L'oeil unique du grand paparazzi américain Ron Galella sur l'univers de la boxe : Boxeurs professionnels sur le ring et ailleurs, avec leurs plus belles citations (Mohammed Ali, Mike Tyson, Joe Louis, Larry Holmes, Jake LaMotta, Rocky Graziano, etc.) ; Diverses célébrités qui jouèrent à l'écran des rôles de cogneurs : Paul Newman dans Marqué par la Haine, Robert de Niro dans Raging Bull, Kirk Douglas dans Le Champion, Sylvester Stallone dans Rocky, etc. ; Acteurs qui pratiquent la boxe en dehors de l'écran : Jack Palance, Tony Danza, etc. BOXING WITH THE STARS est un tourbillon d'images entre le sérieux et la provocation, un livre à mi-chemin entre la boxe et le show business.

Boxing with the stars

"Warhol par Galella : That's Great ! " Préface de Glenn O'Brien 59. 00 ? TTC, 224 pages, 160 photos, relié couverture dure 22. 8x31. 8cm isbn 978-2-916954-21-9 Mick et Bianca Jagger, Sylvester Stallone, Truman Capote, Grace Jones, Lee Radziwill, Elton John, Keith Haring, Steve Rubell, Halston, Liz Taylor, Raquel Welch . "Warhol par Galella : That's Great ! ", ou la quintessence de la vie mondaine d'Andy Warhol de la fin des années soixante jusqu'à sa mort en 1989 vue par Ron Galella, le meilleur photographe de l'Amérique noctambule. En exclusivité pour Verlhac Editions, Ron Galella a rassemblé 160 de ses plus belles photos de l'artiste new yorkais. Á travers ces photos, Galella présente sous forme de journal visuel la vie de Warhol, de son entourage et des lieux qu'il fréquentait. Le terme Paparazzo (mot italien pour " casse-pieds ") définit exactement Ron Galella, celui qui a construit sa renommée en photographiant les célébrités sur le vif, dans des moments souvent privés. Célèbre pour son interdiction d'approcher Jackie Onassis, Galella fut un des photographes favoris d'Andy Warhol, qui partageait sa fascination pour les célébrités de premier et second plan. " C'est Andy Warhol qui m'a présenté Ron Galella. Andy adorait Ron à sa façon, toujours si complexe. Il disait " Tiens, voici euh, Ron Galella. Le meilleur photographe ". En dévisageant ce type d'apparence ordinaire bardé de matériel de paparazzo, avec son accent de banlieue et son costume froissé, les gens pensaient qu'Andy se moquait de Galella. Mais il ne s'agissait nullement de moquerie. Andy appréciait réellement Galella. Je pense que Warhol s'identifiait à un Ron attiré par les célébrités, persévérant et atypiquement perfectionniste. J'imagine aussi qu'Andy admirait le courage de ce type ordinaire, qui n'hésitait pas à se mettre en danger pour approcher des personnalités de la trempe de Jackie Onassis, à la recherche permanente de l'image exceptionnelle. Andy Warhol distinguait en Galella une qualité qui échappait au commun des mortels : il s'agissait d'un photographe d'exception. Pour Andy Warhol, Galella n'était pas un voyeur ou un fou, mais simplement le meilleur des paparazzi. C'était un artiste dans un domaine non reconnu comme étant un art. Andy avait aussi un faible pour cela. Je pense que son oeil a su voir le plus grand photographe portraitiste interdit de notre temps. " Portrait de Ron Galella par Glen O'Brien. Le Livre " Warhol par Galella : That's Great ! " est préfacé par Glenn O'Brien qui a travaillé et joué avec Warhol en tant que rédacteur et directeur artistique du magazine Interview à la fin des années soixante. Après des apparitions successives comme musicien, réalisateur et directeur de création de Barneys Advertising, O'Brien est aujourd'hui le " Monsieur style " (" The Style Guy ") de GQ Magazine (USA) et contribue régulièrement à Vanity Fair (USA). Á travers la chronique " Glenn O'Brien's BEAT " du magazine Interview, O'Brien fut un commentateur incontournable de la période. Ses articles placent Galella dans le monde de Warhol et dans l'histoire de la photographie moderne en décrivant son travail hors du commun.

That's Great ! - Warhol par Galella

Ronald Edward Galella, dit Ron Galella, né le 10 janvier 1931 à New York et mort le 30 avril 2022 à Montville au New Jersey, est un photographe américain, connu pour être le pionnier des paparazzis dans les années soixante.
Surnommé le « Paparazzi extraordinaire » par Newsweek et le « Parrain de la culture américaine des paparazzis » par Time et Vanity Fair, il est considéré comme le photographe le plus controversé dans le monde.

Je suis monté dans ma voiture et j'ai suivi [Marlon Brando] jusqu'à Chinatown, et j'ai obtenu environ douze tirs. Brando m'a appelé et m'a dit: que voulez-vous d'autre que vous n'ayez pas déjà? Et j'ai dit, j'aimerais une photo sans les lunettes de soleil. Il a dit non et m'a frappé dans la mâchoire, c'était si rapide que je ne l'ai pas vu venir. Le sang jaillissait de ma bouche. J'ai conduit à Bellevue. La mâchoire et les cinq dents ont été brisées ... à ce jour, il a des cicatrices sur ses jointures de mes dents.

Mon travail est épais de risques, de menaces, de violence occasionnelle et parfois de la folie nécessaire qui courtise parfois l'humiliation et le ridicule. Mais je m'en fiche. Je me considère comme le doyen des paparazzi américains.

Dans notre monde, l'amour, le sexe, la musique et la danse sont tous intégrés dans une seule expérience. L'amour et les arts de la musique et de la danse vont ensemble.

Les célébrités ont rapidement compris que les paparazzi pouvaient en faire des icônes. Plus une étoile est suivie et admirée, plus l'adulation est grande. Ils ont donc élevé les enjeux, se cachant parfois quand ils n'en ont même pas besoin. Aujourd'hui, la célébrité est plus éphémère et c'est la photographie qui leur donne leur statut de célébrité.

Mon style est l'approche des paparazzis qui est spontanée, sans retenue, hors garde. La beauté que je recherche est inhérente, plus naturelle. De véritables émotions, de vraies émotions, c'est ce que je recherche.

Nous avions une relation amoureuse. Jackie savait exactement ce qu'elle pouvait sortir de l'une de mes photos.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ron_Galella

Ses oeuvres

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