Coming of age in Victorian England. In 1887, twelve-year-old orphan Lucy Richards is taken secretly into the care of a half-pay captain in an isolated farmhouse several miles from the small town of Croome. Lucy's mother founded hospitals in India and Natal, and when news of her death arrives in Britain the press tries to find the child. But they can't find her hidden away with Captain Hart - nor when she stays at Beauchamp Manor with the local squire, where she befriends the squire's horse-mad daughter. Maud has two older brothers, the Oxford student Clive and his raffish brother Riordan who has an eye for a pretty girl. But Lucy remains besotted with Captain Hart. In the next four years she grows into a wilful, hot-blooded girl, determined to defy the constraints of the Victorian world. The Captain's Ward is both a stand-alone novel and the prequel to 'After She Drowned'.

The Captain's Ward

A black comedy set in the Swinging Sixties (1963-4) and revealed through the diaries of a doctor - 35 years old and still a virgin - whose curious obsessions drive him to start murdering his patients. Doctor Kristal is picky, pedantic and super-sure he's right - though he doesn't see himself that way. In his consulting room he regards most patients with contempt, and on his lonely walks through the graveyard he muses on life and death. In the pub his only friend, a doctor approaching retirement, tries to sell Kristal his practice and to interest him in a young female doctor across town. Kristal, though, is becoming obsessed with two attractive patients. Sexy young Jane Quinney, who he has helped before, has found herself pregnant and wants his help again, while the alluring Eleanor, unhappily married to an older man (an overweening actor) asks if there is any way to slow her husband's voracious sexual appetite. Kristal thinks himself immune from any hint of sexual passion - but they are beautiful woman, desperate for his help. Isn't there anything he can do?

The Newly Discovered Diaries of Doctor Kristal

The entire story is narrated into an iPhone. Why? Crosby Ravensworth is so busy he can't make time to scatter his father's ashes, nor to sort out the dysfunctional family he hoped he'd left behind, nor to decide which of the four women in his life he should connect to. His father has committed suicide and the funeral will be the first time Crosby meets any of his uneasy family for five years - his stepmother (who never accepted him), his stepbrother (a priest), his half-sister (a businesswoman, ever on the phone like Crosby) and his youngest half-brother (out of work). Crosby leaves with a sealed box of his father's papers, a last letter and the task of scattering his father's ashes at a quiet location in the Lake District. When he has time. He's a 24/7 guy whose work takes him to some great places - Venice, California, Munich - even if he doesn't get to spend much time in them (hardly any, to tell the truth). And he gets to travel all over Britain to, well, Hartlepool, Carlisle, Birmingham .

Exit 39

John Leighton, owner of a fine estate in the Cotswolds, lives well - when we meet him he is 'warmly encased in leather-lined Le Chameau boots, neat Habicht binoculars slung loose around his neck, and he carries a boxlock Holland and Holland Cavalier shotgun in one hand.' Weekend shooting parties are nothing new to him - but for Leighton this will be the first (and last) to be attended by some friends, some business contacts, his wife's lover, and an undercover London hit-man.

Brace Yourself

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Ça ne fait de mal à personne

Deux types en acier trempé, Rick Miller et Tony Iles, règnent sur la nuit londonienne. « En privé » pour le premier, qui produit la majorité des films pornographiques du Royaume ; « en public » pour le second, dont on ne compte plus les salons de massage.Dans ce climat tendu de mafia, Zoe, une jeune journaliste infiltrée, est assassinée sur le tournage d'un film X. Mais tout semble baigner dans le plus interlope des mondes, et ni la police, ni Kirsty, l'ambitieuse collègue de Zoe, ne parviennent à tirer le moindre fil...Il faut attendre que Tony Iles, désoeuvré, visionne le fameux porno, pour que le scandale éclate : la star, sur son écran géant, n'est autre que sa fille ! Cette légère erreur de casting fissure la loi du silence. La frontière entre la vertu des uns et les vices des autres va se révéler bien mince...Qui a dit que l'ambition, le sexe et l'argent ne faisaient de mal à personne ?Après Peindre au noir (Fayard Noir, 2009), thriller irrigué d'histoire nazie, Russell James privilégie une écriture de l'action. Nerveuse, incisive, subversive, elle lui permet d'éclairer les zones troubles de la nature humaine, d'où il semble extraire la moelle de ses romans.« Un roman passionnant d'un des maîtres du genre, aux niveaux de lectures foisonnants. » Mail on Sunday« Quand il unit traits de plume et d'esprit, Russell James est le meilleur ! » Time out

ça ne fait de mal à personne

Rick Miller, magnat de l'industrie pornographique, et Tony Iles, proprietaire tentaculaire d'etablissements de plaisir, regnent sur la nuit londonienne. Deux types en acier trempe (rital contre cockney), qui preferent s'ignorer. Dans ce climat tendu de mafia, un tournage de film X, avec acteurs blases et sequences bien huilees, va se transformer en scene de crime. La police et Kirsty, une jeune journaliste ambitieuse et amie de la victime, patinent. Au retour d'un restau, Tony Iles visionne mollement un porno produit par le fils de son ennemi, quand son regard se fige: sur son ecran geant, la jeune actrice X sur le point d'etre sodomisee est sa fille, et elle n'a que quatorze ans. Cette legere erreur de casting conduit les deux caids a s'entredevorer. Des lors, quetes et enquetes s'entremelent, policiere, journalistique, sentimentale et familiale, ancrees dans le monde interlope de la pornographie et de la nuit. La frontiere entre la vertu des uns, les vices des autres (et vice et versa) se revelant parfois bien mince. Avec Peindre au Noir, son precedent ouvrage (Fayard Noir), Russell James signait un roman noir contemporain irrigue d'histoire (notamment nazie). Ici, il privilegie une ecriture de l'action. Nerveuse, incisive, subversive, elle lui permet d'eclairer les zones troubles de la nature humaine, comme entre chien et loup, d'ou il semble extraire la moelle meme de ses romans."

Angleterre, 1997, quelques semaines avant l'élection de Tony Blair à la tête du gouvernement travailliste. Gottfleish, un marchand d'art peu scrupuleux, est convaincu que Sidonie Keene, une délicate lady anglaise de quatre-vingt-cinq ans, possède encore, soigneusement dissimulées, des toiles originales de sa soeur Naomi, disparue cinquante ans plus tôt dans la pauvreté, la solitude et la honte. Sa cote atteint des sommets.
Alors que Sidonie assiste aux funérailles d'un de ses plus proches amis, Gottfleish envoie Ticky, son âme damnée, évaluer la fortune qui repose derrière les rideaux du cottage. Ticky ne se doute pas qu'en fouillant les tiroirs de la dame il va réveiller de lourds secrets, nés de l'intimité de Naomi et de Sidonie avec les caciques du IIIe Reich...

A travers le regard d'une ancienne mondaine des années trente, Russell James rouvre un chapitre ténébreux de l'histoire du xxe siècle. Par la chronique d'une jeunesse brillante aussi fascinée que dépassée par le monstre nazi, et par le récit croisé de la menace spéculative qui pèse peu à peu sur les biens, les souvenirs et la personne de cette vieille lady, il nous offre un roman noir d'une exceptionnelle tenue, un portrait dense et documenté de la figure du Mal dans toutes ses ambiguïtés.

Peindre au noir

J'ai vécu en étant pooh-poohed par des galeries d'art, disant: "Le numérique va détruire le sens derrière les photos." Le côté mouvement, au moment où toutes les caméras prennent vie avec ce mouvement, c'était comme un rêve devenu réalité. Il permet aux gens d'expérimenter économiquement avec le film.

La composition est ce qui est similaire entre le fait d'être photographe et directeur. En tant que photographe, vous faites en quelque sorte tout - vous dirigez les lumières et vous encadrez et vous vous déplacez. La chose la plus difficile à apprendre en tant que réalisateur est de savoir comment les caméras doivent bouger. Vous devez avoir de la patience, vous devez apprendre à regarder à travers l'objectif, puis vous devez apprendre à combiner tous les compartiments en une seule image.

Je suis inspiré par les lignes, par des formes, quand je vois une robe sur une personne, quand je vois une beauté dans un visage, que ce soit un homme d'une culture ancienne ou d'un beau jeune modèle. Alors qu'est-ce qui m'inspire? La vie m'inspire.

Des choses compliquées pour moi ont tendance à ne pas être intéressantes. Des choses simples, comme quand c'est vraiment un contact visuel direct, ou lorsque vous voyez une très belle forme, comme lorsqu'elle est propre ou bien équilibrée dans le cadre.

Si vous donnez les mêmes 200 images à 200 personnes différentes, ils choisiront probablement un cadre différent. La clé est le montage. Soyez assez intuitif pour tirer au bon moment, et lorsque vous voyez l'action se produire comme vous le souhaitez, tirez. Et dans le montage, vous devez aller avec votre intestin.

Quand je modifie, c'est un appel tellement difficile, et je suis mis au défi tout le temps. Vous devez aller avec votre intestin - parfois lorsque vous regardez une photo, vous savez juste que c'est la photo. Parfois, il s'agit de la connexion ou de la simplicité de la composition.

Je pourrais me promener pour toujours, j'adore la photographie. C'est ma passion, ça rend ma famille folle. Je le vis et le respire.

Ses oeuvres

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