Fossil Cove Press presents CRAWLING TO THE MOON, The second collection of stories and vignettes from noted science fiction and fantasy storyteller, Scott Ellis, featuring... Crawling to the Moon: A tornado, a talking doberman, fate and beauty in a Florida horse show, ca 1971. System Crash: Sometimes being rich, cool and the boss doesn't pan out all that well... Sidecar, the path to world peace, through nanotech and alcohol. The Big Rock Candy Mountain: Two homeless men find themselves in a boxcar with a soldier from a space empire. Cup of Trembling: A drink means greatness, death or madness. And you have to choose right now. Dragon Dilemma: A warrior, a princess, a dragon: There are only a few ways this story can go, right? Well, not necessarily.... The New People: What happens when the rich, beautiful and famous have their own dimension? "Scott Ellis has a penchant for sophisticated, intelligent themes manifested through realistic, complex characterization. Some of it is light-hearted, much of it makes demands on the reader. Not a book to skip through. Be prepared to think and ponder. Overall, quite a treat to read."Amazing Stories Magazine

Crawling to the Moon and other stories - The Dancing Curmudgeon

BENNY THE ANTICHRIST and other storiesThe first ever collection of stories and vignettes from noted science fiction and fantasy storyteller Scott Ellis, including... Benny the Antichrist: He's the arch-arch-villain, the most made guy in this universe or any other. And he's looking to make a career change... The Reason of Sleep: How do you make your way in a world ruled by those who never sleep and those who live in dreams?Fae-Dar: There's this bar, see, full of gods, trolls, pixies and every other being out of myth and legend. And in walks an accountant... In the Shaft: two guys getting high and playing b-ball in a skyscraper elevator shaft, what could go wrong?Saccade: He's under no illusions. That's his problem. Magic Phone, a lyrical conversation about guns, long distance and neutrinosThe Deep Crew, who handles the psychic garbage of an entire city? A special kind of sanitation worker.

Benny the Antichrist and Other Stories

Ma toute première fois aux Tony Awards a eu lieu en 1984, l'année de «The Rink».

Le défi d'un renouveau est de savoir comment apporter quelque chose de frais. La récompense est l'occasion d'ajouter différentes fioritures. Vous avez affaire à différents acteurs, designers et un moment différent.

Lorsque vous travaillez sur une pièce comme «Sloane», ce jeu fonctionne; Vous n'avez pas à vous en soucier. Lorsque vous travaillez sur une nouvelle pièce comme «Little Dog», vous n'avez aucune idée si la pièce fonctionne. Vous explorez.

Après avoir élevé des jumeaux, vous vous organisez.

J'ai toujours voulu faire "On the Twentieth Century" à cause de Kristin Chenoweth.

Les acteurs sont intelligents. Ils doivent se sentir suffisamment en sécurité pour tomber et se relever. Mon travail consiste à m'assurer qu'ils ne se blessent pas.

Les types de théâtre de théâtre ne changent pas beaucoup, quelle que soit notre époque. La question de savoir comment vous équilibrez être dans le show-business avec votre vie personnelle n'est pas très différente.

'Twelve Angry Men' a été fait avec un entracte, et je l'ai retiré. Je voulais vraiment qu'un public se sente comme s'il n'avait pas de pause, tout comme ces jurés, et vous ne sortirez pas de cette pièce tant que vous n'aurez pas pris une décision.

Vous ne pouvez pas vivre comme un moine si vous avez deux jumeaux de cinq ans. Cela ne se passe pas. Juste le contraire, en fait.

La chose la plus intelligente qu'un réalisateur puisse faire est de s'entourer de très bonnes personnes.

Le casting, pour moi, est toujours le même. C'est une partie très importante du travail d'un réalisateur. Je choisis des gens avec qui je sens que je voudrais être dans une pièce et j'apprécierai le processus de répétition car c'est la meilleure partie.

Mon expérience d'acteur a été un avantage. Ce que j'ai appris des réalisateurs, c'est comment écouter et parler avec les acteurs. Je sais comment ils pensent et ce dont ils ont besoin.

Dans "You Can't Take It With You", il y a dix-huit personnes sur scène à un moment donné. Les comédies musicales impliquent une plus grande collaboration, et j'aime cela.

Je suis grand sur la recherche. J'adore la recherche, donc j'ai tendance à faire beaucoup de lecture.

Je dois toujours revenir aux spectacles pour éliminer les améliorations que les acteurs ont apportés. Les rires sont addictifs, et parfois ils rires, et parfois ce sont de mauvais rires.

Je pense qu'une fois que vous êtes allé en répétition, vous devez vous concentrer sur le spectacle dans la pièce.

Être jumeau, et savoir si mon jumeau était parti ou perdu - cela fait partie de moi. Il n'y a aucun moyen que je puisse être la même personne en sachant que mon frère était décédé.

Mon style de mise en scène a changé au fil des ans. Je laisse les choses respirer beaucoup plus.

La veille de l'ouverture de «The Elephant Man», nous avons eu une soirée pyjama pour 12 enfants. Être organisé est la clé.

Un mauvais rire est un rire pour le plaisir d'un rire qui n'est pas dans son caractère.

Je ne me considère pas comme un réalisateur flashy. Souvent, les gens auront l'air et ne savent même pas ce que je fais.

Tout réalisateur qui entre dans un renouveau doit beaucoup au réalisateur d'origine. Si je sais que l'épine dorsale fonctionne, cela me donne, en tant que réalisateur, beaucoup plus de liberté pour y apporter quelque chose de nouveau ou essayer quelque chose de différent.

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