In un'America sconvolta da rivolte politiche, scontri tra culture e degrado ambientale, non c'è quasi essere vivente che non cerchi pace, salvezza, o forse semplicemente qualcosa su cui poter fare affidamento. Ed è qui che entra in scena Hark Morner, la cui tecnica di « tiro con l'arco mentale » - una combinazione di meditazione, mitologia, invenzione storica, yoga e, appunto, tiro con l'arco - attrae masse di cultori trasformandolo in una sorta di messia. È un ruolo che Hark non ha mai cercato, e che è totalmente impreparato a coprire. Ma la sua cerchia di seguaci ha altri programmi sul suo conto, e ben presto attorno al nuovo guru entrano in azione personaggi di dubbia provenienza: veterani e sequestratori, miliardari e pesci gatto. Tutti vogliono qualcosa da Hark, e nessuno è disposto a lasciarselo scappare. Muovendosi tra una satira scatenata, il grottesco, la poesia della lingua quotidiana, Sam Lipsyte offre un ritratto collettivo buffo e partecipe di una società alla deriva, nella quale uomini, donne e bambini si dibattono in cerca di un senso e di una dignità all'interno di un mondo caotico, ridicolo e spesso pericoloso.

Hark

Il nuovo libro di Sam Lipsyte è una« sublime baraonda » (così l'entusiastica recensione di Ben Fountain sul New York Times) « che si muove abilmente sul confine fra ilarità e pathos ». In questi racconti caustici, irriverenti, esilaranti, l'autore descrive il lato più grottesco di una middle class piena di velleità intellettuali e di ambizioni di successo ma che inciampa costantemente nella propria mediocrità. Un buono a nulla con molta inventiva cerca di sbarcare il lunario spacciandosi per balia alle neomamme chic di Brooklyn; un ragazzino scatena il proprio sadismo nelle partite di Dungeons & Dragons; la figlia di un sopravvissuto all'Olocausto si innamora di un giovane coperto di tatuaggi neonazisti; un ex tossico che ha scalato le classifiche dei bestseller grazie al suo memoir a tinte forti scopre di avere perso il favore dei lettori. L'umorismo implacabile e sovversivo di Lipsyte, unito al suo stile pirotecnico, ne fanno a detta unanime dei critici una delle migliori voci della narrativa americana contemporanea.

La parte divertente

Milo Burke lavora come fundraiser per un'università mediocre popolata di figli di papà con velleità intellettuali: dovrebbe strappare donazioni alle ricche famiglie degli studenti o a generosi filantropi, ma le public relations non sono il suo forte. Milo - aspirante artista mai uscito dall'anonimato - è un intemperante, un contestatore, un frustrato, forse un genio incompreso, di certo un casinista: all'ennesimo passo falso viene licenziato in tronco. Il suo ménage familiare - ha una moglie comprensibilmente insoddisfatta e un figlio in età da asilo, se solo gli asili fossero alla portata delle loro tasche - ma di colpo l'università gli offre una seconda chance: si è fatto avanti un potenziale donatore che vuole sia proprio lui a seguire la sua pratica. Il misterioso benefattore, però, ha dei secondi fini, e l'occasione di riscatto si trasforma per Milo in una tragicomica sequenza di guai. Assalto feroce ed esilarante al mito del denaro e del successo, satira irresistibile sul mercato dei cervelli e della cultura, Chiedi e ti sarà tolto è stato osannato dai critici americani ed è pronto a diventare un libro di culto anche per i lettori italiani affamati di comicità brillante e corrosiva.

Chiedi e ti sarà tolto

Dai pornoshop di Times Square agli uffici delle mega-aziende, fra drogati che aiutano le vecchiette, ragazzine che pattinano di notte fin dentro l'obitorio cittadino ed ex icone punk finite a lavorare dietro una scrivania, questi tredici racconti di Sam Lipsyte raccontano gli angoli più disperati e surreali dell'America di oggi con un originalissimo black humour e uno stile serrato e incisivo che ricorda il "realismo sporco" di Denis Johnson e Raymond Carver.

Venus Drive

L'endroit ressemblait à une nouvelle prison modèle, ou à avoir réalisé une utopie provisoire après une révolte de principe, ou peut-être un refuge pour sans-abri pour les personnes titulaires d'un diplôme d'arts libéraux. Les cages ont fait l'objet de ces laboratoires avec leurs évents de la mort près de mon studio universitaire. Ces enfants faisaient partie d'une grande expérience. C'était peut-être le même dans lequel j'avais déjà été un sujet. Contrairement à moi, cependant, ou les cobayes et les lièvres, ils étaient heureux, ou semblaient heureux, ou bloguaient sur la façon dont ils semblaient heureux.

Je savais que j'étais à proximité d'une leçon sérieuse, sinon comment vivre la vie, puis au moins comment mettre de la poésie dans votre retraite de Craven.

Wesley Stace a toujours été le seul écrivain de fiction véritablement doué qui se trouve également être une rock star, mais Wonderkid est le livre qu'il est né pour écrire. Et si vous préférez vos romans effrontés, poignants et hilarants, comme moi, vous êtes né pour le lire. Comme un grand spectacle, cela restera avec vous longtemps après le dernier accident de cymbale et la gratte à puissance.

J'avais l'impression de renifler de la cocaïne, ou de rappeler une falaise, ou de falsifier une falaise de cocaïne pure.

J'ai acheté une barre d'énergie, et comme je le mangeais, une grande lassitude est venue sur moi.

J'ai eu un enseignant une fois qui a dit: "Si vous voulez écrire de la fiction, vous ne devriez lire que la poésie." J'ai toujours été intéressé par les écrivains qui se soucient de leurs phrases et qui travaillent vraiment à ce niveau. J'ai toujours dit que je déteste écrire, j'aime la révision. Donc, la langue est vraiment importante pour moi. Et la comédie et l'horreur qui sortent de la langue.

Aucune émotion ou perspicacité n'est trop petite pour infliger au monde. Laissez tout voler. Ne le laissez pas vous manger de l'intérieur.

Vous pourriez toucher quelques dollars. La fenêtre du stand est montée et vous avez retiré les factures. Ils pourraient vous dire de ne pas pincer, mais j'étais de toute façon un type de course. Certains gars, je suppose qu'ils veulent laisser une marque. Moi, j'aime juste la sensation.

Le traducteur doit être un bon écrivain. Le traducteur doit aussi entendre de la musique. Et ce n'est peut-être pas exactement votre musique car le traducteur doit traduire la musique. Et donc, c'est ce que vous espérez: un traducteur qui obtient ce que vous faites, mais qui obtient également toutes les façons dont il ne fonctionnera pas dans la nouvelle langue.

Le frisson, en fait, n'est pas tout à fait le mot pour le sentiment. Le sentiment n'est pas tout à fait le mot pour le sentiment. Comment se baigner à la poignée dans le flegme des morts? Est-ce un sentiment?

De toutes les articulations du gin est une partie de l'histoire cinématographique, une partie de bizarrerie hollywoodienne et une partie de Guide de base de base pratique, avec un soupçon de romance et plus de quelques rebondissements ironiques. Bailey et Hemingway font leurs preuves de mixologues culturels très divertissants.

Atticus Lish est un véritable original et c'est un livre formidable, implacable, émouvant, écrit en prose d'une merveilleuse intégrité. Maintenant que l'Amérique et le roman sont morts, j'espère que nous pourrons avoir plus de grands romans américains aussi vivants que celui-ci.

Je suis un écrivain qui travaille définitivement avec une langue spécifique et plus que l'anglais, cette langue est américaine. Et je travaille beaucoup dans l'idiome et je suis très intéressé par le jeu de différents types de rhétorique, que ce soit les choses les plus à voler qui se comportent. J'adore juxtaposer quelque chose comme ça avec quelque chose de plus courant ou urgent. Je ne suis toujours pas intéressé par l'Amérique en soi, mais l'Amérique comme une idée et comment cette idée a changé au fil du temps, aux yeux du reste du monde et aux yeux des Américains.

Ce pays a été construit sur le dos des mecs qui ont bu dans les bus. Ce que nous faisons leur honore.

L'une de mes grandes révélations était que personne ne se soucie de savoir si vous écrivez votre roman ou non. Ils veulent que vous soyez heureux. Vos parents veulent que vous ayez une assurance maladie. Vos amis veulent que vous soyez un bon ami. Mais tout le monde pense à ses propres problèmes et personne ne se réveille le matin en pensant: «Mon garçon, j'espère vraiment que Sam terminera ce chapitre et se rapproche de son rêve d'être un écrivain ouvrant.» Personne ne fait ça. Si vous voulez écrire, cela doit venir de vous. Si vous ne voulez pas écrire, c'est super. Allez faire autre chose. Ce fut un moment très libérateur pour moi.

Les conneries ne se terminent jamais. C’est la principale chose à retenir. Ça ne finit jamais.

Vous pensez que vous vous connaissez, le monde. Vous croyez que vous avez une perle sur les conneries de tout le monde, mais qu'en est-il du vôtre?

Je suis citoyen de la République de l'empathie.

Oui, nous pourrions résoudre pourquoi, mais nous pourrions également manger une autre tranche de gâteau à la noix de coco.

Les gens ont donné des noms aux choses afin qu'ils puissent raconter des histoires à leur sujet, putain de contes de fées sur des enfants qui sont sortis vivants.

Je deviendrais l'une de ces erreurs que vous trouverez parfois dans un bureau, une présence non désagréable mais surtout improductive qui se déroule sur les marées énergétiques des autres, un rappel de marche de l'erreur de quelqu'un dans le jugement.

Le département de la spéculation est magnifique, drôle, une œuvre d'art profonde et profondément émouvante. Jenny Offill est un maître de la forme et du sentiment, et elle a la vie sur la page de manière nouvelle et surprenante.

Ses oeuvres

Ses derniers livres