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Sam Pressman

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    Sam Pressman

    @samPressman

    J'ai travaillé sur "Tree of Life". C'était juste magique. C'était comme une petite famille. Une belle alliance éphémère pour forger quelque chose de significatif. C'était incroyable, comme une expérience transcendantale d'être sur le plateau.

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    Tout d'abord, nous nous sommes réfugiés tous les trois dans une cabane en hiver et avons ramené les 500 heures de travail à douze heures. Puis nous avons trouvé un éditeur, Lambis Haralambidis. Il a pris ces douze heures et les a ramenées à cinq. Ensuite, nous nous sommes réunis et avons commencé à prendre la hache et à découper différentes parties de notre film.

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    À cause de Walter, nous l'avons fait l'inverse. Nous avons également travaillé avec un designer de son génial nommé Will Patterson qui vient de travailler pendant quatre ans sur les films de Terrence Malick. Il a fait beaucoup de travail conceptuel pour que les paysages sonores dans la jungle aient cette qualité surréaliste, pour mélanger ces deux films parce que beaucoup d'images portent sur ce parallélisme entre les films. Le son faisait partie intégrante de tout fusion.

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    @samPressman

    Fitzcarraldo est un rêveur fou. Il est prêt à tout sacrifier afin de faire sa vision d'un opéra. Cette métaphore de tirer le bateau sur la montagne fait si partie intégrante de quiconque fait des efforts créatifs. C'est cette lutte sisyphée universelle.

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    C'était Herzog, l'homme lui-même. Il était tellement accueillant et gentil et pas du tout le personnage que vous aviez vu dans un magazine, ou dans "Burden of Dreams" d'ailleurs. J'avais tiré dans les coulisses du "Bad Lieutenant". C'était une production très normale. Rien de tel que le «fardeau des rêves».

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    Il y a eu les défis classiques des visages touristiques, comme se perdre, tomber malade, perdre des choses, se battre ... toutes ces choses se sont produites plusieurs fois. Le seul point du voyage qui était avec défi est un point qui n'est pas réellement dans notre film.

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    @samPressman

    Ce que nous sommes définitivement d'accord avec Walter, c'est que le cinéma est un travail d'équipe. C'est l'un des seuls arts qui est vraiment basé dans le travail d'une équipe. Quoi qu'il en soit, il nous a dit beaucoup de choses pratiques. Comment accrocher un hamac. Il encerclait une carte et nous donnait un cahier avec des instructions pour se rendre dans certains endroits qui étaient à l'écart. Il nous a dit de boire l'eau de la rivière et de ne pas utiliser de tactiques de purifications que seuls les «connards du Nouvel Âge» utilisés. Il a dit que si nous voyions Piranhas, nous devrions sauter et nager avec eux. Nous avons fait tout cela. Nous avons pris sa parole comme l'évangile.

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    À un moment donné, nous étions coincés à la frontière du Pérou et de la Colombie et avons rencontré cette grande population haïtienne qui y était bloquée sans passeport et ne pouvait pas bouger. Nous avons eu cette révélation que, en tant que touristes, nous étions si libres de déménager, et voici cette autre population qui ne pouvait pas franchir les frontières.

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    C'est biologique. C'est comme une rivière. Un flux entre et il rencontre un autre flux et devient l'Amazonie.

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    Les leçons apprises au point de vue de la production pratique pure étaient immenses. Cela a inculqué la foi que vous pouvez accomplir ce que vous voulez si vous croyez et restez ensemble et continuez à y travailler. En ce sens, cela me donne la confiance nécessaire pour entrer dans le prochain projet avec la conviction que nous pouvons le faire. C'était une expérience pour savoir si vous pouvez trouver un film sans vanité singulière.

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    Herzog et Malick ont tous deux cette intentionnalité naturaliste très unique à leur processus. Il s'agit de créer l'ambiance, de créer la concentration et de discipline, mais de ne pas prescrire ce que la performance était censée être. Aucun d'eux ne dirige vraiment leurs acteurs dans une performance.

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    Malick est jusqu'à présent de l'autre côté du spectre en termes de son caractère. Malick est un reclus complet, et pas du tout motivé par l'ego ou défendant qui il est en tant qu'individu. Il s'agit de l'art. Alors que Herzog se place constamment dans le moteur. Malick est un poète tellement doux.

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    Fitzcarraldo est ce personnage métonymique qui ne veut pas abandonner ses rêves. Rencontrer Walter était le moment où tous ces rêves se sont fusionnés en une personne très réelle avec une histoire très réelle.

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    Fitzcarraldo est un rêveur fou. Il est prêt à tout sacrifier afin de faire sa vision d'un opéra. Cette métaphore de tirer le bateau sur la montagne fait si partie intégrante de quiconque fait des efforts créatifs. C'est cette lutte sisyphée universelle.

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    @samPressman

    Donc, regarder que la production était juste la vision la plus folle d'un cinéaste étant implacable dans sa volonté de créer. En savoir plus à ce sujet était ce que nous voulions faire. Pour découvrir comment au nom de Dieu, quelqu'un pourrait faire cela.

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    @samPressman

    La plus grande leçon que nous avons prise a été lorsque Werner [Herzog] a déclaré lors d'une rencontre avec nous que la mère de tous les défis était de voir votre film dans le théâtre. Partager enfin ce film a été si gratifiant. La façon dont le public a également répondu.

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    Ce que nous sommes définitivement d'accord avec Walter, c'est que le cinéma est un travail d'équipe. C'est l'un des seuls arts qui est vraiment basé dans le travail d'une équipe. Quoi qu'il en soit, il nous a dit beaucoup de choses pratiques. Comment accrocher un hamac. Il encerclait une carte et nous donnait un cahier avec des instructions pour se rendre dans certains endroits qui étaient à l'écart. Il nous a dit de boire l'eau de la rivière et de ne pas utiliser de tactiques de purifications que seuls les «connards du Nouvel Âge» utilisés. Il a dit que si nous voyions Piranhas, nous devrions sauter et nager avec eux. Nous avons fait tout cela. Nous avons pris sa parole comme l'évangile.

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    Ce que nous sommes définitivement d'accord avec Walter, c'est que le cinéma est un travail d'équipe. C'est l'un des seuls arts qui est vraiment basé dans le travail d'une équipe. Quoi qu'il en soit, il nous a dit beaucoup de choses pratiques. Comment accrocher un hamac. Il encerclait une carte et nous donnait un cahier avec des instructions pour se rendre dans certains endroits qui étaient à l'écart. Il nous a dit de boire l'eau de la rivière et de ne pas utiliser de tactiques de purifications que seuls les «connards du Nouvel Âge» utilisés. Il a dit que si nous voyions Piranhas, nous devrions sauter et nager avec eux. Nous avons fait tout cela. Nous avons pris sa parole comme l'évangile.

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