Ronald Fournier, dit Ron Fournier, (né le 3 août 1949) est un animateur de radio, journaliste sportif québécois et commentateur sportif ainsi qu'un arbitre de hockey professionnel.

La nuit des élections est le moment le plus simple pour agir comme un adulte.

La question est de savoir si les électeurs, en particulier les indépendants, pensent qu'Obama apprécie vraiment la liberté et la responsabilité personnelles que le filet de sécurité acheté par le gouvernement.

Les électeurs n'ont pas à l'aimer, disent les conseillers de Romney, mais ils le respecteront.

Une économie qui s'affaiblit, une dette nationale qui monte en flèche et un Congrès de plus en plus agité ont poussé Obama à ordonner des réductions de troupes à la fois plus profondes et plus rapides que celles recommandées par ses commandants militaires.

Avec Gridlock la norme, la cote d'approbation du Congrès est inférieure à 10% et le public a perdu confiance en sa direction nationale.

Tout peut être possible en Amérique, mais une présidence Palin est pratiquement invraisemblable.

Selon une enquête de Public Policy Polling, la plupart des Américains trouvent les poux et les coloscopies plus attrayants que le Capitole.

La secrétaire d'État Hillary Rodham Clinton est la femme la plus influente de Washington - pour ce qu'elle a accompli et pour ce qu'elle peut encore faire: gagner la présidence.

Un programme concret et une victoire écrasante pourraient même ne pas garantir à un président son mandat dans une capitale aussi polarisée que Washington.

Obama a lancé une campagne durement à tranches et négatives contre Romney, espérant convaincre les électeurs de la récession que son rival était indigne du travail.

Au début de son second mandat, on s'interroge moins sur l'aptitude d'Obama que sur sa volonté : pourquoi n'en fait-il pas plus pour construire et entretenir les relations nécessaires pour gouverner en cette ère de polarisation ?

Barack Obama a remporté un second mandat mais pas de mandat. Grâce en partie à sa propre campagne de petit calibre et brutale, la victoire ne garantit au président rien de plus que le casse-tête de la construction d'un consensus dans une capitale bloquée au nom d'un public polarisé.

De toute évidence, la présidence d'Obama n'a pas effacé les préjugés raciaux.

Pour un homme qui s'est comparé à Theodore Roosevelt et aux défis de la nation à ceux de l'âge doré, Obama a proposé un programme tiède.

Les journalistes politiques et les professionnels de la politique se sont précipités au jugement contre Romney parce que nous avons envie de scénarios clairs et sans ambiguïté.

Les agents de la Maison Blanche ont fait de grands efforts pour montrer à Obama, passant à l'occasion des guerres à l'étranger aux problèmes nationaux à la maison.

Le président George W. Bush a remporté la réélection en 2004 en grande partie parce qu'il était considéré comme à l'aise dans sa propre peau, tandis que le rival John Kerry était considéré comme un opportuniste à flancs.

Bien que nous n'ayons jamais été amis et que nous nous soyons parfois cognés, ma relation avec Clinton et sa femme, Hillary, a fait de moi un meilleur journaliste.

AP m'a promu au rythme de la Maison Blanche parce que je connaissais Clinton, sa famille, ses amis et son personnel mieux que quiconque dans la presse nationale. Ces contacts m'ont aidé à casser quelques histoires et à lancer ma carrière à Washington.

Dites ce que vous voulez dire sur le reste de sa présidence, y compris sa réponse sourde à Katrina et une guerre menée en Irak sur de fausses prétextes, Bush a été connecté aux Américains au lendemain du 11 septembre parce qu'il avait l'air aussi fragile et impitoyable que nous nous sentions.

Il est un peu injuste d'accuser Obama de diviser la nation lorsque les faits montrent qu'il l'est déjà.

L'exceptionnalisme américain est le personnage récurrent dans le récit de la nation.

Obama se considère au-dessus de l'accord et de la délai de dos, des nécessités politiques qu'il délègue souvent au vice-président Joe Biden et à d'autres sortes moindres.

Si l'histoire est un guide, une victoire pour Obama signifie qu'il fait face à la perspective d'un deuxième mandat obstiné par le scandale ou l'inertie.

Les mandats sont rarement gagnés le soir des élections. Ils sont gagnés après l'inauguration du jour par des dirigeants qui passent à bon escient leur capital politique, profitant des événements sans dépasser.

Depuis qu'il ne servirait pas dans une deuxième administration Obama, Clinton a rejeté les suggestions qu'elle dirigera en 2016.

Tout peut mal tourner dans un débat, et Obama n'est pas un débatteur parfait.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ron_Fournier

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