Luke a vingt-cinq ans et il est allergique au soleil. Depuis sa naissance, il est coincé dans sa chambre. Le monde ne vient à lui que par la télévision, Internet et grâce aux visites de Julie. De son côté, Julie est terrifiée par les catastrophes d'avion, les accidents de la route et les bactéries potentiellement mortelles. Au point qu'elle n'ose surtout pas quitter sa ville natale. Un jour, Luke apprend qu'une sorte de gourou, à l'autre bout de l'Angleterre, peut le guérir. Avec Julie, ils prennent alors la plus importante des décisions : faire face à leurs peurs et affronter le monde extérieur. Avec quatre amis et une combinaison spatiale bricolée pour protéger Luke de la lumière du jour, ils partent dans un vieux combi. Cet incroyable voyage de tous les dangers va changer leur vie...

Le fabuleux voyage d'un jeune homme en combinaison spatiale dans un combi Volkswagen

Luke, 25 ans, est allergique au soleil et doit donc rester confiné. Julie, quant à elle, est brillante mais a peur de tout et n'ose quitter sa ville natale. Un jour, Luke apprend qu'un gourou peut le guérir. Avec Julie et deux amis, ils partent dans un combi Wolkswagen, Luke portant une combinaison spatiale. Ce voyage changera leurs vies.

Le fabuleux voyage du jeune homme en combinaison spatiale dans un volkswagen

Ariel Manto est une thésarde en galère. Elle travaille sur un sombre scientifique victorien méconnu, Thomas E. Lumas, et son directeur de recherche a mystérieusement disparu. Lorsqu’elle tombe sur un exemplaire de La Fin des mystères de Lumas, roman introuvable et réputé maudit, elle n’en croit pas ses yeux. Ce n’est que le début d’un voyage pour le moins extraordinaire…

La fin des mystères

Ariel Manto n'en crois pas ses yeux quand elle tombe sur un exemplaire de La Fin des Mystères dans une librairie d'occasion. Elle connaît bien son auteur, un étrange scientifique victorien, et sait que ce livre est supposé être introuvable... et maudit. L'ouvrage en sa possession, Ariel se retrouve propulsée dans une aventure mêlant foi, physique quantique, amour, mort et tout ce qu'il advient quand on les mélange de façon imprudente.

La Fin des mystères

La plupart des gens regardaient un animal dans une cage et sentaient instinctivement qu'il devrait être libéré. . . . C'est un monde dangereux, rempli de prédateurs. . . . Que préféreriez-vous? Une vie confortable, sûre, chaleureuse et confortable dans une cage ou une vie incertaine de liberté.

Vivre pour toujours serait comme vous marier, sans possibilité de divorce.

Je pense aux histoires et à leur logique et je me demande s'il peut y avoir de tel que simplement "il y a un livre.

Une minute, je jouais aux échecs et faisais des mathématiques tout le temps, le prochain que j'avais été réacheminée dans des activités plus «normales»: lire, écrire des histoires et m'inquiéter de mes vêtements.

Vous leur dites en quoi consiste une fin heureuse, ce qui est toujours un succès individuel. Vous leur dites que rien d'irrationnel n'existe dans ce monde, ce qui est un mensonge. Vous leur dites que le conflit n'existe que pour être soigneusement résolu, et que tous ceux qui sont pauvres veulent être riches, et tous ceux qui sont mals veulent s'améliorer, et que tous ceux qui s'impliquent dans le crime se terminent dans une mauvaise fin, et que l'amour devrait être pur. Vous leur dites que malgré tout cela, ils sont spéciaux, que le monde tourne autour d'eux.

L'honnêteté et l'authenticité sont un gros problème pour moi.

Je me suis toujours un peu énervé par ces sceptiques du largeur qui rendent leur vie passionnément en colère contre l'homéopathie, Dieu, la synchronicité ou quoi que comme les croyances qu'ils critiquent. J'ai toujours dit qu'ils donnaient aux scientifiques une mauvaise réputation. Après tout, la science doit être de poser des questions impensables, et non de clôturer le débat.

À certains égards, je suis un scientifique ou un mathématicien frustré. Le nombre de fois où je pensais retourner à l'université et faire de la physique théorique parce que j'aime les grandes questions, mais vraiment je sais maintenant que ce n'est pas tout à fait moi. Ce qui est moi, c'est le faire dans les romans.

Dans la vraie vie, rien ne signifie rien. Des choses se produisent et il n'y a tout simplement pas de structure.

Je suis un grand croyant à rassembler toutes vos obsessions et à voir si vous pouvez en faire un roman.

Certains écrivains, notamment Anton Chekov, soutiennent que tous les personnages doivent être admirables, car une fois que nous avons regardé assez profondément quiconque et compris leur motivation, nous devons nous identifier plutôt que de les juger.

L'homéopathie semblait. . . à la fois mathématique et poétique.

Vous ne pouvez pas faire de la science dans un roman, mais vous pouvez faire de la philosophie. Ou, si vous avez vraiment de la chance, vous pouvez réussir à poser une question de telle manière que d'autres personnes le prennent.

Mais j'aime bien la façon dont vous pouvez parler de la science sans nécessairement utiliser les mathématiques, mais utiliser des métaphores à la place.

Il ne s'agit même pas de savoir si l'univers est significatif ou dénué de sens. C'est de quelle manière cela pourrait-il être significatif, ou de quelle manière, s'il était significatif, cela pourrait-il être encore plus dénué de sens que le vide de sens normal?

La vraie vie est physique. Donnez-moi des livres à la place. Donnez-moi l'invisibilité du contenu des livres, des pensées, des idées, des images. Permettez-moi de faire partie d'un livre. . . . Un être intertextuel: un livre cyborg, ou, considérant que les livres ne sont pas cybernétiques, peut-être un bibliorg.

Je pense que la prévisibilité est intégrée à n'importe quel bon roman d'une manière ou d'une autre - vous commencez à lire Anna Karenina et vous savez à peu près ce qui va se passer à la fin. Mais cela ne signifie pas que vous savez ce qui va se passer au milieu. Pour moi, c'est ce sens de ce qui se passe au milieu qui est important.

L'un des paradoxes de l'écriture est que lorsque vous écrivez la non-fiction, tout le monde essaie de prouver que c'est mal, et lorsque vous publiez de la fiction, tout le monde essaie de voir la vérité.

Tout ce que je sais, j'imagine que tout le monde le sait aussi. Et puis tout ce que tout le monde connaît, j'imagine qu'ils savent en plus de ce que je sais, donc je suis constamment inquiet de ce que tout le monde sait.

Je prie pour le sens. Je prie pour que les limites de la réalité deviennent claires. Pour un monde - et un type d'être - cela a du sens. Je prie pour une vie après la mort qui ne ressemble pas à cette vie. Je prie pour la fin du mystère. À quoi ressemblerait une vie avec tous les mystères résolus? S'il n'y avait pas de questions, il n'y aurait pas d'histoires. S'il n'y avait pas d'histoires, il n'y aurait pas de langue. S'il n'y avait pas de langue, il n'y aurait pas. . . Quoi?

Je déteste les stéréotypes et je déteste le cliché.

À ma gauche se trouve le grand mur gris devant l'église. Sommes-nous les pensées de Dieu? une affiche demande. Non, je me rends compte. C'est l'inverse.

Mes romans sont un concept élevé. Je suppose que les grandes idées m'intéressent plus que, disons, les minuties de la vie domestique.

Pour d'autres personnes, l'amour est comme une orchidée rare qui ne peut se développer qu'en un seul endroit dans un certain ensemble de conditions. Pour moi, c'est comme le liais-fasse. Il pousse sans aucun encouragement, dans aucune condition, et étrangle tout le reste.

Les homéopathes soutiennent que l'eau a une mémoire.

Parfois, vous devez faire confiance aux adultes, peut-être plus quand ils ne sont pas là pour vous superviser.

Ses oeuvres

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