Je me suis retrouvé sans cesse dans des chambres d'hommes et j'ai eu l'expérience de ressentir que je n'étais pas entendu. C'est une chose de confiance.

Au Bangladesh, si vous mettez un baiser dans un film, c'est politique.

J'adorerais voir plus de diversité de tous les côtés, et pas seulement en termes de femmes; Nous avons besoin de gens de différents domaines de réalisation de films.

Le défi de la répression par une nouvelle génération de militants - de Malala Yousafzai à Pussy Riot - à travers le monde nous a rappelé combien de femmes se battent encore pour les droits de l'homme fondamentaux. La lutte de nos arrière-grands-mères dans tous ses détails choquants semblait si pertinente.

Le film est une machine: vous ne vous arrêtez jamais.

N'oubliez pas d'utiliser votre vote. N'oubliez pas de s'exprimer et de vous sentir responsabilisé.

Je suis tellement conscient de la fréquence à laquelle le corps des femmes est objectivé sur le film.

Adolescente, j'étais très intéressée par le théâtre et l'art. J'ai fait de la peinture et du dessin. J'ai fait du théâtre et j'aimais le théâtre.

Les suffragettes étaient assez stratégiques sur la documentation de leurs événements, et il y avait de bonnes photos. Et nous avons développé un rouleau de film qui n'avait jamais été développé auparavant!

Niaqornat semblait particulièrement offrir une version accrue d'une histoire jouée à travers le monde sur la lutte des communautés traditionnelles pour la survie et leurs tentatives de renégocation de leur identité face à la vie moderne.

J'avais fait ce film intitulé «This Little Life», et il a fait le tour des fêtes et a remporté des prix et bien fait.

Aller au Bangladesh a été une expérience ... si vous allez dans de petits villages au Royaume-Uni, ils sont en arrière et culturellement dépourvus. Mais si vous allez dans de petits villages au Bangladesh, ils ont des concerts de musique classique.

J'avais voulu faire ce film [Suffragette] depuis plus d'une décennie. Il n'y a jamais eu d'informatique cinématographique de cette histoire. Je n'avais appris aucune histoire du mouvement à l'école, et la version que j'avais glanée avait été l'histoire de Mary Poppins des femmes dans de grands chapeaux, pétitionnant. Il y avait une autre version.

Tant de femmes n'ont pas de voix dans leurs gouvernements.

Nous devons avoir plus de conversations sur la représentation ainsi que sur le déséquilibre en termes de nécessité plus de femmes derrière la caméra et devant la caméra, et le facteur de diversité.

Il est bien prouvé que si vous avez l'égalité dans la société, la société s'épanouit et si vous avez des inégalités, ce n'est pas le cas. C'est donc bon pour tout le monde.

Il était important de se concentrer sur les femmes de la classe ouvrière parce que nous nous concentrons rarement, en particulier dans les films d'époque, sur les travailleurs. Les suffragettes ont réuni des femmes de toutes les classes, qui était l'une des choses frappantes du mouvement.

Ce n'est que lorsque j'ai vu des films au début de la vingtaine de Jane Campion, Mira Nair, Sally Potter et Kathryn Bigelow, j'ai commencé à penser: "Oh, c'est possible." J'ai osé suggérer que je voulais m'entraîner pour devenir réalisateur.

Avec «Suffragette», j'étais enhardi qu'il y avait tellement de femmes autour de moi. Nous avions une écrivaine, des producteurs, des concepteurs de production et de costumes.

Les suffragettes étaient des femmes d'action. Leur devise était "les actes et non les mots", et le film reflète cela avec un certain nombre de gros décors, de l'écrasement des fenêtres du centre de Londres à une émeute dans les maisons du Parlement.

Je pense qu'il est facile de conserver cet espoir romantique que des communautés comme Niaqornat ne changent pas, car nous sommes dans ce monde où les progrès sont imparables, et ils sont un lien vers un passé idéalisé.

C'est intéressant lorsque vous lisez les débats dans les parlements entre les députés pour savoir si elles devraient donner un vote aux femmes. C'est beaucoup de peur; C'est la peur du changement. C'est la peur que les femmes votent, les structures familiales se décomposeront. Les femmes cesseront d'avoir des enfants. Les femmes ne voteront pas pour la guerre.

Ma grand-mère - la mère de ma mère - était un réfugié juif allemand, un enfant unique qui est venu de Berlin en 1936 à l'âge de 17 ans.

C'est ma mission dans la vie de mettre des gens à l'écran qui ne sont pas normalement représentés.

J'avais une mère qui s'est impliquée dans la politique de base quand je grandissais. Je l'ai regardée avoir une agence et devenir politique dans un monde très dominé par les hommes.

"Suffragette" est un drame intense qui retrace l'histoire des fantassins du premier mouvement féministe alors qu'ils se battent pour le droit de vote.

Entourez-vous de personnes qui vous soutiennent. Trouvez des champions.

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