Rose Schneiderman, née le 6 avril 1882, et morte le 11 août 1972, est une socialiste et féministe, américaine d'origine polonaise, et l'une des plus éminentes dirigeantes syndicales.
En tant que membre de la New York Women's Trade Union League, elle a attiré l'attention sur les conditions de travail dangereuses, à la suite de l'incendie de l'usine Triangle Shirtwaist de 1911, et a aidé à faire passer le référendum de l'État de New York de 1917 qui donnait aux femmes le droit de vote. Schneiderman est crédité d'avoir inventé l'expression "du Pain et des Roses", pour indiquer le droit d'un travailleur à quelque chose de plus élevé que la vie de subsistance. Plus tard, il a été utilisé comme titre d'un poème et mis en musique.

Mais chaque fois que les travailleurs sortent de la seule manière qu'ils savent protester contre les conditions qui sont insupportables, la main forte de la loi est autorisée à appuyer fortement sur nous.

Pour moi, le mouvement du travail n'a jamais été une façon d'obtenir des salaires plus élevés. Ce qui m'a séduit, c'est le côté spirituel d'une grande cause qui a créé la communion. Vous vouliez que la fille ou l'homme qui travaillait à côté de vous soit traité aussi bien que vous, et une blessure à une était la préoccupation de tous.

Ces femmes ne perdront sûrement plus leur beauté et leur charme en mettant un bulletin de vote dans une urne une fois par an qu'elles ne sont susceptibles de perdre debout dans des fonderies ou des blanchisseries toute l'année. Il n'y a pas de concours plus difficile que le concours pour le pain, permettez-moi de vous dire cela.

Nous vous avons essayé de bonnes personnes du public et nous vous avons trouvé que vous vouliez.

Je ne peux pas vous parler de la communion qui est réunie ici. Trop de sang a été renversé. Je sais que par mon expérience, il appartient aux travailleurs de se sauver. La seule façon de se sauver est par un solide mouvement ouvrier.

La travailleuse doit avoir du pain, mais elle doit aussi avoir des roses. Aide, les femmes de privilège, donnez-lui le bulletin de vote avec lequel vous battre.

Notre peuple était très réel, disant qu'ils ne pouvaient pas s'asseoir sous cet avis, et que si le conseil national ne les a pas appelés bientôt, ils sortiraient d'eux-mêmes.

Puis est venu une grosse grève. Environ 100 filles sont sorties. Le résultat a été une victoire, ce qui nous a permis - je veux dire les filles - une augmentation de 2 $ de notre salaire en moyenne.

Ce que la femme qui travaille veut, c'est le droit de vivre, pas simplement d'exister ... le droit à la vie, le soleil, la musique et l'art ... l'ouvrôle doit avoir du pain, mais elle doit aussi avoir des roses.

Nous devons donc rester ensemble pour résister, car nous obtiendrons ce que nous pouvons prendre - juste et pas plus.

Après avoir travaillé comme fabricante de casquettes pendant trois ans, j'ai commencé à comprendre que nous, les filles, avions besoin d'une organisation. Les hommes s'étaient déjà organisés et avaient gagné quelques avantages, mais les patrons n'avaient rien perdu, puisqu'ils s'en étaient pris à nous.

Pendant tout ce temps, notre union progressait très bien. Il y avait des conférences pour nous faire comprendre ce qu'est le syndicalisme et notre véritable position dans le mouvement ouvrier.

Je ne peux pas penser à une chose qui était meilleure dans ces bons temps.

Aujourd'hui, pour de nombreuses personnes, être membre du syndicat signifie simplement payer des cotisations, mais au début, nous étions si peu d'entre nous que si la majorité des membres n'étaient pas actifs, le syndicat a cessé d'exister.

Ce que la femme qui travaille veut, c'est le droit de vivre, pas simplement - le droit à la vie en tant que femme riche a le droit à la vie, le soleil et la musique et l'art. Vous n'avez rien que le travailleur le plus humble n'a pas le droit d'avoir aussi. La travailleuse doit avoir du pain, mais elle doit aussi avoir des roses. Aide, les femmes de privilège, donnez-lui le bulletin de vote avec lequel vous battre.

Je serais un traître à ces pauvres corps brûlés si je venais ici pour parler de bonne communion.

J'ai appris l'entreprise en environ deux mois, puis j'ai fait autant que les autres, et je me débrouillais donc assez bien lorsque l'usine a brûlé, détruisant toutes nos machines - 150 d'entre elles. C'était très dur pour les filles qui avaient payé leurs machines.

Bien sûr, nous savions que cela signifiait une attaque contre le syndicat. Les patrons avaient l'intention de se débarrasser de nous, employant à notre place pour les enfants et les immigrants bruts qui travailleraient pour presque rien.

Je sais d'après mon expérience, c'est aux travailleurs Tosave eux-mêmes. La seule façon de se sauver est par un solide mouvement ouvrier.

Vous n'avez rien que le travailleur le plus humble n'a pas le droit d'avoir aussi.

J'ai lu sur le sujet et je suis de plus en plus intéressé, et après un certain temps, je suis devenu membre du conseil national, et j'avais des fonctions et des responsabilités qui m'ont occupé après la fin de ma journée.

... c'est l'esprit du syndicalisme qui est le plus important, le service de la camaraderie, le sentiment que le mal d'un individu est le souci de tous et que le travail de l'individu profite à tous.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Rose_Schneiderman

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