitement.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Klein

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