De manière significative, Dieu dans Genèse 1 prononce le reste de la création "bien" avant la création de l'humanité. Le psalmiste et les prophètes Isaiah, Jérémie et Ézéchiel peuvent parler de montagnes, d'arbres, de soleil et de lune louant Dieu. Contrairement à un complexe de bureaux ou à un gymnase, qui n'a aucune valeur si les gens ne les habitent pas, la création peut glorifier et faire plaisir à Dieu en dehors de la présence humaine.

La gestion sacerdotale suggère que la création n'est pas seulement pour nous, qu'elle a un but indépendant des utilisations que nous pouvons en faire. Toutes les existes de création-humaine et non humaine finalement pour Dieu et à la louange de Dieu.

Ce qui inquiète certaines personnes sur la consommation (et je confesse le début comme l'une de ces créatures ambivalentes, la graisse mais troublée au paradis), c'est que l'Occident riche et technologiquement avancé semble de plus en plus concentré non sur la consommation de vivre mais de vivre pour consommer. Le problème de la consommation, et le capitalisme de consommation qui l'a poussé à des extrêmes historiques fiévreux, c'est qu'elle est devenue si consommatrice.

Ce n'est qu'à la fin du XIXe siècle, puis dans le XXe siècle, avec la maturation du capitalisme de consommation, qu'un changement a été fait vers la culture d'un désir illimité. Nous devons apprécier cela pour réaliser que la consommation moderne tardive, la consommation telle que nous le savons maintenant, ne concerne pas fondamentalement le matérialisme ou la consommation de biens physiques. La richesse et le capitalisme axé sur les consommateurs nous ont dépassé bien l'efficacité et les avantages indéniables de la réfrigération et de la plomberie intérieure.

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