Robert Macfarlane
Sir Robert Mafeking Macfarlane, né le 17 mai 1900 à Christchurch et mort le 2 décembre 1981 dans cette même ville, est un syndicaliste et homme politique néo-zélandais.
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@robertMacfarlane
Nous perdons une connaissance élémentaire de la langue de la nature. Et ce qui se perd en même temps que cette alphabétisation, c'est quelque chose d'encore plus précieux : une sorte de magie du langage, le pouvoir que possèdent certains mots d'enchanter nos relations imaginatives avec la nature et le paysage.
@robertMacfarlane
Touch est une action réciproque, un geste d'échange avec le monde. Faire une impression, c'est aussi en recevoir un, et les semelles de nos pieds, façonnées par les surfaces sur lesquelles ils pressent, sont des paysages eux-mêmes avec leurs propres canaux usés et lignes itinérantes. Ils ressemblent peut-être les plus étroitement aux modèles de crête et de tourbillon révélés lorsqu'une marée s'est déroulée sur du sable plat
@robertMacfarlane
Les bois et les forêts sont essentiels à l'imagination de ces îles et des pays du monde entier depuis des siècles. C'est pour cette raison que lorsque les bois sont abattus, lorsqu'ils sont supprimés par le tarmac et le béton et l'asphalte, ce ne sont pas seulement des espèces et des habitats uniques qui disparaissent, mais aussi des souvenirs uniques, des formes de pensée uniques.
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Je me suis souvenu de ce que Thoreau avait écrit dans son journal pour ne rien penser à marcher huit milles pour saluer un arbre.
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Au fur et à mesure que le stylo s'élève de la page entre les mots, les pieds du promeneur montent et descendent entre les pas, et tandis que le cerf continue de courir alors qu'il bondit de la terre et que le dauphin continue de nager même s'il saute encore et encore de la mer, ainsi l'écriture et le cheminement sont des activités continues, un point courant, une persistance de la même couture ou du même flux.
@robertMacfarlane
Quiconque vit dans une ville connaîtra le sentiment d'y être resté trop longtemps. La vision de la gorge que les rues nous impriment, le sentiment de blocage, le désir de surfaces autres que le verre, la brique, le béton et le tarmac... J'ai vécu à Cambridge par intermittence pendant une décennie, et j'imagine que je le ferai continuer à le faire pour les années à venir. Et tant que je resterai ici, je sais que je devrai aussi me rendre dans des endroits sauvages.
@robertMacfarlane
Connaître un autre est sans fin », Shepherd avait écrit; «La chose à connaître grandit avec le savoir.
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Touch est une action réciproque, un geste d'échange avec le monde. Faire une impression, c'est aussi en recevoir un, et les semelles de nos pieds, façonnées par les surfaces sur lesquelles ils pressent, sont des paysages eux-mêmes avec leurs propres canaux usés et lignes itinérantes. Ils ressemblent peut-être les plus étroitement aux modèles de crête et de tourbillon révélés lorsqu'une marée s'est déroulée sur du sable plat
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Quiconque vit dans une ville connaîtra le sentiment d'y être resté trop longtemps. La vision de la gorge que les rues nous impriment, le sentiment de blocage, le désir de surfaces autres que le verre, la brique, le béton et le tarmac... J'ai vécu à Cambridge par intermittence pendant une décennie, et j'imagine que je le ferai continuer à le faire pour les années à venir. Et tant que je resterai ici, je sais que je devrai aussi me rendre dans des endroits sauvages.
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Nous sommes tombés principalement en morceaux mais le sauvage nous rend à nous-mêmes
@robertMacfarlane
Les humains sont des animaux et comme tous les animaux, nous laissons des traces pendant que nous marchons: signes de passage fabriqués dans la neige, le sable, la boue, l'herbe, la rosée, la terre ou la mousse ... nous oublions facilement que nous sommes des marqueurs de piste, à travers, car la plupart De nos voyages se produisent maintenant sur l'asphalte et le béton - et ce sont des substances qui ne sont pas facilement impressionnées.
@robertMacfarlane
Ceux qui voyagent aux montagnes sont à moitié amoureux d'eux-mêmes et à moitié amoureux de l'oubli.
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Touch est une action réciproque, un geste d'échange avec le monde. Faire une impression, c'est aussi en recevoir un, et les semelles de nos pieds, façonnées par les surfaces sur lesquelles ils pressent, sont des paysages eux-mêmes avec leurs propres canaux usés et lignes itinérantes. Ils ressemblent peut-être les plus étroitement aux modèles de crête et de tourbillon révélés lorsqu'une marée s'est déroulée sur du sable plat
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Les humains sont des animaux et comme tous les animaux, nous laissons des traces pendant que nous marchons: signes de passage fabriqués dans la neige, le sable, la boue, l'herbe, la rosée, la terre ou la mousse ... nous oublions facilement que nous sommes des marqueurs de piste, à travers, car la plupart De nos voyages se produisent maintenant sur l'asphalte et le béton - et ce sont des substances qui ne sont pas facilement impressionnées.
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Quiconque vit dans une ville connaîtra le sentiment d'y être resté trop longtemps. La vision de la gorge que les rues nous impriment, le sentiment de blocage, le désir de surfaces autres que le verre, la brique, le béton et le tarmac... J'ai vécu à Cambridge par intermittence pendant une décennie, et j'imagine que je le ferai continuer à le faire pour les années à venir. Et tant que je resterai ici, je sais que je devrai aussi me rendre dans des endroits sauvages.
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Le compact entre l'écriture et la marche est presque aussi vieux que la littérature - une marche n'est qu'à un pas d'une histoire, et chaque chemin raconte.
@robertMacfarlane
En parlant de plus grandes forces que nous pouvons invoquer, et en nous confrontant à une plus grande étendue de temps que nous ne pouvons envisager, les montagnes réfutent notre confiance excessive dans l'homme. Ils posent des questions profondes sur notre durabilité et l'importance de nos programmes. Ils induisent, je suppose, une modestie en nous.
@robertMacfarlane
En parlant de plus grandes forces que nous pouvons invoquer, et en nous confrontant à une plus grande étendue de temps que nous ne pouvons envisager, les montagnes réfutent notre confiance excessive dans l'homme. Ils posent des questions profondes sur notre durabilité et l'importance de nos programmes. Ils induisent, je suppose, une modestie en nous.
@robertMacfarlane
Tous les voyageurs dans des lieux sauvages en auront ressenti une version, une brève perception flamboyante du désintérêt du monde. Dans de petites mesures, il exalte. Mais en pleine forme, il s'anéantit.