Sofia Kenin, née le 14 novembre 1998 à Moscou, est une joueuse de tennis américaine, professionnelle sur le circuit WTA depuis 2017.
À ce jour, elle compte cinq titres en simple et deux titres en double dames sur le circuit WTA. Elle remporte l'Open d'Australie 2020 à Melbourne alors qu'elle n'avait jamais dépassé les huitièmes de finale en Grand Chelem. Elle devient ainsi la plus jeune lauréate en Australie depuis Maria Sharapova en 2008.

Ce n'est pas facile de se concentrer dans la pratique lorsque vous n'avez pas de matchs à venir.

Merci à mes parents de m'avoir donné le rêve américain.

De toute évidence, je manque la vie de la ville.

Évidemment, j'avais une grande coordination œil-main. J'ai vu que j'étais vraiment différent des autres joueurs.

J'ai l'impression que la ténacité mentale a été une partie énorme.

Moi, je suis une étoile montante pour le tennis américain. Je suis vraiment fier de représenter mon pays et j'espère que je pourrai continuer plus haut.

J'ai l'impression que les fans sont les meilleurs aux slams. Tout le monde vient, ils vous soutiennent. C'est vraiment spécial, ce qui nous est vraiment spécial de jouer devant eux.

J'ai l'impression de faire un très bon travail en gardant mon terrain et en restant concentré, en commençant fort dans le troisième set, car évidemment je ne veux pas trop descendre.

Je savais que je devais m'établir pour arriver là où je suis.

J'adore gagner plus que tout, donc, oui, gagner.

Je veux montrer qui je suis, montrer mon meilleur tennis, montrer pourquoi je suis là, pourquoi j'appartiens.

Je suis toujours avec mon père, et c'est mon entraîneur, et il a continué à me dire: «Vous devez rester motivé, essayer de rester motivé».

Je ne joue généralement pas vraiment bien sur l'argile.

Je ne peux pas aller sur le terrain en pleurant parce que c'est un gros avantage pour mon adversaire, donc je dois essuyer mes larmes, avoir un bon échauffement, sentir le ballon puis commencer à groover dans le jeu.

Ce n'est pas facile d'aller à une finale du Grand Chelem.

Pendant le match, j'essaie juste de mettre les émotions de côté. Je n'ai pas le temps de penser à mes émotions. Je dois jouer un point à la fois.

Ce n'est pas facile de jouer un collègue américain. Je veux évidemment que nous faisons tous bien.

Serena est un si grand joueur et un vrai champion.

Quand je ne jouais pas avec Barbie Dolls, je jouais toujours avec différents types de balles, et mon père a dit, essayons le tennis.

Certains joueurs perdent la motivation, mais aller au terrain chaque jour m'a aidé.

Ouais, je deviens évidemment nerveux avant les matchs. J'ai évidemment des papillons. Je veux évidemment bien faire.

J'ai partie des trucs russes en moi, me battre et féroce que j'ai.

J'ai l'impression de faire de grandes choses pour le tennis américain.

J'ai l'impression de jouer à certains de mes meilleurs tennis sur Clay. Je glisse beaucoup, bouge beaucoup. Je sais comment m'adapter à la surface, donc j'aime l'argile.

Le Grand Chelem est quatre tournois par an, donc bien sûr, ce sont les grands, ce sont ceux dans lesquels les gens et les joueurs de nous voulons faire de notre mieux. C'est juste une qualité de tennis de haut niveau.

Je suis vraiment heureux que je puisse vivre un champion en titre. C'est assez spécial.

C'est vraiment génial, remporter des tournois et diriger le groupe américain. Cela me donne un coup de pouce et une tonne de confiance.

Évidemment, je veux bien faire dans tous les tournois, mais si je devais choisir, à coup sûr Paris.

Croyez-le ou non, je détestais vraiment l'argile.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Sofia_Kenin

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