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Serge Langlet

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Poésies

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    Serge Langlet

    @sergeLanglet

    Adieu à Sabine. Adieu à Sabine. Sabine, tu étais douce, tendre et belle, Au printemps de ta vie, et passionnée par elle, Tu aimais la nature, les bois, les champignons, L’automne était pour toi la plus jolie saison. C’est pourtant à l’automne que tu nous as quittés, Le vide que tu laisses, nul ne peut le combler, Les mots sont inutiles devant cette évidence, L’amour et l’amitié sont devenus souffrances. Celles de ne plus entendre le son de ta voix, Savoir que nous ne marcherons jamais plus avec toi, Que ton regard si doux et brillant de la vie, Ne croisera plus jamais celui de tes amis. Qu’importe les jours et tout le temps qui passent, Mémoires et souvenirs seront toujours vivaces, L’on ne peut oublier et l’on n’oubliera pas, Sabine, tout l’amour que nous avons pour toi. Si le destin cruel, a décidé qu’un jour, Tu partes allumer une étoile à ton tour, Dans le bleu firmament, cette voûte céleste, Plus forte que la mort, ta lumière nous reste.

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    Serge Langlet

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    Folie…. Il fut un temps, jadis, où jamais bien à croire, Que nous avions les cieux à portée de la main, Qu’en est – il aujourd’hui, l’humain est dérisoire, Et plus nous avançons, plus long est le chemin. Ils ont été tracés, les chemins de l’histoire, Sous le joug du malheur, par le feu et le sang, Et puisque ces erreurs, n’ont marqué la mémoire, Les armes du présent, apporteront l’enfer. L’homme a un jour perdu son reste de sagesse, Qu’importe le pays car l’on en est plus là, Religions ou idées, tant de vaines promesses, La morale et l’argent ne s’accommodent pas. Il y a trop de moyens pour acquérir des armes, Achetons donc du pain, du maïs ou du riz, Disparaîtrait la faim et sécheraient les larmes, Et tous les généraux deviendraient des Messies.

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    Serge Langlet

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    Fratricide… Fratricide… Leurs deux peuples dressés dans un conflit terrible, Sodome et Gomorrhe le firent en leur temps, L’on sait ce qu’il advint, quel fût le châtiment, L’histoire nous revient, c’est écrit dans la Bible. Des hommes qui s’en vont, et des femmes qui pleurent, Deux Nations qui s’affrontent et perdent leurs enfants, Vous êtes fils d’Irak, vous êtes fils d’Iran, Afin que l’un survive, faut-il que l’autre meure. Arrêtez, arrêtez, pendant qu’il en est temps, Car aucun Dieu puissant ne pourra tolérer, Encore bien longtemps de voir s’entre-tuer, Des frères des amis, des gens de même sang. Réfléchissez un peu, Vous comprendrez alors, Sur un bout de poussière, parmi l’immensité, Par un hasard quelconque, l’homme un jour fut jeté, Pourquoi donc se tuer, et qu’est-ce que la mort… Car nul homme ici bas, ne pourra se targuer, Fût-il un Khomeini, de sa bouche parler, Au nom de Jésus Christ, au nom de Mahomet. Langlet Serge mai 1985

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    Hyperborée… Hyperborée… Il est un vieux pays où le soleil ne passe, Que si peu de rayons à travers les nuées, Que le sol y est froid, que l’eau y est de glace, Où planent le silence et la tranquillité, De grands sapins s’élancent comme pour s’envoler, Pour capter toujours mieux la chaleur de Phébus, Ils forment des forêts profondes et serrées, Où dans chaque clairière s’élève un tumulus ! Les légendes mystiques perdues aux fils des ans, Nous racontent l’histoire qui imprègne ces lieux, Des Elfes et des Géants en sont les habitants, Protégeant le sommeil des Héros et des Dieux. Ici, pour nous le rêve devient réalité, Il y flotte toujours, comme un parfum étrange, Et l’on s’attend sans cesse à quelque étrangeté, Paraissant devant nous, un Démon ou un Ange. Si vous croisez un jour, au détour d’un chemin, Des yeux d’un bleu si pur que l’on s’y perd dedans, Sachez que ce regard est celui d’un lutin, Vous ne pourrez le suivre, il est le fils du vent…

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    Il était une fois… Il était une fois… Il était une fois, surgis d’un rêve étrange, Trois êtres, écoutant le murmure du vent, Cherchant à expliquer les vestiges du temps, Qui gisent sous ce ciel à la lumière Orange ! Ce monde après tout, qu’importe s’il existe, Rêves ou réalité, là n’est pas la question, À toute Œuvre conçue, il y a une raison, Elle seule est perçue par l’âme de l’artiste.

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    J’ai vu pleurer maman… J’ai vu pleurer maman… Qu’importe allez les souvenirs, Ils ne sont que chimères… Lambeaux de sentiments, comme ils font souffrir, Jetés aux quatre vents, J’ai vu pleurer ma mère, Avec ses cinq enfants, avec mes petits frères, Et dans leurs yeux l’espoir, bien plus grand que la terre, cœurs d’enfants grands comme l’océan, Pour cacher toutes les misères, Froid aux pieds en hivers, et aux mains pas de gants, La neige est l’ennemi quand on est un enfant, Et qu’il n’y a pas d’argent. J’ai vu pleurer ma mère, J’ai vu pleurer Maman…

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    Les poètes… Les Poètes… Sans que l’on sache vraiment comment. Pour nous poètes, je vous l’affirme, Dans notre tête, tout simplement, À chaque mot, surgit sa rime, Comme d’autres, on voit le monde, Mais on le voit différemment, Et notre cœur alors s’inonde, D’une marée de sentiments. Par la beauté, par la misère, Notre âme subit les tourments, Dans la joie ou bien les prières, Il nous faut en marquer le temps, Et nous sommes témoins des jours, Des grandeurs ou des déchéances, De la haine ou bien de l’amour, Qui abordent notre conscience. C’est comme porter un fardeau, Comme un destin écrit d’avance, Un parchemin avec un sceau, Où riment joies avec souffrances. Et tels des feux dans les ténèbres, Pour des voyageurs égarés, Rassurants de par leurs lumières, Nous devrons sans cesse éclairer.

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    Les voies du futur… Les voies du Futur… Je refais très souvent un rêve qui me ronge, Dans un lointain futur, mais est-il si lointain ? Je vois une planète qui souffre et qui se plaint, Et dont la seule idée, dans l’angoisse me plonge. Une Terre peuplée d’étranges créatures, Qui cherchent à survivre et à calmer leur faim, Dans leurs pauvres haillons, reste-t-il de l’humain ? Quand des ventres affamés cherchent leur nourriture ! Ce monde, c’est celui qui jadis nous porta, À présent il est mort, et le sol est stérile, Après un conflit nucléaire imbécile, Qui foudroya les hommes, puis les empoisonna. Des survivants, il en eut, c’est certain, Mais leurs corps dévorés par la lèpre atomique, Ont alors corrompu leur code génétique, Et les êtres qui naissent de l’homme, n’ont plus rien. Ha oui, je voudrais tant que ce ne soit qu’un rêve, Et que ce cauchemar soit toujours démenti, En face de l’enfer, l’homme ait enfin compris, Et alors pour toujours, que les guerres s’achèvent… 14 octobre 1983

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    L’humanité L’Humanité C’est un peuple ancien qui essaima jadis, Pour qu’en d’autres contrées puisse naître leur fils, Les années ont passé et les siècles aussi, Ces contrées aujourd’hui sont devenues pays, Et voila que, un jour, advint la religion, Elle-même coupée en diverses moignons, Ils en prirent un bout pour parler en leurs noms, Devinrent ennemis sous la foi des sermons, Et alors ces pays devinrent combattants, Avec divers drapeaux et de diverses chants, Tout pour détruire l’autre, et tout cela pourtant, Alors que dans leurs corps coule le même sang, Belles histoires venues de ce lointain passé, Où l’homme et la femme sont créés pour s’aimer, Dans lequel nous vivions tous en communauté, Craignons que le futur soit sans humanité

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    Ma colline… Ma colline Saint-Jacques, combien je t’ai aimé, Posée sur cette plaine, comme un îlot sauvage, Ta flore aux parfums dont j’ai l’âme imprégnée, Où que j’aille, en mon cœur j’emporte ton image. Toi ma chère colline qui protège à tes pieds, La ville où je suis né, où j’ai vécu mon âge, Sur les bords de Durance, cette douce cité, Cours vers le Luberon, cette autre île sauvage. Chère et tendre colline, témoin de nos années, À ton point le plus haut, tu portes un héritage, Car naguère, ton calme et ta sérénité, Étaient appréciés, témoin, ton Ermitage. Tes chemins escarpés, tes escaliers usés, À la pierre luisante, par les pèlerinages, Dont tu as su garder toute la dignité, Tout en jouant parfois, avec les nuages. Colline mon amie, confidente éclairée, J’ai connu en ton sein, la clarté du langage, Que tu peux murmurer, à qui sait écouter, Au travers de son cœur, le plus pur des messages. Rien ici bas ne vaut que de savoir aimer, Et qu’il est bien futile, pour l’homme de passage, De montrer de l’orgueil ou de la vanité, Car il fait lui aussi, partie du paysage…

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    Maman courage. Maman courage. J’ai vu couler des larmes, un jour sur ton visage, Et elles m’ont marqué à jamais, jusqu’au sang, C’était pour toi souvent, ton lot, ton héritage, Mais si tu as pleuré, c’était pour tes enfants. Si l’on veut comparer le bon temps que tu eus, Dans toute ta jeunesse et les années de guerre, De tous ces jours passés ce qui ressort le plus, Ce sont des privations, cortège de misères. Ton amour est si grand et nous t’aimons si fort, Tout au long des années, à travers les tourments, D’avoir bien trop peiné, tu as usé ton corps, Mais ton âme est restée aussi belle qu’avant. Quand tu seras partie pour l’ultime voyage, Emportant avec toi nos plus beaux souvenirs, Restera dans nos cœurs le plus doux des visages, La bonté, la douceur de ton tendre sourire. Quand tu seras aux cieux, dans le creux des nuages, Entourée par les anges, coiffant tes cheveux blancs, Nous serons avec toi, notre Maman courage, Nous sommes et restons pour toujours tes enfants.

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    Mon petit Frère Tu fus le dernier venu dans la famille, Parmi tes frères un jour, tu es né après eux, Tu étais trop petit, cela n’est pas facile, Entouré de grands frères, de partager leurs jeux. Une image de toi revient à ma mémoire, Maman te promenant pour te faire manger, Ton manque d’appétit te mettait en danger, Combien il a fallu en raconter d’histoire. Tu étais petit frère, un frêle garçonnet, Qui voulais à tout prix s’en aller avec nous, Quand nous allions jouer, faire les quatre cents coups, Mais nous ne voulions pas, de peur de te blesser. Je le sais maintenant combien fut douloureux, Que d’avoir avec nous trop peu participé, À cette communion, cette communauté, Qui se crée entre frères, à partager les jeux. Tu nous en as voulus, mais toujours sans rien dire, Nous étions tes aînés et ton cœur était bon, La différence d’âge entre quatre garçons, Peut-être après tout valait-il mieux en rire. Les années ont passé et tu as bien grandi, Puis un jour vint, tu fondas ta famille, Devenant alors, un bon père tranquille, Ta femme et deux garçons pour remplir une vie. Puis tu fis comme nous l’adieu à nos parents Et nous les conduisîmes à l’ultime demeure, C’est dans l’ordre des choses, un jour nos parents meurent, Mais jamais l’on ne peut oublier ces moments. Ton état de santé tu en faisais peu cas, De t’en parler te mettais en colère, C’était ton choix, il n’y avait rien à faire, Tu étais le plus jeune, et la mort te frappa Tu as toujours été pour nous le petit frère, Pourquoi es-tu parti, ce n’était pas ton tour, Mais tu gardes avec toi de tes frères l’amour, Et repose à présent tout près de père et mère.

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    Pitié pour nos enfants Pitié pour nos enfants. Nous avons des enfants, il nous faut les défendre, Ne pas bâtir leur monde sur un monde de cendres, Dans un vaste brasier notre avenir s’éteint, Et chaque arbre qui brûle un peu plus nous atteint, Tant de milliers d’espèces ont déjà disparues, Et tout autant d’espoirs sont à jamais perdues, Les espoirs de guérir diverses maladies, S’envolent en fumée aux feux d’Amazonie, L’oxyde de carbone remplace l’oxygène, Chaque jour un peu plus, pour l’espèce humaine, Se restreint le futur, que l’on croyait pourtant, Là, à portée de main, et toujours florissant Peut-être est-il trop tard déjà, pour arrêter, Le processus fatal que l’on a déclenché, Entre la pollution et les effets de serre, Puis les trous d’ozone dans notre atmosphère, La planète gémit sous tant d’acharnement, Alors je vous en prie, pitié pour nos enfants.

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    Pour un café, pour un poisson Pour un café, pour un poisson. Comme un poisson à l’étroit dans sa nasse, Le café froid que l’on boit dans sa tasse, Laisse un goût sur la langue, amer, Pour le poisson, c’est l’adieu à la mer, A toute chose on peut trouver raison, Pour un café, pour un poisson.

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    Qu’adviendra t’il de nous ? Qu’adviendra t’il de nous ? Qu’adviendra-t-il de nous, Pauvres humains que nous sommes, Dans cette course folle, Toujours plus de profit, Ouvriers à genoux, Car qu’importent les hommes, Ils n’ont qu’un second rôle, L’on peut en faire fi !

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    Savoir aimer… Savoir aimer… Et j’écoute le temps, qui passe peu à peu, Égrenant un refrain que l’on reprend tout bas, Avec des mots de joie quand l’on se sent heureux, Ou bien des mots amers quand le cœur n’y est pas. Et je vois le soleil brillant de ses feux d’ors, Sur fond de souvenirs et de clarté ciel bleu, Phare d’une jeunesse que je croyais alors, Inscrite à jamais dans l’avenir radieux. Des visages apparaissent, puisés à ma mémoire, Et semblent me parler, apportant d’autrefois, Avec leurs sourires, un peu de leurs histoires, Qui ont croisé la mienne en si mêlant parfois ! Mais les années ont su, accolées une à une, Ciseler à mon front, comme témoins gravés, Du passage des jours, en marquer l’infortune, Rappelant à chacun le joug du sablier. Ainsi le temps qui fuit et glisse sur mon âge, Avec son contingent de peine ou de bonheur, Éclaire que la vie est faite de partage, Et qu’il faut pour cela, savoir donner son cœur Alors, il faut oser caresses et tendresse, Il n’y a pas de honte à mieux vouloir aimer, Peut-on trouver au monde de plus grande richesse, Qu’apporte à l’existence cette joie de donner.

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    Un jour, les plus belles moissons. Un jour, les plus belles moissons. Un jour… J’irai bien plus loin que mes rêves, Le cœur dans les étoiles, les pieds dans le futur, Humer des fleurs nouvelles, sous des cieux bleu azur, Marcher dans la lumière, sur les plus belles grèves. Pouvoir vivre sa vie avec un cœur d’enfant. Créer avec l’amour, des œuvres magnifiques. Somptueuses couleurs et chants polyphoniques, Qui enrichissent l’âme et grandissent les gens, Saisir les mains tendues pour en faire une ronde, Abolir à jamais les pleurs et le malheur, Travailler tous ensemble pour le plus grand bonheur De pouvoir se sentir uni avec le monde. Pour que le vent l’emporte, plus loin que l’horizon, Répandre autour de soi, les graines d’espérance, Et que l’avenir enfin, puisse avoir cette chance D’entendre les cris de joies des plus belles moissons.

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    Un petit poème impromptu de ce soir… Un petit poème impromptu de ce soir… La poésie souvent, sert pour moi d’exutoire, Et aux travers des mots, j’y écris mon histoire, Avec les sentiments les forces et les faiblesses, Qui mènent un enfant, au seuil de la vieillesse, De toutes ces années, qui ont passé trop vite, Il reste et restera un sentiment de fuite, Une fuite en avant, sans s’arrêter pour voir, Toujours bien trop pressé, du matin jusqu’au soir, Une fleur, un enfant, un sourire radieux, La beauté de la mer, la majesté des cieux.

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    État d’âme… État d’âme… Dans de ternes soirées, ou mes pensées allaient, J’ai souvent ressenti l’obsession déprimante, Que nous étions sur Terre, que pantins et jouets, Croyant être pourtant, volonté agissante. Dans l’inconscient profond qui est notre nature, Sommes-nous donc marqués par le sceau du destin, Ou bien, sous l’influence d’une entité obscure, Nous acheminons-nous, un peu plus vers la fin. Car comment expliquer la folie permanente, Poussant l’humanité, toujours à se munir, Contre toutes raisons, d’armes terrifiantes, Compromettant toujours un peu plus l’avenir. Les idéologies, les complaintes et paroles, Qu’au gré du vent chacun, délivre à loisir, Pour faire admettre le bénéfique rôle, Qu’auront ces armes à nous faire mourir ! Sommes-nous donc sur terre pour nous entre-tuer ? Faut-il toujours laisser la parole aux guerres, N’y a-t-il pas de place pour la fraternité, Quand deux hommes sur trois ont faim sur cette Terre ! Que sommes-nous pourtant au vu de l’Univers, Nous devrions réagir en tant que race humaine, Afin que dans le froid où la Terre se perd, Les étoiles apparaissent comme un peu moins lointaines… 20 janvier 1981

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