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Sadek Belhamissi

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Poésies

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    Sadek Belhamissi

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    Déferlant comme tsunamie De tous les pays le meilleur n'est ni le plus gros, Ni de richesses, truffé mais celui de la liberté. Celui-là en effet si préférable, bien plus beau D’ une grande civilisation, luisant par les reflets. Chaque dictateur fraîchement élu n’a qu’une idée, La volonté de garder le pouvoir le plus longtemps, Assouvir son désir, voir la constitution raccommodée Autant son tailleur convoquer plutôt que parlement. A un joug déplorable, et soumis tête baissée, Des millions d'hommes misérablement asservis, Non contraints, par un seul fascinés, ensorcelés, Envers eux pourtant cruel avait écrit de La Boétie . Citoyens ! Si un pouvoir oppresseur peut contenir Un peuple durant longues et pénibles décennies, Ce dernier debout, uni en un jour peut en finir Le balayant au passage, déferlant comme tsunami. . Bzlhamissi Sadek le 23.08.2017

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    Belle colombe D’un fol amour passionné, la vie entière, assuré Soudain surpris par ma dulcinée et la réalité amère, Bonheur, tendresse, amour sublime, effacés. Larmes et sombres jours, adieu blanche lumière. . Majestueuse, je ne peux ta beauté sublime oublier, Ni tes yeux bleus, de fraîches vagues, le souvenir Combien de fois nous ont vus amoureux enlacés L’eau joyeusement submergée par nos fous-rires. . A vie fusionnés, nos âmes nos cœurs amants pourtant, Tu étais jolie fleur toute ma fortune mon si doux trésor, Sans toi bien malheureux, blessé pour très longtemps, Qu’ai-je fait ma douceur, dis-le moi pour mériter ce sort ? . Un jour, ton gracieux envol tu as décidé prendre Seule, belle colombe pure qui me faisait rêver. Que d’amour ! N’arrêtant pas de me surprendre, Quel cauchemar, lors sans raison, tu m’as quitté. . Belhamissi Sadek 18.08.2017 . Ce poème traite de la paix qui a abandonné l’humanité à son sort . L a colombe étant le symbole de la paix. D’apparence romantique il traite de tous les malheurs qui frappent et endeuillent partout l’humanité à un rythmé effréné .

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    A tes côtés, les dernières heures Qu’il est bon au radieux soleil, penser Quand la triste grisaille nous ensevelit. Qu’il est doux de rêver au bonheur passé, Délice de tendresse, ses rires et ses folies. Non sublime rose je ne t’ai jamais oubliée, Ni du feu de tes jolies prunelles, la douceur Ton sourire divin, ton angélique beauté, La grâce du corps à la juvénile fraîcheur. De toutes les jolies fleurs, la plus belle, D’un fol amour pour toi mon pauvre cœur, Sous le charme d’un parfum qui ensorcèle, De vibrer ne cessera jusqu’à la dernière heure. Ô rose bien-aimée le temps sa course effrénée Jamais ne finit, suis-je le soir dans tes pensées ? A tes côtés les plus douces et chaudes heures, Les dernières voudrais vivre avant que je ne meurs. . Belhamissi Sadek le 09.10 2017

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    A vos côtés la vie Rouge et sublime, charmante Rose épanouie Sur mon chemin par le destin, croisée, Azuré cette fois mon ciel chassant le gris, Je ne vois plus que vous dans mes pensées. . Avec raison pouvait-on, à vos charmes, Reine des jolies fleurs, un instant résister ? Lors seul ne pouvant et sans armes, Qu’à vos pieds mignons succomber. . Joues en feu, ma douceur sentir dans mes bras, Vos cheveux patiemment caresser, soyeux, Humer parfum délicat, dire tendrement : Alessandra Combien vous êtes aimée et moi si heureux. . Ne cessant à vous de penser mon doux printemps, A vos côtés la vie manège magique, ivresse De jolis cœurs, tendresse des amants, Telles de jolies fleurs que la brise caresse. . Belhamissi Sadek le 13.03.2018

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    Ah ! Ces garçons ne retenant leçon Par le temps balayées, toutes ces années depuis par magie ont passé, qu’êtes- vous donc devenus, Mes très chers compagnons de jeunesse et amis qui me semblez pour toujours, souvenirs perdus. Terrible ! Quand on ne trouvait de quoi s’occuper Il fallait qu’une jeune voisine passante on embêtait, Elle, sagement tête baissée, lors bêtement on parlait A un mur, mieux valait filer, ballon au pied pour jouer. Ah ces garçons, vraiment plus bêtes que leurs pieds Ne retenant leçon. Dès qu’arrivaient à plusieurs, les filles Le fou rire contagieux les prenant, elles nous lançaient « Les petits! Ne serait-il pas mieux, aller jouer aux billes ?». Montant les escaliers, jacassant comme au poulailler, Nous ignorant, plus avisées que garçons ces poulettes ! Tas de muscles sans cervelle confus, à rien ne servaient, Lors les filles bien sages, belles et de loin moins bêtes. A croire j’ai grand peine, vous avoir connus un seul jour. Nous pensions candides et riant ne jamais nous quitter Et pourtant chacun de nous, du destin suivant le cours Par cette force invisible, imprévisible, furtivement emporté. . Belhamissi Sadek 01.09.2017

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    Applaudissant Toujours ! Il sait courber l’échine le peuple, servir de tremplin Pour aider un vil opportuniste à parvenir à ses fins. Il applaudit ce soir son président qui lui sera hostile Au petit matin.Il sait montrer bon dos un peuple docile. . Le président-monarque, ses anciens amis balaie Lui rappelant souvenirs de disette bien tristounets. De nouveaux venus, il s’entoure, ignorant son passé, Formant belle meute de loups prêts à le dévorer. . Le roitelet sans même couronne fera brillants discours Au peuple bien naïf tout avalant, applaudissant toujours. Passant ses journées à se consacrer à sa grande cour Un paon, sans répit par ses loups, surveillé nuit et jour. . Un pouvoir en place repose sur une opposition divisée, Pas mieux que cet éternel principe pour longtemps diriger. Et pourquoi sont-ils ces partis-guignols entre-déchirés? Ils n’ont autre horizon que leur tour vienne pour régner . . On ne peut venir à bout d’un combat, peine bien perdue Pour une juste cause, tel le phénix toujours il renaît. Ô combien ils se ressemblent le deuil et le pouvoir perdu, Le premier jour tout le monde est là pour vous consoler, . Le lendemain plus personne.Dure est la chute, quel drame ! Pour l’avenir de l’humanité, partout l’espoir reste encore permis Non pas avec des hommes, mais tant qu’il y aura des femmes, Ayant donné en effet la vie, elles en apprécient davantage le prix. . Belhamissi Sadek le 07.09.2017

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    Aux âmes disparues Mais où êtes vous braves gens hommes, femmes, tout - petits. Gouffre sans fond, est il vrai que le temps vous ait tous à jamais engloutis ? . Seulement hier, il y a un instant encore, tout comme nous, vous souriait, la vie. Nul ne saura la nature de ce sort, ni comment ses élus, il choisit. Le sort, le temps, la mort est leur amie.. Pauvres humains, avec eux point de sursis. Que d’espoirs, que de richesses, enfouis, que de misères et de détresses ensevelies ! Riches ou pauvres, faibles ou puissants, petits ou grands, profanes ou savants, vertueux ou démons, athées et croyants tous ensemble, balayés par le temps. . Des stations inconnues pour un train mystérieux, à chacun la sienne, à chacun son tour, Il file à toute allure, emportant jeunes et vieux, pauvres humains, sans espoir de retour. Commentaires succincts/ . _A la fin de l’existence, .personne ne sait où il se dirige au crépuscule de sa vie . C’est pourquoi je parle de stations « inconnues » .tout le monde est embarqué dans le même train (image du temps différente de celle du premier quatrain où il aspire tout tel un trou noir dans le cosmos d’où l’appellation de gouffre sans fond ).et en même temps ce train nous transporte réellement dans le temps :dimension elle-même bien mystérieuse . _C’est pour cette raison que je dis train mystérieux .nous sommes tous embarqués dans un même train jeunes ,vieux mais chacun s’arrête à la station qui lui est destinée ,qu’il n’a pas choisie et de plus inconnue . il y a en réalité deux inconnues : personne ne sait à quel moment ,il doit rejoindre sa station de destination et quand il lui est ordonné de "descendre" ,il se dirige vers l’inconnu . (la vie que nous connaissons s’achève mais le nouveau chemin qui nous attend ,personne ne peut le définir ni le décrire .c’est un allez simple qui commence à notre naissance et qui s’achève selon un décret qui nous échappe complètement) . _Il file à toute allure ,en parlant de ce train singulier pour rappeler que quelle que soit la durée de la vie d’une personne même plus que centenaire ,il lui semble avoir vécu tout au plus quelques heures, la dimension d’un film de cinéma ! Le temps passe très vite ,trop vite ,c’est ce que nous ressentons chaque jour !

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    Aveugles, les humains ! Que la Paix soit, en ce jour béni, Dans vos yeux limpides qui sourient. à la vie la lumière Je perçois, chez grands et tout-petits. Que la Joie emplisse vos doux foyers fleuris. . Le miracle d’un sourire, tient sa force du Divin. Pourquoi sommes nous si pressés et remettre à demain, pourquoi, dès aujourd’hui, ne pas tendre la main à ce frère qui nous ressemble, apaiser son chagrin.? . Ballotée dans l’immensité qui défie la raison aveugles les humains, pour ne point voir encore que nous sommes les enfants d’une seule maison, et pour son prochain aimer, pourquoi attendre sa mort. . Dans le cœur de l’humain, qu’efface la douceur ses rancunes, la violence et toute mélancolie. Que cessent les injustices et toutes sortes de malheurs et tel le Phoenix que partout l’espoir reprenne vie. . . . comment/ Dans le 3eme quatrain ,_ballotée dans l'imensité......enfants d'une seule maison _ il s'agit de la Terre seule maison des humains et chacun sait que cette planète tourne autour d'elle même ,autour du Soleil qui lui-même tourne autour de son orbite _la Terre n'étant jamais à la même place d'où le terme" ballotée" _sadek

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    Charlot, la légende Tu me faisais rêver, avec ta poésie magique Le charlot du muet et le clown en musique. Le charlot du fou rire a fait mon cœur pleurer J’ai aimé ce charlot qui une aveugle aimait. La fille sa rose offrait au charlot qui l’adulait, La rose de la vie est toujours du poète, aimée. Charlot en comédien, apprenti dictateur, Charlot en Hitler pour démasquer l’imposteur. le Führer et son ballon dans un bureau morose, Le ballon pris pour sa terre qui devant lui explose. L’autre charlot qui pleure à la chaîne, l’ouvrier Et l’ immigré qui a faim mangeant ses souliers. Dans tous ses films, universel héros Charlot en être libre haïssait le cachot. Tous en nos cœurs nous le gardons par amour Ainsi ce grand poète en nous vivra toujours . . Belhamissi Sadek le 30.07.2017 . _Charlot poète, il s'agit bien sûr de Charlie Chaplin .Tellement il s'est fondu dans son personnage qu'on les confond_Belhamissi Sadek . _ce que Philippe Soupault poète français 02.08.97-12.03.90 avait dit de lui dans son livre CHARLOT petit résumé : «Pour les millions d’êtres humains qui vont au cinéma, le personnage créé par Chaplin était devenu un ami. Il jouissait d’une popularité et d’une affection qu’aucune créature née de l’imagination humaine n’a connues. Il vivait avec plus d’intensité que tous les personnages des légendes qui, du nord au sud et de l’ouest à l’est, enchantent les enfants des hommes et les hommes enfants. Charlot était le héros de notre temps, un héros universel, l'homme qui avait fait rire le monde et qui l’avait aussi fait pleurer. ……. »

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    Coucher de Soleil Assis sur le rocher, l' un contre l' autre, blottis pour admirer le coucher du soleil, à l' horizon, si joli. Longtemps, nous resterons tous deux à contempler, fascinés, le spectacle grandiose, majestueux par de douces vagues bercés.. Mais l' horizon, si flamboyant, l' instant d'avant, soudainement s'est effacé comme par enchantement laissant le noir si froid, l ' emporter. Et comme un enfant dans le noir, par l'obscurité , apeuré Je me réfugie, sans le voir tout contre ton sein mignon, adoré . .

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    Dans la belle onde Émeraude Un beau jour, nous serons ensemble sur une plage des folies, nous ferons pas toujours trés sages. Et roulant sur la douce dune tous les deux, tels des enfants nos deux âmes ne faisant qu' une à la manière de beaux amants. Rien de mieux pour éteindre le feu si doux qui te taraude qu' à moi ,Mignonne, te joindre dans la si belle onde émeraude Au sortir, superbe, de ton bain de mes douces lèvres, je sécherai, de ma belle sirène, sur le sable fin les jolies perles amassées par milliers. De nos corps, entremêlés, saturés du plaisir infini de nos coeurs qu' il est doux, tendrement savourer après la fièvre, la si douce fraicheur.

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    De blanches écumes par vagues magiques De blanches écumes, par vagues magiques. Viens, ô bien aimée, admirer avec moi ce soir sur le sable fin, côte à côte allongés, dessus nos têtes, l' immense tableau noir, de nuées de perles scintillantes, paré.. Nous serons devant cette toile fantastique émerveillés. Elle nous laissera si rêveurs. Amoureux nous serons de ce lieu féerique, frissonner joyeusement nous verrons nos cœurs .. Majestueux, le silence ne sera point troublé.. Seule, nous sentirons une si douce musique, un joli refrain qui nous fera bercer, de blanches écumes par vagues magiques ..

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    De vos souvenirs effacez-moi Ô combien chère et tendre amie Je vous sais d’esprit très belle, Pour l’amour du ciel, Je vous en supplie Ne supportez plus tourment si cruel. . Comme vous, si jolis pourquoi de mes vers Autrefois magiques, pénétrant votre joli cœur, Aujourd’hui douter qu’ils soient prière Lors destinés à la plus charmante des jolies fleurs . . Ainsi vous soufflerez, gagnerez votre paix . Ma parole avez connue, je n’ai jamais changé. Pour toujours, détournez- vous de moi Ne pouvant le faire pour vous princesse adulée. . De vos souvenirs, soyez tendre, effacez-moi, Plus jamais ainsi ne me verrez une seule fois Ni entendrez rose bien-aimée parler de moi. Absent de votre vie, plus jamais cœur en émoi. . Belhamissi sadek le 17.12.2017

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    Elle court, elle court...fuyant l'enfer Elle court, elle court affolée telle une enfant perdue Les gouttelettes de pluie emplissent ses yeux Et se confondent avec ses larmes, qui l’eut cru ! Les passants dans sa course, intrigue, ventre creux. . Le temps à sa guise l’a modelée, prenant le dessus Comme folle elle s’éloigne le plus loin de cette vie Morbide, la souffrance imposée, courant les rues Et seul son regard rappelle qu’elle fût autrefois si jolie . . Fuyant maison , ses menaces, ses colères, a tout laissé Loin d’imaginer que « concubines » il avait en l’épousant : Ses copains, le bistrot, le foot s’accaparant la seule télé, Elle court, seule consolation, par miracle pas eu d’ enfants. . Exténuée elle marche, flot de larmes versant de tristesse. Au mirage du début, souvenir des faux instants magiques, Laps de temps des fleurs pour la rose, viles promesses, Bernée, ignorée, humiliée par une envoûtante musique. . Sans le sou ni bagage, bête traquée, haletante jour et nuit Mais bien loin de cet ogre et sa prison. Enfin hors de danger Quand des âmes charitables au cœur d’ange l’ont accueillie. Avant de rependre sa course vers les siens,elle fût bien traitée . Pour une fois, réconfortée par des humains, habillée par eux. En les quittant, ses larmes de gratitude l’empêchant de parler, Elle dit merci de l’avoir rendue à la vie par le sourire de ses yeux. Légère et si heureuse en chemin,que de joie enfin son cœur battait . Découvrant le prix de la dignité et les sublimes ailes de la liberté. Par miracle, échappé au drame, exploitée, humiliée sans arme, Combien sont-elles vivant l’enfer à qui, leur enfance même, on a volé Combien de femmes martyrisées une vie durant avec des larmes. . . Belhamissi Sadek le 27.10.2017

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    En relisant La Bruyère... J’étais seul à la maison hier je relisais encore La Bruyère, Pour ma vue reposer j’ai le livre un instant délaissé, Ma pensée laissé suivre libre le chemin qui lui plaisait, En un éclair la maison de ma tendre enfance, c’était hier. Elle m’a vu naître, faire mes premiers pas, sans comprendre Dans tous ses recoins mon âme semblait m’attendre. Une maison vide, un voyage fantastique retrouvant mes six ans Il faut croire que l’âme est capable de remonter le temps. La maison d’en face était toujours là, jaune clair son mur. Poussant la porte, j’ai vu avec cette grâce sur son visage La gentille voisine me souvenant de sa benjamine de mon âge, Malika, authentique poupée vivante, innocente et pure. La douce fillette, ses frères et sœur partis, seule s’ennuyait La permission de sa maman chez nous, accordée toujours Nos mères telles deux sœurs, elle un ange regorgeant d’amour, Un rayon de lumière dans ses prunelles bleues, je l’ai vue entrer Chez nous heureuse, n’ayant pas chez elle avec qui jouer. Gracieuse, bouche cousue, cheveux châtains longs soyeux Le teint blanc quant au sourire j’étais un des rares à le deviner, Un bel ange dont la seule présence me rendait si heureux. Dans le grand hall de la maison cette jeune princesse de cœur Je la servais, en offrande tous mes jouets pour son bonheur Même chez maman, tiens elle est là ! le goûter commandé Elle jouait seule, se contentait d’une présence, sans rien demander. Et la sublime poupée repartait avec douceur comme elle était venue. A dix ans, triste de la laisser, nous avions changé de quartier Puis de ville et de pays, le sentiment de l’avoir abandonnée, perdue Sans nous, la porte close de la seule maison qu’elle connaissait. Vers quarante ans pur hasard j’ai croisé sa sœur aînée vite reconnue Par sa beauté,traits fins pleine de cette grâce propre à certains élus Tout comme la maman toujours vivante m’a-telle appris.«Je serai ravi De la revoir»dis-je en poursuivant«Malika que devient-elle aussi ?» *Malika à douze ans hélas nous a quittés*, l'ange a rejoint les cieux! Deux ans après notre départ ! Gorge nouée, j’étais si malheureux. Mariée, heureuse avec des enfants, ce que toujours j'avais imaginé, -Repartie aussi pure qu’elle était venue- dis-je pour me consoler. Ma main droite tenait quelque chose, ah, La Bruyère ses caractères ! Voyage guidé en quinze secondes, par mon âme effectué en un pas. j'ai vu ma première maison, notre voisine souriante, sa fille Malika puis venant pour jouer, ma mère . Pourtant tout était vide, mystère. … Observations/histoire vraie de Malika .B.S Belhamissi Sadek le 03.10.2017

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    Fleurs d'Italie, fraîches roses de Russie Ô Christina, princesse, la plus charmante des jolies fleurs D’entre toutes plus que jamais la plus fraîche, quel bonheur ! votre galant à genoux, sublime, vous offre le bouquet Le plus beau jamais préparé pour le plaisir de sa bien aimée. . « Mon cher poète vous font rêver les jolies roses de tous pays, Décidément les distances ne vous découragent plus, fleurs d’Italie Les plus belles, les plus fraîches roses juste écloses de Russie, Enfin je ne sais plus ce dont est capable mon bel amour Dimitri ». . Christina, vous seule occupez mes pensées de jour comme de nuit. « Vos vers si séduisants, de chaudes larmes, chaque jour inondés, Terriblement seule à les relire, laissant au temps le soin de modeler Votre rose à sa guise, flétrie de jour en jour, un compagnon l’ennui.». . « j’ai bien appris en guise de travail, vos aventures folles en Russie, Les faisant sortir sous la neige, toilettes admirant ces belles dames En traîneau.Y a-t-il ballade plus romantique, sublime désir assouvi?» Christina, mon cœur et ma raison avec vous je vis sous le charme. . Ballades, toilettes, qu’ont-elles encore inventé vos «ambassadrices»? Emmener à l’hôpital Nathalie en urgence ayant glissé sur la neige, Cette malheureuse et pauvre dame est-ce pêché, satisfaire caprice Pendant qu’elle souffrait atrocement, sous l’effet de ses sortilèges ? . Je vous aime. Que désire mon amour je suis tout à vous, dites-moi. « Oui ! A moi seule vous m’avez fait pleurer, car aux histoires, je crois. Comblée, satisfaire tous mes désirs, câlins, caprices, autres envies Et aussi une belle ballade, sous la neige, en traîneau et en Russie.» . Belhamissi Sadek le 29.11.2017

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    Il ne fallait pas me mentir Il ne fallait pas me rencontrer Il ne fallait pas me mentir, Il ne fallait pas m’ensorceler Avec des mots qui font rougir. . Je t’ai aimé, aimé à la folie J’étais sincère avec toi, Je ne jouais pas avec ma vie, Je t’ai prié, supplié tant de fois. . Il ne fallait pas me sourire Il ne fallait pas m’endormir, Il ne fallait pas m’enchanter Il ne fallait pas me faire danser. . Je t’ai aimé quand tu parlais Faisant mon faible cœur vibrer, Tes yeux, leur feu ont emporté Toute résistance à ta volonté. . Mais ne faisant toujours que mentir Tel un bambin tu ignorais l’amour, Ton besoin ne faisant qu’assouvir Ma vie amère devenue chaque jour. . Tu ne m’as jamais vu qu’en objet Je ne veux plus te voir menteur, J’en avais assez d’être humiliée Ne serviront plus à rien tes pleurs. . Va-t’en ! . Belhamissi Sadek le 01.12.17

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    Innocentes illusions Enfant, jamais n’ai confié ni joie, ni douleur, lui parler non jamais osé, ni l’ ai approchée, toujours taire les peines, le bonheur d’un cœur amoureux dans cette vie d’ interdit de rêver. . Dire la vérité n’est pas bon, même après des années ni même livrer, après cinquante années, d’un enfant le beau souvenir de son cœur pur à sa bien-aimée de toujours, à qui il n’avait jamais rien revélé pourtant. . Quelques jours seuls ont suffi, tellement anéanti un si beau rêve, sans raison, doux et magique entretenu, plus que la moitié d’une longue vie par un cœur innocent pour sa seule Véronique. . En mon cœur trônait ma Reine, cette jolie flamme à l’image d’une bougie qu’on vient juste d’ allumer. A son terme parvenu, sombre , sans plus de charme avec elle la magie, le rêve, ses illusions emportés.. . commentaires. il s'agit de deux voisins de palier une fille et un garçon même pas entrés dans l'adolescence qui s'aimaient avec les yeux .Le garçon respectueux de la fille pour sa sagesse et l'amour qu'il lui porte n'a jamais laissé parler ses sentiments .les enfants se séparent les parents changent de pays plus de traces durant près d'un demi-siècle .Le Net réalise parfois des miracles les met enfin en contact ,l'inattendu , le rêve de se retrouver se réalise . Chacun de son côté bien sûr a construit sa vie mais ils vivent en plein troisième âge malgré tout une euphorie indescriptible toujours par le biais du Net, Ils se font dans la foulée même des confidences sur ces sentiments de jeunesse secrètement gardés jusqu'alors chez l'un comme l'autre .Mais surprise voilà que le faste de cette rencontre sur le virtuel en moins d' une semaine s'estompe .Quelle fût la déception de l'homme qui n'avait qu'évoqué ce souvenir d'enfant sans la moindre intention sans n'avoir jamais osé ouvrir la bouche étant enfant ! Le changement est brutal et lui fait découvrir la nouvelle nature de sa petite voisine d'antan Veronique qu'il adulait sans jamais une seule fois avoir osé lui faire part d'un quelconque sentiment..(histoire imaginée et Veronique un nom fictif)

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    J’ai grandi avec les larmes Ma vie durant passée à pleurer, seule, j’ai grandi avec les larmes. Même mon enfance, on m’a volée tout mon bonheur, sans aucune arme. . Par miracle pourtant, j’ai survécu A tant d’épreuves atroces, si dures Il n’ y avait que les pleurs, c’était mon dû, On m’a trompé, je n’étais pas mûre . . A mon horizon toujours noir, destinée sans un bout de tunnel , sa douce lumière ni d’ espoir une moindre lueur, rêvée. Sans même une force, pour une divine prière . . Ami poète ,par bonheur je t’ai croisé don tu m’as fait d’un joli cœur, providentiels tes jolis vers pour apaiser avec de tendres mots, tant de douleur. . Âme charitable, prince charmant, ô mon ami, de ma mémoire, jamais tu ne seras effacé. Aujourd’hui c’est grâce à toi que je revis chaque jour, te savourant dans mes pensées. .

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    L'enfant innocent Il venait d’avoir ses huit ans On fêtait son anniversaire. Le matin, il était vivant Et il souriait à sa mère . Le soir règnait une lumière, Un ange tenait une croix. L’enfant n’était plus sur terre, Dormant pour la dernière fois. Il était l’espoir de son père, Qui comptait chacun de ses pas. Cette nuit était la dernière, L’enfant prit son dernier repas. On n’osait regarder le cierge, La vie semblait brûler aussi. On pense à son propre cortège, L’on se voit consumer ainsi. On ne chercha pas à comprendre La vraie raison de cette mort. On ne pouvait se défendre Dit-on contre ce ”coup du sort”. Cependant ce fut là un crime, L’arme encore là comme témoin. Sur son lit gisait la victime, Et le coupable n’était pas loin. Pourtant nul ne put être juge, Le père ne fut pas accusé. La prison n’est pas son refuge, Tous ses proches l’ont excusé. L’enfant dans son lit est un ange, Il continue au ciel ses jeux. La guerre, ô combien étrange L’a atteint de ses cruels feux . Soldat defendant la frontière, Le père se croyait armé. Et pourtant la vie entière, Le destin l’aura désarmé. Par Sadek Belhamissi 25.11.2016 . Comment/ Ce poème est tiré d’une histoire réelle survenue durant la guerre. Une histoire d’un accident terrible survenu lorsque le père inconscient (la fatalité ?) en présence de son enfant qui jouait non loin de lui , s’est mis à nettoyer son arme et le coup est parti comme cela arrive très souvent ! Quelqu’un qui met fin à la vie de son enfant, même accidentellement,sa vie entière est foutue en l’air, peut-être « l’œil de Caïn « du poème de Victor Hugo en pire car là, il s’agit de son propre enfant.

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    L'infortune et la fée Hier encore, j’ai longtemps erré, Elle s’est ancrée depuis cette habitude d’être seul et de tous, se sentir oublié. Que c’est triste, dure la soltitude! . Hier encore ma seule fortune était l’ennui cependant qu’autour de moi, à pleines dents croquaient bien les jolies filles, la vie par tous les temps, accompagnées de leurs amants. . Que puis-je seul faire contre ce sort sous la pluie, le froid, le ciel gris quand tout est noir. La vie m’a tourné le dos, il n’y a plus que la mort, pour terrasser mon calvaire, mon seul espoir. . Pourtant à deux doigts de la triste fin lors je me sentis à jamais perdu victime de mon terrible chagrin, miracle, une jolie fée m’est apparue. . Don elle me fit de son sourire si grâcieux lors elle ne semblait encore qu’une enfant, de son corps de rêve, juvénile, voluptueux, mon coeur étant aux anges et moi au firmament.. . .

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    La raison du détenu Entre ces quatre murs je me sens minuscule, Ils semblent aussi durs que je suis ridicule. L’éblouissante muse aurait-elle aussi peur, Il semble qu’elle s’amuse à compter les heures. . Beaucoup l’ont en horreur, ce que je sais de la vie Et qu’est-ce le bonheur, chacun en a envie. Vertueuse ironie le silence l’est parfois, Je crains la calomnie et partout je la côtoie. . Dans la lugubre prison, on ne verse plus de larmes, Elle a fui notre raison on admire plutôt les armes. La vie est un mets sans sel où seul le cœur est libre, Mais nul n’entend son appel même si le seul à vivre. . Ne pouvant plus me lever, j’ai perdu le sourire Je voudrais tant pouvoir rêver je me sens en délire. Se croire seul sur cette terre chacun aime à le penser, La vie reste un mystère que nul ne pourra percer. . Belhamissi Sadek le 17.09.2017 . Tout détenu est amené à écrire sinon faire des graffitis, une volonté de communiquer, de sortir de l'anonymat, briser !e silence qui est imposé. Ces vestiges, écrits, dessins, graffitis témoignent de blessures psychologiques et sociales dans un monde carcéral privé de liberté pour un temps plus ou moins long. La seule forme qui reste à l'incarcéré pour exprimer les signes de sa raison. D'où le titre donné au texte « la raison du détenu » B.S

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    Le chant de la faim A chaque instant, un frère se couche A même le sol sale, froid et son haillon. Un autre, muette est devenue sa bouche, Scellée solidement par un bâillon. Les armes des soldats toutes meurtrières Ont, tous les marchés populaires, vidé Et près d’énormes poudrières De gros chiens sont lâchés. Les bêtes que nous sommes En vrac, sont enfermées Et ce sont d’autres hommes Qui leurs frères, ont affamés . Par une nuit sans une lumière, Des bottes, en claquant Sortir on fait, le pauvre père Qui trépassera dans un camp. L’enfant près de sa mère, Ainsi privé de son pain, Voit dans sa bouche amère Naître le chant de la faim. Et notre esprit se révolte De voir une seule main De fer, tenir comme pelote Tout un peuple qui a faim. La colère, sa bise vengeresse Se dressa armée tout à coup, Partout devenue maîtresse, Crachant la mort sur tout. Cette chanson est bien triste Sans sa tragique réalité . Tous les peuples optimistes Veulent défendre leur liberté. Par Belhamissi Sadek © 0006111620-6

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    Le droit n'existe que sur le papier On enseigne toujours à l' école "Phare de l'éducation", le droit du véto. Chacun vit prisonnier dans sa geôle La terre chaque jour semble ghetto. Le libre droit sur chaque page, Dixit son libre droit de penser A la manière d’un grand sage, Son libre droit aussi de s'exprimer, Le libre droit de chacun de travailler Le libre droit de tous au sommeil, Le libre droit de chacun à voyager Le libre droit de tous au soleil. Celui d’aimer la rose de toute couleur De toute croyance, son subtil parfum humer Goûter pleinement à cet immense bonheur, La chérir tendrement autant que liberté . On peut bien sûr toujours s’évader, Suffit de rêver ! Avec tes messages. Le droit n’existe que sur le papier Poète assez ! Tu vis dans les nuages. . Belhamissi Sadek le 08.07.2017

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    Lors un jour pénible je te quitterai Lors, pénible un jour, je te quitterai t’embrassant pour la dernière fois, mes larmes, je les retiendrai mais mon cœur lui te pleurera. . Pour toujours, je me souviendrai de ma belle et de la fabuleuse nuit, de celle qui m’avait tout confié, son âme et son cœur pour la vie. . Toute ma vie, à toi pensant, me dirai était-ce bien toi, avais-je plutôt rêvé ? Quel bel ange, quitté avec regrets, ensorcelé par sa sublime beauté. . Lors d’autres jolies fleurs, je croiserai sur mon chemin, seule toi je reverrai tel un splendide mirage de toute beauté, car certaine nuit, d’un fol amour on s’est aimé .

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    Ma plus grande richesse Mignonne, ne me quitte pas reste avec moi, je t’en supplie. Je ne peux vivre sans toi, ne t’en vas pas ô tendre amie. Lors, un jour tu me reviendras, des plus belles fleurs, te couvrir ô si bel Amour, crois moi sera mon plus cher désir. Te serrer tendrement dans mes bras Jolie Rose, mon bonheur le plus grand, prendre tes douces lèvres mille fois mon rêve le plus fou, comme avant. Je ne peux vivre sans horizon, ni ta présence, ni ta tendresse.. Tu es mignonne, toute ma raison ma seule et vraie richesse .

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    Ne pleure pas fillette Non ne pleure pas Sage, douce et belle fillette Maman sûr viendra Se souvenant de ta jolie fête. Et tu verras ta maman est si jolie Elle restera cette fois plus longtemps Rien que pour toi, tu es toute sa vie Tes cheveux bouclés de belle enfant. Elle t’adore elle t’ouvrira ses bras Et son cœur tellement généreux aussi Lors elle te verra elle se retiendra Pour ne pas te voir triste fillette si jolie. Des prunelles de ses beaux yeux, De petites larmes elle versera De son cœur blessé, mais c’est heureux Aussi que tu ne les vois pas. Enfin cette fois, elle est bien là Son petit sac bourré de friandises Toutes aussi douces que toi enlacée par maman ô quelle surprise. Par Belhamissi Sadek le 17.02.2017

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    Tous nés pleurant Ils sont tous nés en pleurant Rouge, jaune, noir ou blanc Tous fragiles et innocents, Faisant la joie de leurs parents. Quand le soleil était absent Rouge, jaune, noir ou blanc Leur sourire d’ange le remplaçant Les rendait tous très charmants. Rouge, jaune, noir ou blanc Ils n’étaient pas différents. A la récré, au jardin jouant Plus tard ensemble plaisantant. Ils étaient encore amis adolescents Rouge, jaune, noir ou blanc, Les jolies filles ensemble courant, Les jeux, autres farces c’était marrant. Hélas ! Devenus majeurs et grands Politique et société s'en mêlant. Rouge, jaune, noir et blanc, Une bêtise de plus en vous séparant. Un jour s’achèvera la vie pourtant fini les supérieurs ! Tous impuissants, Rouge, jaune, noir ou blanc Sans distinction balayés par le temps. Belhamissi Sadek le 27.07.2017 .

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    Vis et sois heureuse Ô chère Mary, Ta douce maman Veille sur toi et te sourit Depuis le firmament. . Avec amour elle t’a portée Toi Mary, sa jolie poupée, Son ange venu égayer Son charmant et doux foyer. . De là-haut elle te dit : « Ma grande, fais-moi plaisir, Ne sois pas triste Mary chérie.» . « Je ne suis pas malheureuse, je veux te voir sourire, Alors vis et sois heureuse.» . Poème dédié à toute femme qui a perdu sa mère. Fille, jeune fille ou mère, elle est plus affectée par cette perte que l' homme. En effet n'était-elle pas à la fois la fille, la sœur et la confidente de sa chère maman disparue? Mais cette maman avait aussi perdu la sienne..... Alors, reprends doucement goût à la vie et sois courageuse, reviendra alors le sourire et tu seras comme avant heureuse. . Belhamissi sadek le 11.10.2017

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