J'ai été présenté aux cartes par mon label, et j'ai aimé son son. Je vivais avec la version originale de «Younger» depuis assez longtemps quand j'ai entendu le résultat de son remix, et j'ai adoré. Cela m'a fait trouver un nouvel amour pour la piste.

J'adore le hip-hop et l'âme, mais je veux désespérément le défier et voir ce que je peux y apporter.

Certains jours, je pense que nous devrions peut-être essayer d'être un peu plus conventionnels, mais chaque fois que j'essaye, j'échoue, donc j'apprends à ne plus divertir cette pensée.

Je me souviens qu'Alicia Keys et Usher avaient sorti une chanson intitulée `` My Boo '', et mon professeur de musique m'a fait chanter un duo avec un ami à moi, et je me souviens avoir été si nerveux parce que j'aimais chanter, mais je ne pourrais jamais être en train de chanter tout seul. Et quand j'ai fait ça, je me souviens à quel point j'étais fier de moi-même. J'avais 12 ans.

J'ai eu du mal quand je suis revenu en Suède et que j'ai commencé l'école, car j'avais l'air différent. Et nous avons déménagé dans une très petite ville sur la côte ouest de la Suède, et il n'y avait pas de Brown. Il ne s'est pas vraiment amélioré jusqu'à ce que je commence à commencer une école de musique à environ 10 ans.

Procerner ne se sentait pas à l'aise avant d'avoir environ 17 ans. J'ai adoré chanter, mais j'ai toujours dit que je ne jouerais jamais parce que j'avais trop peur.

Parfois, il peut sembler que j'utilise mes chansons pour donner aux autres pointeurs. Mais surtout, ils sont pour moi, juste de petites notes pour moi que j'ai collectées et la sagesse que j'ai lue. Je me donne beaucoup de conseils.

Je suppose qu'une chose qui fait que ma musique se démarque, c'est qu'il est assez difficile de déterminer de quel genre il s'agit.

Il est vraiment important pour moi que les chansons ne se démarquent pas seulement individuellement mais fonctionnent également comme un ensemble complet de travaux.

Comme je ne suis pas doué pour quoi que ce soit d'autre, j'espère que je pourrai continuer à chanter pendant longtemps.

Je suis un grand fan de chanteurs qualifiés. Certains de mes favoris sont Cee-Lo Green, Donny Hathaway, James Fauntleroy et Kim Burrell.

Je chante parce que ça m'apaide, et j'écris parce que je veux faire savoir aux autres qu'ils ne sont pas seuls avec leurs problèmes.

Je me suis soudain habitué à ce sentiment d'être en contrôle, ce que je ne ressens jamais, jamais quand je ne suis pas sur scène - un sentiment que vous êtes le maître de votre propre univers.

Si vous n'aimez pas Beyonce, alors il est difficile pour moi de vous faire confiance. C'est comme ne pas aimer la paix mondiale.

Je m'entends surtout tout le monde, mais l'école de musique vous fait ça. Nous avons dû chanter dans une chorale tout le temps, nous avons donc dû nous entendre avec tout le monde.

C'était la partie de la culture gambienne où ils se donnent beaucoup de conseils, comment ils comparent toujours les choses afin de faire passer un message ... qui a vraiment influencé ma façon d'écrire.

J'ai rencontré Magnus Lidehall il y a environ deux ans, et le rythme sur lequel j'ai écrit «plus jeune» était l'un des premiers qu'il m'a envoyés. Je devais avoir environ 21 ans à ce moment-là, me sentant un peu paresseux et déçu de moi et de ma vie.

Nous avons déménagé en Gambie de Suède à l'âge de six ans parce que mon père était de là. C'était définitivement un choc culturel.

Au début, à mes concerts, il y avait beaucoup de presse et des gens des maisons de disques. Maintenant, il y a des gens qui sont là pour écouter de la musique et qui sont de vrais fans.

C'est tellement fou de voir des gens chanter avec des chansons qui ne sont même pas encore sorties. Je me dis: 'Comment connaissez-vous même les paroles? Avez-vous regardé YouTube?

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