Robinson Jeffers
@robinsonJeffers
Les marées sont dans nos veines, nous reflétons toujours les étoiles, la vie est votre enfant, mais il y a en moi plus âgé et plus dur que la vie et plus impartial, l'œil qui regardait avant qu'il y ait un océan.
Robinson Jeffers
John Robinson Jeffers, né le 10 janvier 1887 à Pittsburgh en Pennsylvanie et mort le 20 janvier 1962 à Carmel-by-the-Sea en Californie, est un poète et dramaturge américain. Il est connu pour son œuvre évoquant la beauté de la nature sur la côte californienne et pour son antagonisme envers la société humaine. On le connait également pour ses poèmes courts et il est considéré comme une icône du mouvement écologiste, il a inspiré des poètes comme William Everson, Yvor Winters, Gary Snyder et Robert Hass. Il fut chancelier de l'Academy of American Poets.
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Les marées sont dans nos veines, nous reflétons toujours les étoiles, la vie est votre enfant, mais il y a en moi plus âgé et plus dur que la vie et plus impartial, l'œil qui regardait avant qu'il y ait un océan.
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Si vous deviez chercher cet endroit après une poignée de vies: peut-être que de ma forêt plantée est encore un stand, les Australiens à feuilles noirs ou le cyprès de la côte, haggard avec une dérive de tempête; Mais le feu et la hache sont des diables.gardez les fondations du granit usées, mes doigts avaient l'art pour faire de la pierre de pierre en pierre, vous trouverez des restes.
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La civilisation est une maladie transitoire.
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Il est fort et la douleur est pire pour la forte, l'incapacité est pire.
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Sachez que même laid, les parties apparaissent que le tout reste beau ...... La totalité de la vie et des choses, la beauté divine de l'univers. J'adore ça, pas Manapart à partir de ça, sinon vous partagerez les pitoyables confusions de l'homme, ou la noyade de désespoir lorsque ses jours s'assombrissent.
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Shiva ... est le seul chasseur à attraper le cygne sauvage; La proie qu'elle prendra en dernier est le cygne blanc sauvage de la beauté des choses. Ensuite, elle sera seule, de la destruction pure, atteinte et suprême, vide l'obscurité sous les ailes de la mort de la mort. Elle construira un nid des os du cygne et fera éclore une nouvelle couvée, accrochera de nouveaux cieux avec de nouveaux oiseaux, tous être renouvelés.
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Lorsque le soleil crie et que les gens abondent, on pense qu'il y avait l'âge de la pierre et l'âge du bronze et l'âge du fer; repasser le métal instable; Acier en fer, instable comme sa mère; Les villes remorquées seront des taches de rouille sur des monticules de plâtre. Les racines ne perceront pas les tas pendant un certain temps, les pluies gentilles les guériront, alors rien ne restera de l'âge du fer et de toutes ces personnes sauf un os de cuisse, un poème coincé dans la pensée du monde, des éclats de verre dans les ordures Décharges, un barrage en béton loin de la montagne.
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Je crois que l'univers est un être, toutes ses parties sont des expressions différentes de la même énergie ... des parties d'un tout organique .... (c'est de la physique, je crois, ainsi que la religion.) Les parties changent et passent ou mourir, les gens et les races et les rochers et les étoiles; Aucun d'eux ne me semble important en soi, mais seulement le tout. Cet ensemble est dans toutes ses parties si belles, et je suis ressenti par moi d'être si intensément sérieusement, que je suis obligé de l'aimer et de le considérer comme divin.