Superbly written, each sentence punctuated by a drumbeat of menace... A thrillingly good read' Elizabeth Day Bea and Dan, recently married, rent out their tiny flat to escape London for a few precious months. Driving through France they visit Bea's dropout brother Alex at the hotel he runs in Burgundy. Disturbingly, they find him all alone and the ramshackle hotel deserted, apart from the nest of snakes in the attic.

When Alex and Bea's parents make a surprise visit, Dan can't understand why Bea is so appalled, or why she's never wanted him to know them; Liv and Griff Adamson are charming, and rich. They are the richest people he has ever met. Maybe Bea's ashamed of him, or maybe she regrets the secrets she's been keeping. 

Tragedy strikes suddenly, brutally, and in its aftermath the family is stripped back to its rotten core, and now neither Bea nor Alex can escape...

'A suspenseful, beautifully written thriller' Guardian

THE SNAKES

A deeply affecting love story set in the gritty yet magnificent theater world of 1970's London by the award-winning, bestselling Sadie Jones, author of The Uninvited Guests and The OutcastLeaving behind an emotionally disastrous childhood in a provincial northern town, budding playwright Luke Kanowski begins a new life in London that includes Paul Driscoll, an aspiring producer who will become his best friend, and Leigh Radley, Paul's girlfriend. Talented and ambitious, the trio found a small theater company that enjoys unexpected early success. Then, one fateful evening, Luke meets Nina Jacobs, a dynamic and emotionally damaged actress he cannot forget, even after she drifts into a marriage with a manipulative theater producer. As Luke becomes a highly sought after playwright, he stumbles in love, caught in two triangles where love requited and unrequited, friendship, and art will clash with terrible consequences for all involved. Fallout is an elegantly crafted novel whose characters struggle to escape the various cataclysms of their respective pasts. Falling in love convinces us we are the pawns of the gods; Fallout brings us firmly into the psyche of romantic love-its sickness and its ecstasy.

Fallout - A Novel

1956, Hal Trahene, jeune major fier et ambitieux de l?armée britannique, est appelé à Chypre, colonie anglaise où le gouverneur vient de proclamer l?état d?urgence. Depuis plusieurs mois, l?île est à feu et à sang et la tension à son comble entre rebelles et forces coloniales : attentat, répression, torture, internement. Plongé dans les méandres du conflit, Hal s?enferme dans le silence face à l?indicible violence de cette guerre sans honneur, tandis que son épouse, Clara, fragilisée par cette difficile vie de garnison, se sent de plus en plus démunie. En guerre contre lui-même, en guerre contre les autres, Hal devra faire le deuil de ses illusions et de ce que le conflit a altéré en lui, pour tenter de réapprendre à vivre.

les petites guerres

1956, Hal Trahene, jeune major fier et ambitieux de l'armée britannique, est appeléà Chypre, colonie anglaise où le gouverneur vient de proclamer l'état d'urgence. Depuis plusieurs mois, l'île est à feu et à sang et la tension à son comble entre rebelles et forces coloniales : attentat, répression, torture, internement. Plongé dans les méandres du conflit, Hal s'enferme dans le silence face à l'indicible violence de cette guerre sans honneur, tandis que son épouse, Clara, fragilisée par cette difficile vie de garnison, se sent de plus en plus démunie. En guerre contre lui-même, en guerre contre les autres, Hal devra faire le deuil de ses illusions et de ce que le conflit a altéré en lui, pour tenter de réapprendre à vivre.

Les petites guerres

A Waterford, dans la banlieue de Londres, tout le monde va à l'église et fête Noël dans l'insouciance. Une façade d'hypocrisie qui se fissure le jour où Lewis, dix ans, assiste impuissant, à la noyade de sa mère. Privé du réconfort d'un père à peine revenu de la guerre, homme froid, autoritaire et accablé par le veuvage, Lewis se rétracte dans la douleur et sombre peu à peu dans le doute, la solitude, l'automutilation, puis la délinquance... En 1957, quand il sort de prison où il vient de passer deux ans, il n'a que dix-neuf ans... Alors qu'au village personne n'attend son retour, le proscrit, l'exilé tourmenté, pourrait bien tout faire exploser...

Le Proscrit

"Sadie Jones has a long literary future ahead of her." -Tracy Chevalier, author of Girl with the Pearl Earring Fresh off her triumphantly assured debut novel The Outcast, award-winning author Sadie Jones has again delivered a quiet masterpiece in Small Wars. Set on the colonial, war-torn island of Cyprus in 1956, Jones tells the story of a young solider, Hal Treherne, and the effects of this "small war" on him, his wife Clara, and their family. Reminiscent of classic tales of love and war such as The English Patient and Atonement, Jones's gripping novel also calls to mind the master works of Virginia Woolf and their portrayal of the quiet desperation of a marriage in crisis. Small Wars is at once a deeply emotional, meticulously researched work of historical fiction and a profound meditation on war-time atrocities committed both on and off the battlefield.

Small Wars - A Novel

A mesmerizing portrait of 1950s hypocrisy and unexpected love, from a powerful new voice It is 1957, and Lewis Aldridge, straight out of prison, is journeying back to his home in Waterford, a suburban town outside London. He is nineteen years old, and his return will have dramatic consequences not just for his family, but for the whole community. A decade earlier, his father's homecoming has a very different effect. The war is over and Gilbert has been demobilized. He reverts easily to suburban life-cocktails at six-thirty, church on Sundays-but his wife and young son resist the stuffy routine. Lewis and his mother escape to the woods for picnics, just as they did in wartime days. Nobody is surprised that Gilbert's wife counters convention, but they are all shocked when, after one of their jaunts, Lewis comes back without her. Not far away, Kit Carmichael keeps watch. She has always understood more than most, not least from what she is dealt by her own father's hand. Lewis's grief and burgeoning rage are all too plain, and Kit makes a private vow to help. But in her attempts to set them both free, she fails to foresee the painful and horrifying secrets that must first be forced into the open. In this brilliant debut, Sadie Jones tells the story of a boy who refuses to accept the polite lies of a tightly knit community that rejects love in favor of appearances. Written with nail-biting suspense and cinematic pacing, The Outcast is an emotionally powerful evocation of postwar provincial English society and a remarkably uplifting testament to the redemptive powers of love and understanding.

The Outcast - A Novel

Dans cette petite ville du Surrey, au sud de Londres, pendant les années cinquante, tout le monde va à l'église, joue au tennis et fête Noël dans l'insouciance et l'alcool ; les jobs s'obtiennent au cours de conversations de quelques minutes au coin du feu et les jardiniers sont aux petits soins pour les massifs de fleurs des riches demeures victoriennes. Mais cette façade hypocrite et fragile se fissure à partir du jour où le petit Lewis Aldridge, âgé d'une dizaine d'années, assiste, impuissant et terrifié, à la noyade de sa maman adorée, libre d'esprit et anticonformiste. Privé du réconfort d'un père à peine revenu de la guerre, homme froid, autoritaire et accablé par le veuvage, Lewis se rétracte dans la douleur et sombre peu à peu dans le doute, la solitude, l'automutilation, puis la délinquance... En 1957, quand il sort de prison où il vient de passer deux ans pour avoir incendié l'église de Waterford, il n'a que dix-neuf ans... Son retour chez son père, remarié et peu pressé de revoir son fils, fera non seulement exploser sa famille, mais une communauté tout entière...

Le proscrit

Si je pense aux écrivains que j'aime ou pourraient être influencés, je ne peux pas écrire du tout, donc je prétends qu'il n'y en a pas.

Quand j'écris, je passe tout mon temps dans l'épicerie pour acheter des repas prêts à l'emploi; Je pense que c'est la seule raison pour laquelle mon mari et mes enfants ne m'ont pas quitté.

Vous ne le sauriez pas, mais je ne suis pas doué pour reconnaître les gens; J'ai la cécité du visage.

Je pense que nous sommes tous beaucoup plus proches de notre moi d'enfance que nous ne le pensons souvent, donc lorsque nous lisons sur l'enfance, cela peut nous surprendre à quel point il est immédiat ou émouvant, quand peut-être que ces sentiments sont là, attendant d'être accessible tout le temps .

Nous ressentons l'attraction de la nature très fortement, relative - même sans le savoir - en nous-mêmes en nous-mêmes des ampoules agitées dans un sol gelé, ou aux branches des arbres morts. Peut-être que cette indivisibilité de la nature est une chose importante à reconnaître au fur et à mesure de nos activités dans le monde.

Je ne suis pas distrait jusqu'à ce que le poids des autres choses laissées dénudés fait enfin penche à l'équilibre; Mon esprit est inondé d'appels, de factures, de supermarchés, de lettres et je dois m'arrêter et trier les choses.

Quand j'étais enfant, je voulais élever des chevaux dans le Wyoming ou être un garçon de cabine sur un navire pirate.

Il y avait un silence soudain comme l'écart entre les tiques sur une horloge, mais la prochaine tique ne venait jamais.

En Angleterre, la pluie était mince et froide, et vous a fait pencher dans votre manteau, rentrant à la maison de l'arrêt de bus. En Jamaïque, il était large et épais et vous a invité à y entrer et à voir à quel point vous pouviez être mouillé, et être ravi qu'il soit plus chaud que la mer et plus chaud que votre peau; c'était abandonné.

J'ai toujours pensé qu'il était important de ne pas attacher trop de superstition à l'espace où vous écrivez, car une fois que vous êtes entré dans l'état d'esprit que vous ne pouvez le faire qu'une certaine manière dans un certain endroit, votre créativité peut être bloquée.

J'essaie de ne pas imaginer un lecteur lorsque j'écris. C'est comme essayer de faire une grande table mais n'imaginer personne assis dessus.

Nos esprits et nos souvenirs sont bondés de l'expérience commune de la nature.

Je ne suis jamais satisfait de ce que j'ai écrit. Vous imaginez, avant de commencer, il y a une cathédrale, et au moment où il commence sur la page, c'est un hangar de jardin. Et puis vous essayez juste d'en faire le meilleur hangar possible.

Je me souviens que des gens ont dit: «Tu as l'air drôle, tes cheveux sont si noirs, tu as un nez plat», mais je ne pensais pas que c'était le racisme, et je ne le fais toujours pas. Mais il y avait un sentiment de différence, d'être un étranger.

Les chevaux savent être fidèles mais gardent toujours leurs distances.

Retirez tous les feux de circulation, les lignes jaunes, les systèmes unidirectionnels et les marques routières et laissez l'anarchie heureuse prévaloir. J'imagine que cela produirait une sorte d'harmonie.

J'ai une étude maintenant - je ne le faisais pas. J'aime aussi travailler dans les cafés; Ignorer le bruit est bon pour la concentration.

Mon père était scénariste, mais il était également romancier.

Je pense que si vous écrivez sur les relations humaines, vous explorez toujours la psyché et l'âme. Je ne sépare pas certains - peut-être plus extrêmes - des choses que les gens font des autres.

J'adore écrire dans les trains. La joie d'être écrivain est que tout est dans votre tête; Vous n'avez pas besoin de matériaux en dehors de l'ordinateur portable. C'est comme ramener votre travail à la maison avec vous, vous pouvez donc vous sentir ancré dans vos propres réalités d'écrivain folles où que vous soyez.

Mon auteur préféré en tant qu'enfant et adolescent, et que je relu encore maintenant, c'est K. M. Peyton. Elle écrit très honnêtement; Parfois, je ne sais pas si j'ai fait des choses ou si je les ai simplement vécues dans ses livres.

Mon père est originaire de la Jamaïque, et enfant, j'ai passé de nombreuses vacances là-bas. Je me souviens du poids et de l'humidité trempée de cette pluie chaude, comme je l'ai vécu dans mon enfance, non seulement pour elle-même, mais pour ce qu'elle représentait pour moi.

L'art est inspirant. Entrer dans une galerie ou lorsque les lumières montent sur une scène; Ce frisson d'obtenir quelque chose qui n'a rien à voir avec l'acquisition.

Oh, je pense toujours que tout le monde se sent exclu.

J'aime entrer dans mon espace de travail et sentir que c'est un environnement de vie et non gelé, c'est pourquoi je change ou ajoute souvent aux images sur le mur.

Je ne suis pas distrait avant que le poids des autres choses laissées défait finalement penchez l'équilibre; Mon esprit est inondé d'appels, de factures, de supermarchés, de lettres et je dois m'arrêter et trier les choses.

Ses oeuvres

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