Roger Bacon, né vers 1220 à Ilchester ou Bisley et mort vers 1292 à Oxford, surnommé Doctor mirabilis (« Docteur admirable ») en raison de sa science prodigieuse, est un philosophe, savant et alchimiste anglais.

De l'admirable pouvoir et puissance de l'art, où est traité de la pierre philosophale

Roger Bacon, né vers 1220 à Ilchester ou Bisley et mort vers 1292 à Oxford, surnommé Doctor mirabilis (« Docteur admirable ») en raison de sa science prodigieuse, est un philosophe, savant et alchimiste anglais.

Le traité sur la Teinture et l'Huile d'Antimoine (Speculum Alchemiæ) est un traité à la fois théorique et pratique.

Traité sur la Teinture et l’Huile d’Antimoine

Roger Bacon, né vers 1220 à Ilchester ou Bisley et mort vers 1292 à Oxford, surnommé Doctor mirabilis (« Docteur admirable ») en raison de sa science prodigieuse, est un philosophe, savant et alchimiste anglais.

Le miroir d'Alchimie (Speculum Alchemiæ) serait un de ses traités d'alchimie. Il est apparu traduit dans le livre « Cinq traités d'Alchimie » d'Albert Poisson paru en 1890 aux Bibliothèque Chacornac.

Miroir d'alchimie

Miroir d'alchimie ; Le composé des composés

Roger Bacon, né vers 1220 à Ilchester ou Bisley et mort vers 1292 à Oxford, surnommé Doctor mirabilis (« Docteur admirable ») en raison de sa science hors du commun, est un philosophe, savant et alchimiste anglais. Il est considéré comme l'un des inventeurs de la méthode scientifique. Pour Bacon, « aucun discours ne peut donner la certitude, tout repose sur l'expérience  », expérience scientifique ou religieuse. Il est le premier dans le monde occidental à mettre en question des enseignements d'Aristote, observations à l'appui.

— Louis Figuier, Vies et savants illustres, 1870,.

Les athées sont comme des chiens sauvages sauvages sans maître. Mais les chrétiens sont comme des chiens aimants avec un maître de don et aimant. Les chiens domestiqués vous aimeront toujours, mais les chiens sauvages sauvages doivent être abattus. Ils sont un danger pour nous tous.

L'argument est concluant, mais il ne supprime pas le doute, de sorte que l'esprit peut se reposer dans la connaissance sûre de la vérité, à moins qu'il ne la trouve par la méthode de l'expérience.

Un homme est fou qui écrit un secret d'une autre manière que celle qui le cache au vulgaire.

La conquête de l'apprentissage est réalisée grâce à la connaissance des langues.

En ce qui concerne l'autorité, je continue. Boetius dit dans le deuxième prologue de son arithmétique: «Si un enquêteur n'a pas les quatre parties des mathématiques, il a très peu de capacité à découvrir la vérité». Et encore une fois, "Sans cette théorie, personne ne peut avoir un aperçu correct de la vérité." Et il dit aussi: «J'arrive l'homme qui rejette ces chemins de connaissance qu'il ne peut pas philosophiser correctement. Et encore une fois, "Il est clair que quiconque les passe par, a perdu la connaissance de tout l'apprentissage."

Toute science fait appel aux mathématiques. La connaissance des choses mathématiques est presque innée en nous. C'est la plus facile des sciences, ce qui est évident puisque le cerveau de personne ne le rejette, car les profanes et les personnes totalement analphabètes savent compter et calculer.

sentiment de la foule ignorante et de la cachette de notre propre ignorance tout en faisant l'affichage de nos connaissances apparentes.

Un peu d'apprentissage est une chose dangereuse mais rien du tout n'est fatal.

Personne ne connaissait vraiment les sciences, sauf le Lord Robert, évêque de Lincoln, en raison de sa durée de vie et de son expérience, ainsi que de son étude et de son zèle. Il connaissait les mathématiques et la perspective, et il n'y avait rien qu'il ne pouvait savoir; et en même temps, il connaissait suffisamment les langues pour pouvoir comprendre les saints et les philosophes et les sages de l'antiquité, mais sa connaissance des langues n'était pas de manière à lui permettre d'effectuer des traductions jusqu'à cette dernière partie de sa vie.

En mathématiques, je ne peux signaler aucune défiance, sauf que c'est que les hommes ne comprennent pas suffisamment l'excellente utilisation des mathématiques pures, en ce sens qu'ils remède et guérissent de nombreux défauts dans l'esprit et les facultés intellectuelles. Car si l'esprit est trop terne, ils l'agrassent; S'ils sont trop errants, ils le réparent; S'ils sont trop inhérents au sens, ils l'abstraitent.

L'argumentation est concluante, mais elle ne lève pas le doute.

Toutes les sciences nécessitent des mathématiques.

Premièrement, par les figurations de l'art, il y a des instruments de navigation sans hommes pour les ramer, comme de grands navires pour brooke la mer, seulement avec un homme pour les diriger, et ils navigueront beaucoup plus rapidement que s'ils étaient pleins d'hommes; Aussi chars qui se déplaceront avec une force indescriptible sans aucune créature vivante pour les remuer. De même, un instrument peut être fait pour voler avec tout si l'on se trouve au milieu de l'instrument, et transforme un moteur, par lequel les ailes, composées artificiellement, peuvent battre l'air après la manière d'un oiseau volant.

Car si un homme qui n'a jamais vu le feu s'est prouvé par des arguments satisfaisants que le feu brûle. L'esprit de son auditeur ne serait jamais satisfait, et il n'éviterait pas le feu jusqu'à ce qu'il y mette la main afin qu'il puisse apprendre par expérience ce que l'argument a enseigné.

Le raisonnement tire une conclusion, mais ne rend pas la conclusion certaine, à moins que l'esprit ne le découvre par la voie de l'expérience.

Un homme seul avait vraiment connu les sciences, à savoir Robert, évêque de Lincoln.

Toutes les sciences sont liées entre elles ; elles se prêtent mutuellement une aide matérielle en tant que parties d'un grand tout, chacune faisant son propre travail, non pas pour elle seule, mais pour les autres parties ; comme l'œil guide le corps et le pied le soutient et le conduit d'un endroit à l'autre.

La négligence des mathématiques travaille des blessures à toutes les connaissances, car celui qui ignore ceci ne peut pas connaître les autres sciences ou choses de ce monde. Et ce qui est pire, ceux qui sont ainsi ignorants sont incapables de percevoir leur propre ignorance, et donc ne cherchez pas de remède.

Poser la bonne question est la moitié de la connaissance.

Car les choses de ce monde ne peuvent pas être connues sans connaissance des mathématiques.

La connaissance des langues est la porte de la sagesse.

Les arguments les plus forts ne prouvent rien tant que les conclusions ne sont pas vérifiées par l'expérience. La science expérimentale est la reine des sciences et l'objectif de toutes les spéculations.

L'aspirateur se tient et reste un espace mathématique. Un cube placé dans un vide ne déplacerait rien, car il déplacerait l'air ou l'eau dans un espace contenant déjà ces liquides.

L'homme qui apprend doit croire ; celui qui sait doit examiner.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_Bacon

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