Ruth Porat, née en 1957, est une femme d'affaires américaine et directrice financière. Elle a notamment été directrice financière et vice-présidente exécutif de Morgan Stanley de janvier 2010 à mai 2015. Depuis le 26 mai 2015 elle est la directrice financière de Google et d'Alphabet depuis la création de cette holding.

Si la porte est clouée et que vous «vous penchez», vous allez juste être meurtri et battu.

Depuis 1987, nous sommes maintenant beaucoup plus d'entre nous comme aux niveaux supérieurs avec les familles, donc je pense que, en tant que modèles, nous encourageons plus de femmes à rester dans le secteur bancaire et à monter dans les rangs.

J'ai vu trop de gens dans ma carrière à penser qu'il y a une progression naturelle vers la vie, avec certaines étapes de carrière précédant ce que vous voudrez dans votre vie personnelle. Malheureusement, la vie ne sait pas qu'elle est censée suivre un horaire.

Les femmes n'atteignent toujours pas les niveaux les plus âgés de sociétés. Ce n'est pas la lacune des femmes. Nous sommes talentueux et intelligents.

L'un des plus gros problèmes que les femmes ont est qu'ils travaillent très dur et baissent la tête et supposent que le travail acharné se fait remarquer. Et le travail acharné pour le mauvais patron ne se fait pas remarquer. Le travail acharné pour le mauvais patron se traduit par une chose - ce patron a l'air formidable et vous êtes coincé.

Si vous n'avez pas de liquidité ample, et ce n'est pas durable, en période de stress, car vous recherchez des liquidités, vous êtes obligé de vendre des actifs à des prix en baisse, qui mange ensuite dans votre position de capital, donc cela devient cette cycle très, très négatif. Il ne fait aucun doute que la liquidité est sacro-sacrosée.

Sauf si vous restez concentré sur l'innovation, vous pouvez être désintermédiaire.

Nous pensons que l'apprentissage automatique, en ce qui concerne les soins de santé et les sciences de la vie, est extraordinaire.

La chose la plus précieuse que vous puissiez avoir en tant que leader est des données claires.

Reconnaissez que tuer une idée faible tôt est précieux.

Le cloud est l'une des opportunités les plus extraordinaires de notre vie. Si nous n'investissons pas maintenant, nous allons le mal.

Tenez-vous à votre vrai nord - construisez la grandeur à long terme.

Je considère les investisseurs comme nos partenaires et parties prenantes de l'entreprise. Ils essaient de construire des modèles financiers. Ce sur quoi j'essaie de me concentrer, c'est de les aider à comprendre comment nous pensons.

La liquidité est de l'oxygène pour un système financier.

Les plus riches peuvent se permettre de payer plus d'impôts. Cela fait partie de l'accord. Ça a du sens. Je ne connais personne qui n'est pas d'accord avec ça.

Ayant grandi dans la Silicon Valley, pendant mon séjour à Morgan Stanley et en tant que membre du conseil d'administration de Stanford, j'ai eu l'occasion de découvrir de première main comment les entreprises technologiques peuvent aider les gens dans leur vie quotidienne.

La disparité de la richesse entre le plus bas et le plus élevé continue de se développer, et c'est inapproprié.

Quand j'ai commencé, il y avait très peu de femmes au niveau du directeur général et très peu de familles, ce qui était important pour moi. Donc ce n'est pas comme, quand j'ai levé les yeux, je pourrais dire: «Eh bien, c'est ce que je veux être».

Je déteste le terme «équilibre entre vie professionnelle et vie privée». Je pense que c'est une configuration, et c'est un piège pour nous tous.

Quand j'ai commencé, il y a très peu de femmes au niveau du directeur général et très peu de familles, ce qui était important pour moi. Donc ce n'est pas comme quand j'ai levé les yeux, je pourrais dire: "Eh bien, c'est ce que je veux être."

Si vous vous concentrez simplement sur le travail, je pense que vous n'en récupérerez jamais assez de toute organisation, peu importe à quel point le rôle est fantastique, et vous devez avoir une vie pleine afin que vous vous enrichissiez vraiment en beaucoup de beaucoup de différentes manières, et cela peut être la famille et les enfants. Cela peut être, pour d'autres, des sports.

Je pense que ce que Sheryl Sandberg a dit sur l'importance de «se pencher» est très vrai, mais ce n'est pas suffisant.

Je me souviens, la première fois que cela m'a frappé, c'est que j'étais une majeure en écône à Stanford en tant que premier cycle, et cela m'a frappé à quel point le peu de femmes étaient des majors Econ Majors dans les années 70. Et puis dans l'école de commerce, combien peu de femmes ... et même alors, je me suis dit: "Mon Dieu, c'est vraiment regrettable."

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