Clarkesworld is a Hugo and World Fantasy Award-winning science fiction and fantasy magazine. Each month we bring you a mix of fiction, articles, interviews and art. Our June 2021 issue (#177) contains: Original fiction by Nancy Kress ("Little Animals"), Robert Reed ("Poubelle"), Suzanne Palmer ("Bots of the Lost Ark"), Jiang Bo ("Face Changing"), Yukimi Ogawa ("The Shroud for the Mourners"), K. W. Colyard ("Our Fate, Told in Photons"), and Cristina Jurado ("Embracing the Movement"). Non-fiction includes an article by Carrie Sessarego and interviews with Cassandra Khaw and Alyssa Winans, and an editorial by Neil Clarke.

Clarkesworld Magazine Issue 177

Clarkesworld is a Hugo and World Fantasy Award-winning science fiction and fantasy magazine. Each month we bring you a mix of fiction (new and classic works), articles, interviews and art. Our June 2019 issue (#153) contains: Original fiction by Suzanne Palmer ("The Painter of Trees"), Bo Balder ("Erdenweh"), Myung-hoon Bae ("The Peppers of GreenScallion"), Eric Del Carlo ("Said of Angels"), Robert Reed ("Bonobo"), Andy Dudak ("Field Mice"). A reprint by Aliette de Bodard ("Two Sisters in Exile"). Non-fiction by Carries Sessarego, an interview with Amal El-Mohtar & Max Gladstone and Soyeon Jeong, and an editorial by Neil Clarke.

Clarkesworld Magazine Issue 153 - Clarkesworld Magazine

Le Grand Vaisseau, aussi vaste que Jupiter, a longtemps voyage autour de notre galaxie, abritant dans ses flancs immenses des milliards d'etres vivants qui cohabitaient harmonieusement sous la ferule de milliers de capitaines quasi immortels. Mais cette epoque est desormais revolue. Apres avoir survecu in extremis a la revolte d'une partie de ses passagers, l'immense carcasse a change de direction et cherche a panser ses plaies. Elle fonce desormais vers une gigantesque region de l'espace ou les etoiles sont si rares que le ciel est aussi sombre que de l'encre. C'est un voyage sans retour. Pendant que les capitaines s'efforcent de reparer la coque, le navire s'enfonce peu a peu dans la noirceur. La, dans ce vide etrange, se cache la plus grande menace que le Vaisseau ait jamais affrontee. Car la vie peut prendre des formes inattendues, et l'entite mysterieuse qui veille au fond du puits a appris a etre patiente."

Un puits dans les étoiles (Great Ship, #2)

Since 2006, Clarkesworld Magazine has been entertaining science fiction and fantasy fans with their brand of unique science fiction and fantasy stories. Collected here are all of the original stories this Hugo Award-winning magazine published during their fifth year. Included in this volume are twenty-four stories by visionary writers of short fiction, including Ken Liu, Nnedi Okorafor, Robert Reed, N. K. Jemisin, Yoon Ha Lee, E. Lily Yu, and more!CONTENTSIntroduction by Neil ClarkeGhostweight by Yoon Ha LeePerfect Lies by Gwendolyn ClareTying Knots by Ken LiuSeeing by Genevieve ValentineSalvaging Gods by Jacques BarciaLaying the Ghost by Eric BrownThe Children of Main Street by A. C. WiseDiving After the Moon by Rachel SwirskyThree Oranges by D. Elizabeth WasdenMatchmaker by Erin M. HartshornTrickster by Mari NessThe Book of Phoenix (Excerpted from The Great Book) by Nnedi OkoraforThe Architect of Heaven by Jason K. ChapmanFrozen Voice by An OwomoyelaTrois morceaux en forme de mechanika by Gord SellarPack by Robert ReedSemiramis by Genevieve ValentineWhose Face This Is I Do Not Know by Cat RamboThe Taxidermist's Other Wife by Kelly BarnhillOn the Banks of the River Lex by N. K. JemisinSignals in the Deep by Greg MellorThe Fish of Lijiang by Chen Qiufan, translated by Ken LiuConservation of Shadows by Yoon Ha LeeThe Cartographer Wasps and the Anarchist Bees by E. Lily YuClarkesworld Citizens - Official CensusAbout Clarkesworld

Clarkesworld: Year Five - Clarkesworld Anthology, #5

Découvrez Brage, le label de formats courts des éditions Bragelonne !   La nouvelle présentée ici décrit une tentative désastreuse de prendre d'assaut le Grand Vaisseau qui a failli le réduire en miettes. Reed nous révèle ce qu'il est advenu d'une poignée de survivants humains de la bataille qui se trouvent isolés à l'extérieur du Vaisseau, depuis des générations. Ils ont dû créer leur propre société sur la coque du navire - un endroit qui, comme on le constatera, ne manque ni de merveilles, ni de menaces...   Robert Reed publia sa première nouvelle en 1986 et il est devenu très vite un contributeur régulier de The Magazine of Fantasy and Science Fiction et Asimov's Science Fiction, tout en vendant beaucoup de textes à d'autres revues et anthologies. Reed est sans doute l'un des auteurs les plus prolifiques en ce moment, particulièrement en ce qui concerne les nouvelles  Stephen Baxter et Brian Stableford sont ses seuls concurrents sérieux à ce titre. Mais - tout comme Baxter et Stableford -, il a su placer la barre très haut en matière de qualité, ce qui n'est pas du tout facile. Des récits de Reed comme « Décence », « Le Sauveur », « La Forme de toute chose », « Les Rémoras » , « Chrysalide », « Fouette-queue », « Sister Alice », « Brother Perfect », « The Utility Man », « Birth Day », « Blind », « The Toad of Heaven », « Stride », « Guest of Honor », « Waging Good » et « Killing the Morrow » comptent parmi les meilleures nouvelles de SF parues dans les années 1980 et 1990. Ses deux recueils en anglais, The Dragons of Springplace et The Cuckoo's Boys, ainsi qu'un recueil en langue française, Chrysalide, offrent des sélections de premier choix. Sa production comme romancier est également impressionnante, avec onze titres parus depuis la fin des années 1980 : The Lee Shore, La Jungle hormone, Le Lait de la chimère, The Remarkables, La Voie terrestre, Le Voile de l'espace, Béantes Portes du ciel, An Exaltation of Larks, Sister Alice, ainsi que Le Grand Vaisseau et sa

Éclosion

Lorsque Cornell Novak est entré au service de l'Agence, il ne savait pas qu'elle l'enverrait sur d'autres mondes.
De la façon la plus simple : à travers des intrusions - qui sont des portes béantes entre les planètes. Vous franchissez une intrusion et vous vous retrouvez à la surface d'un autre monde. Et dans la peau d'un de ses habitants, si étrange qu'il soit. Cornell ne savait pas non plus que cette peau, il allait la risquer tous les jours. Pour les beaux yeux du gouvernement qui espère mettre la main sur les secrets technologiques et donc militaires d'une société plus avancée.
Il ne savait pas, enfin, que - sur un autre monde, sous une autre forme - il rencontrerait aussi l'amour. En la personne de cette femme qui se fait appeler Porsche. Et qui est aussi une étrangère radicale. Une visiteuse des intrusions, une représentante du peuple ancien et bienveillant qui se nomme lui-même, ironiquement, les Infimes. Porsche livre quelques-uns des secrets des Infimes à Cornell. Et quelques-uns de ses brûlants secrets personnels.
L'Univers n'est décidément pas ce qu'il semble. Après Le Voile de l'espace, dans cet étrange thriller, à mi-chemin du film Men in black et de la série télévisée The X-Files, Robert Reed, le plus original des jeunes auteurs américains de science-fiction, bouleverse les conventions du genre.

Béantes portes du ciel

Le lait de la chimere

La Fleur de la Jungle hormone, c'est Melba Chiffon, l'objet intelligent synthétique le plus érotique jamais fabriqué. A durée de vie limitée. Elle n'a pas envie de mourir. Pour vivre, il lui faut de l'argent, beaucoup d'argent, par exemple celui, mal blanchi, de son propriétaire, Dirk, baron du crime. Plus un héros, un type comme Stewart, qu'elle mènera par le bout du nez. A coup d'hormones. Alors commence la plus belle cavale qu'on ait jamais vue dans tout le système solaire...

La jungle hormone

Robert Reed, de son vrai nom John Robert Rietz, Jr., est un acteur américain né le 19 octobre 1932 à Highland Park, Illinois (États-Unis), et décédé le 12 mai 1992 à Pasadena, Californie (États-Unis).
Il a également réalisé quelques séries télévisées américaines.

J'ai écrit quand j'étais un jeune adolescent, mais je n'ai pas donné un œil sur les marchés disponibles jusqu'à l'âge de dix-sept ans. Les dix années suivantes ont ressenti une expérience égocentrique en violence personnelle.

Je vis pour ces moments rares et délicieux où les mots sur la page décollent et je suis le spectateur, regardant le conte me montre ce qui se passera ensuite.

Dans une nouvelle, beaucoup de conneries peuvent se produire, et vous pouvez prendre de l'élan et du suspense et laisser de la place à une surprise ou à trois. Les histoires sont réduites aux éléments les plus essentiels, et les romans (cela pourrait être une généralisation injuste de ma part) sont de gros efforts maladroits où le lecteur peut somnoler pour quelques chapitres et ne rien manquer de conséquence. D'où mon amour pour la voie du milieu.

2001 : L'Odyssée de l'espace était une merveilleuse énigme lorsque j'étais enfant, avec ses concepts géants projetés sur l'écran géant du Indian Hills Theater. Ce film m'a réveillé d'une manière que je n'avais pas imaginée, et j'ai cherché des versions livresques de la même drogue.

Pour vous améliorer en tant que joueur, vous devez non seulement savoir comment vous prévoyez de gagner, mais ... comment votre adversaire pourrait-il perturber votre plan.

Je suis le seul membre de la SFWA au Nebraska, mais je ne m'éloigne pas pour la compagnie d'autres écrivains de science-fiction. Je [vais] à très peu de conventions. Je suis tout à fait disposé à être cet excentrique qui a un travail très étrange, très heureux d'être le seul écrivain de science-fiction en ville.

Comment quelqu'un pourrait-il survivre même une seule journée, s'il ne se sentait pas comme s'il avait, d'une petite manière très bien, avait besoin?

Je suis étonné de voir à quel point j'ai peu d'effroi de ma propre imagination. Cela me déroute vraiment que je n'ai pas plus peur parce que je suis capable de penser des choses si horribles. Chaque jour, je peux imaginer le pire.

Un esprit brillant n'a jamais été aussi intelligent que trois esprits moyens reniflant après quelque chose d'intéressant.

Je voudrais dire que j'ai un logiciel qui me permet de modéliser les mondes à un haut degré de plausibilité scientifique. J'aimerais également être six pieds deux et quinze ans dans mon règne en tant qu'empereur d'Europa. La simple vérité est que le nom du personnage et une longue histoire pour faire mes propres distances de couverture corporelle, j'ai fait très peu de recherches ciblées.

Une communauté est un petit groupe travaillant ensemble. La communauté évolue en ajoutant des groupes et en établissant des liens entre eux, pas en les élargissant.

Avant de lire la science-fiction, j'ai lu Hemingway. Adieu aux armes était mon premier roman adulte qui disait que tout ne se termine pas bien. Ce fut l'une de ces moments où la lecture a signifié beaucoup pour moi, en termes de développement - un aperçu est venu de ce livre.

Mon auteur de science-fiction préféré est William Faulkner ! C'est une idée qui m'est venue un jour, il y a des années, et je n'ai jamais pu m'en défaire. Il s'agit d'une facétie, du moins à un certain niveau. Il y a des télépathes dans As I Lay Dying. Mais je pense que le plus convaincant pour moi, c'est qu'il y a des moments avec lui où j'ai l'impression que ce ne sont pas des humains qui se parlent. Il s'agit d'organismes hyper-intelligents qui n'ont pas encore vu le jour. La façon dont ils regardent le passé sans perdre de vue que tout ce qui s'est passé est toujours là.

J'ai toujours pensé à la science-fiction comme étant, à un certain niveau, une entreprise du XIXe siècle.

Il a souvent été dit que [...] les japonais [sont] des génies à prendre des idées étrangères et à ajouter une touche finale unique.

La science-fiction est vraiment une entreprise assez petite par rapport à son cousin géant, qui est fantastique.

Le fardeau de l'intelligence: vous pouvez toujours imaginer tous ces endroits merveilleux où vous ne pouvez jamais appartenir.

Je ne crois pas que les gens laissent les choses glisser. C'est la nature de l'univers que tout se dissout dans l'oubli et par chaque itinéraire possible, mais les êtres humains investissent beaucoup d'intelligence en essayant de s'accrocher à des événements passés, réels ou imaginés. Et parce que nous ne pouvons pas réussir, nous nous mettons en colère et frustrés et nous nous sentons coupables. Sauf les bouddhistes.

C'est une entreprise lente pour réussir. Il y a des exceptions, mais pour la plupart, c'est un peu comme le dernier écrivain debout .... j'ai du gris. J'ai beaucoup de gris. Je crée lentement une carrière, comme un récif corallien.

Parfois, je rêverai que je suis dans l'usine. Cela m'aidera à écrire. Pas de manière créative, mais plus comme un prod. Je ne veux pas y retourner.

Pour un aperçu honnête de qui vous êtes, ne vous demandez pas quelles sont vos priorités pour la semaine prochaine. Demandez quelles étaient vos priorités la semaine dernière.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Reed

Ses oeuvres

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