Al-iksir ist kein Auto, auch keine orientalische Schönheit, al-iksir ist der Stein aller Steine. Welch ungeahnte Wirkung dieser Stein auf Menschen hat und was für ein Buch Joni aus Indien mitbringt, davon erzählt Robert Scheer mit viel Humor und Fantasie.

Judenjazz

Der Journalist Harry Löwe hat das Gefühl, alles zu verlieren. Er kann nicht mehr arbeiten und glaubt, auch nicht mehr lieben zu können. Erst ein neuer Job als Handwerker hilft ihm aus seinem Tief heraus - und in ein neues Leben hinein. Ein Leben, das niemals frei von den Schatten der Vergangenheit ist, aber dennoch ein Gutes werden kann.

Zweite Chance

Sussita ist kein Cocktail, auch keine glutäugige Schönheit, Sussita ist der Trabi des Nahen Ostens. Welch ungeahnte Wirkung dieses Nationalauto auf Menschen und Kamele hat, wie Lothar Matthäus und Rabbi Avramoff am defensiven Mittelfeld scheitern und der erste Kibbuz privatisiert wird, davon erzählt Robert Scheer mit einem ganz eigenen Humor in seinem Debüt. In zwölf miteinander verbundenen Geschichten zeigt er Bilder eines zutiefst zerrissenen Gelobten Landes, Israel mit all seinen Widersprüchlichkeiten und Verwerfungen. Brillante Komik, eine dezidiert politische Weltsicht, kakanische Umständlichkeit und orientalische Üppigkeit - das alles ergibt eine umwerfende Melange!

Der Duft des Sussita - Humorvolle Stories aus Israel

Ex-Weltfußballer Lothar Matthäus soll als Trainer die Mannschaft des israelischen FC Maccabi Netanja aus der Talsohle führen. Lothar Matthäus, sein Dolmetscher und dessen Onkel Sauberger begeben sich auf Talent-Suche in einem Land, in dem die Sonne gnadenlos vom Himmel brennt und (mindestens) drei Weltreligionen unerbittlich aufeinanderprallen. Robert Scheer erzählt mit viel Humor und Fantasie und die Leser erfahren interessante Dinge über Israel.

Matthäus-Passion - Ein humorvolles Roadmovie aus Israel

Par exemple, Clinton qui était incontestablement le plus intelligent du groupe à qui j'ai parlé - à la fois ceux qui l'ont fait et ne l'ont pas fait. Il s'intéressait beaucoup à la politique.

Lorsque Howard Dean a commencé à dire des choses honnêtes, ils l'ont accroché.

Et le gros problème ici, je pense, c'est que l'éditeur a repris les pages éditoriales, un type nommé Jeff Johnson. C'est un comptable de Chicago, il ne sait rien de ce que sont censés faire les journaux, et il a pris la décision de se débarrasser de la chronique.

Il ne faut pas de courage pour faire la guerre, surtout si vous n'allez pas y aller et que vos enfants ne vont pas y aller.

Le problème que je souligne dans le livre est la réforme du bien-être.

Si la guerre contre le terrorisme est sans fin, vous pourriez oublier la démocratie.

Les boycotts ne fonctionnent pas. Ils travaillent dans certaines situations isolées, où vous avez un certain potentiel. Mais dans l'ensemble, la meilleure façon de provoquer la liberté dans une société est de normaliser, d'avoir du tourisme, d'avoir un commerce, de contacter.

Tout le monde dit: "Eh bien, si c'est une démocratie, laissez-les avoir des armes nucléaires." L'Amérique est le seul pays qui ait jamais utilisé des armes nucléaires. Nous sommes les seuls, cette démocratie, notre grande démocratie.

Nous avons eu la banalisation de notre politique en cours depuis que nous avions des médias électroniques.

J'ai parlé à Reagan pendant environ six heures tout à fait raconté. Et Reagan était prêt à l'accompagner. Il n'a pas regardé sa montre et il n'a pas permis à ses aides de campagne de le couper.

Ce que Clinton a coupé avec sa réforme de l'aide sociale, c'est l'obligation du gouvernement fédéral d'intervenir lorsque les États ont échoué et de surveiller ces programmes.

Au moins 3% des signataires de la Constitution devaient être gays, car c'est la faible estimation de tout échantillon de population. C'était probablement plus élevé, étant donné qu'ils étaient un groupe assez talentueux et portaient des perruques.

Ils savent que la colonne résonne dans la communauté. Ils savent que les gens aiment ça, et pourtant ils n'ont pas de place pour une colonne une fois une semaine qui a toujours bien fait les choses.

Par exemple, j'ai passé beaucoup de temps avec Reagan, à la fois avant de se présenter au poste de gouverneur et quand il se présentait à la présidence. En tant que journaliste imprimé sans les caméras, j'ai pu vraiment tester la qualité de leur esprit et de leur base de connaissances.

J'étais finaliste pour le Pulitzer en tant que journaliste.

George W. Bush est une personne totalement désintéressée du monde, sans instruction. Je ne dis pas qu'il est stupide. Je ne pense pas qu'il soit stupide. Il est rusé comme un enfer, mais il projette bien à la télévision. Et c'est le vrai gros problème. Il est le parfait "quoi, je m'inquiète?" président.

Les démocrates peuvent nous donner des guerres, vous savez? Les démocrates peuvent jouer la fausse carte de patriotisme.

Je pense qu'il est très important de suivre l'exemple des Sud-Coréens et des Chinois et non de la Corée du Nord encore plus loin dans un coin, car c'est à ce moment-là qu'ils seront dangereux.

J'ai pu faire quelque chose que les gens ne peuvent pas faire ces jours-ci, c'est-à-dire avoir du temps de qualité avec les gars qui essayaient d'être présidente et un certain nombre d'entre eux qui ont obtenu le poste.

J'AIME AIME L'AMÉRIQUE. J'adore cette liberté et cette démocratie. Le fait est que nous sommes ceux qui ont tué des innocents, des hommes, des femmes et des enfants, à Hiroshima et Nagasaki avec des armes nucléaires, des armes qui n'auraient jamais dû être utilisées, n'auraient jamais dû être développées en premier lieu, vous savez?

Eisenhower a fourni la première pause dans la guerre froide, en amenant Khrouchtchev aux États-Unis, en humanisant les Soviétiques; Et puis Nixon, en faisant l'ouverture en Chine; Et puis Reagan, même en rencontrant Reykjavik avec Gorbatchev et reconnaissant que les armes nucléaires sont une horreur. Je n'accepterai donc pas que les républicains ne font que dégénérer. Les républicains, du moins lorsqu'ils étaient plus modérés, ils étaient peut-être même plus isolationnaires, ils ont parfois apporté la santé mentale au débat. Nous n'avons pas ça maintenant. Nous avons - tous ces républicains sont sortis de la profondeur néoconservante.

J'enseigne à l'USC, et c'est évident pour quiconque enseigne aux étudiants qu'ils ne couvrent pas beaucoup l'histoire moderne et certainement pas la présidence moderne.

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