The national bestseller that tells the story of Wolfe and Montcalm and the Plains of AbrahamIn September 1759, a small band of British troops led by James Wolfe scaled the tall cliff overlooking a farmer's field owned by Abraham Martin and overpowered the French garrison that protected the area, allowing the bulk of the British army to ascend the cliff behind and attack the French who, led by Louis-Joseph Montcalm, were largely unaware of Wolfe's tactics. The battle that ensued on what would become known as the Plains of Abraham would forever shape the geography and politics of Canada. Montcalm and Wolfe, written by one of the finest writers this country has ever produced, is the epic story of this battle told through the lives of the two generals, Wolfe and Montcalm. The book is a dual biography of the men and their most famous battle written by a master storyteller. What kind of life did they have before they took up arms? What were the two men really like? And, most importantly, what forces brought the two men to face each other in a battle that forged a nation?

Montcalm And Wolfe - Two Men Who Forever Changed the Course of Canadian History

Dans le premier tome de son livre Le Fabuleux Roman d'un pays, Roch Carrier a tracé à grands traits les premiers pas de hardis Français cherchant à conquérir l'Amérique. Dans le second tome, il brosse le portrait d'un fragile empire, victime de la désaffection de la mère patrie et en butte aux attaques des Anglais. À peine 14 000 colons établis dans les terres françaises affrontent 210 000 habitants des colonies anglaises qui songent à s'emparer de l'Acadie et de la vallée du Saint-Laurent, verrou commandant l'accès aux pays d'en haut et aux vastes terres de l'Ouest.L'évocation des hauts faits d'armes de cette poignée de violents, de forts et de hasardeux émaille le récit, dont la fin met en scène le tragique destin des Acadiens : des hommes sont séparés de leurs femmes et de leurs enfants, et, parfois, des enfants, arrachés à leurs parents, sont placés dans des familles britanniques. En route vers l'inconnu, nombre d'Acadiens sont morts de peur et de désolation.Une tempête est imminente dans le ciel des autres terres françaises d'Amérique. Le brigadier Louis-Joseph de Montcalm et le colonel James Wolfe y perdront la vie. En France et en Angleterre, ces deux officiers savent encore peu de choses de ces lointains événements…

Le Fabuleux Roman d'un pays, Tome 2: Les fils déchus

Dans cet ouvrage, Roch Carrier entreprend de retracer le projet français de la conquête de l'Amérique. Il parcourt les siècles comme on traverse des pays contemporains, à la manière d'un touriste curieux qui n'aura pas la prétention d'avoir tout découvert ni tout compris.Dans un contexte extrêmement mouvementé – explorations, développement de la technique navale, missions, conquête des territoires, expansion de l'influence des pays, guerres –, l'auteur suit le fil, souvent ténu, de la volonté politique exprimée par la France d'installer des colonies en Amérique, de les occuper et de les soutenir. L'idée de la conquête du territoire américain et de sa défense sera portée et défendue par des violents, des forts et des hasardeux, motivés aussi par des intérêts personnels. Ce sont eux que nous suivons, eux qui se sont lancés à la conquête de l'Amérique malgré les incertitudes, les hésitations, les contradictions, le faible soutien et souvent le peu d'intérêt qu'avaient les autorités françaises pour leur entreprise.

Le Fabuleux Roman d'un pays, Tome 1: Les violents, les forts, les hasardeux

Écrivain prolifique, Roch Carrier signe avec Les Moines dans la tour un roman sur l'impuissance. Son héros, un écrivain, se retrouve devant une page vierge, incapable de bâtir une histoire, sa pensée et ses émotions étant parasitées par la commotion ressentie le 11 septembre 2001. Je suis un homme désorienté, avoue le narrateur, qui s'interroge sur le sens de la vie après l'attentat contre le World Trade Center. Son histoire d'architecte qui dessinerait un monument pour de pauvres moines lui semble anodine, et son désarroi se mue bientôt en une colère rageuse qui prend toute la place, reléguant dans la marge l'architecte et ses ennuis. L'auteur – qui a affublé son écrivain du surnom de Monsieur Pois Tendre – propulse des phrases qui pleurent, lesquelles l'entraînent trop souvent sur une pente moralisante. Roch Carrier n'a pas choisi la voie facile en mettant en scène le désenchantement d'un écrivain – et le sien ? – qui forcément déteint sur son histoire. Si ce roman était une tour, on dirait qu'elle est de guingois, plaisante (à peine) le narrateur.  Les Moines dans la tour est le récit vibrant d'un homme révolté dont la présence éclipse un peu trop celle de ses personnages, ce qui toutefois n'enlève rien à la pertinence de ce livre. --Monique Roy

Les Moines dans la tour

Une chaise

L'Homme dans le placard

Un Champion

De l'amour dans la ferraille

Roch Carrier (13 mai 1937, Sainte-Justine, Québec, Canada - ) est un romancier, dramaturge et auteur de contes et d'ouvrages de littérature d'enfance et de jeunesse.

Le passé, c'est ce qui n'existe plus. Vivre dans le passé, ce n'est pas vivre : c'est être mort ou c'est vouloir peut-être mourir...

Dieu a voulu que le temps qui coule dans la mémoire des hommes use lentement les souvenirs ; et c'est la raison pour laquelle les hommes perdent la mémoire.

Un ennemi invisible est pire qu'un ennemi qu'on voit.

Le destin d'un vieil homme est d'être seul.

Les rêves du poète se réalisent toujours pour la simple raison qu'ils ne sont pas des rêves mais de clairs regards jetés sur la réalité du monde.

Un homme qui pense est un homme qui devient triste.

Pour un homme bâtir sa maison, c'est naître une deuxième fois.

Tous les hommes vivent ensemble, mais ils suivent des chemins différents.

Un homme qui a vécu sait que la vérité n'existe peut-être pas...

Vivre sur la terre, c'est vivre sous le ciel.

Une femme est une femme, elle sait ce qu'elle vaut et elle ignore ce qu'elle veut.

Croire, n'est-ce pas plus important que posséder ; quand on ne possède rien ?

Travail et épargne sont le poteau et la traverse d'une croix qui donne le salut à un homme.

Les actes de Dieu qui paraissent injustes à l'homme sont probablement ceux qui sont les plus justes. L'homme ne peut comprendre la justice parce qu'il est lui-même trop peu capable de justice.

Rêver, c'est écouter l'enfance attardée dans l'homme.

Il faut avoir des enfants à qui donner une vie ; autrement, pourquoi est-ce qu'on vit ?

Un visage de femme est un mensonge qu'un homme est prêt à croire sur parole.

Quand un homme a connu l'enfer, il lui faut bien des ciels pour n'avoir plus envie d'y retourner.

C'est cela l'amour : donner du bonheur et des souffrances ; tout partager.

Quoi qu'on dise, ce qu'une femme préfère chez un homme c'est l'amour.

Y en a qui travaillent juste parce qu'ils sont assez hypocrites pour cacher leur paresse.

La mort, c'est comme l'amour, on ne sait jamais quand elle va vous perdre.

Vouloir faire l'amour, c'est un signe de vie : les morts n'ont pas ce genre d'envie-là.

Les immeubles capitalistes, c'est des jambes, des pieds. La tête ? On la voit pas. La tête du capitalisme, c'est invisible. C'est comme Dieu.

La vie et l'amour sont la même chose. Quand il n'y a pas d'amour, il n'y a pas de vie.

Rêver est souvent une manière de compenser pour ce que nous n'avons pas ou n'osons pas.

Sur la terre, un homme n'a besoin et envie que d'aimer, mais on supporte toutes les servitudes, excepté celles de l'amour.

Ainsi va la vie. Vous la possédez, elle vous possède, elle vous quitte.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Roch_Carrier

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