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Stansfield Turner

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    Stansfield Turner

    @stansfieldTurner

    À 2 h 26 le 3 juin 1980, le colonel William Odom du Commandement aérien stratégique a alerté le conseiller à la sécurité nationale Zbigniew Brzezinski que le système d'alerte nucléaire américain avait détecté une attaque nucléaire imminente de 220 missiles contre les États-Unis. Peu de temps après, le système automatisé a révisé sa projection de 220 missiles à une attaque totale de 2200 missiles. Juste avant que Brzezinski soit sur le point de réveiller le président Carter pour autoriser une contre-attaque, on lui a dit que « l'attaque » était une illusion causée par « une erreur informatique dans le système ».

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    À 2 h 26 le 3 juin 1980, le colonel William Odom du Commandement aérien stratégique a alerté le conseiller à la sécurité nationale Zbigniew Brzezinski que le système d'alerte nucléaire américain avait détecté une attaque nucléaire imminente de 220 missiles contre les États-Unis. Peu de temps après, le système automatisé a révisé sa projection de 220 missiles à une attaque totale de 2200 missiles. Juste avant que Brzezinski soit sur le point de réveiller le président Carter pour autoriser une contre-attaque, on lui a dit que « l'attaque » était une illusion causée par « une erreur informatique dans le système ».

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    À 2 h 26 le 3 juin 1980, le colonel William Odom du Commandement aérien stratégique a alerté le conseiller à la sécurité nationale Zbigniew Brzezinski que le système d'alerte nucléaire américain avait détecté une attaque nucléaire imminente de 220 missiles contre les États-Unis. Peu de temps après, le système automatisé a révisé sa projection de 220 missiles à une attaque totale de 2200 missiles. Juste avant que Brzezinski soit sur le point de réveiller le président Carter pour autoriser une contre-attaque, on lui a dit que « l'attaque » était une illusion causée par « une erreur informatique dans le système ».

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    Nous avons un objectif beaucoup plus important. Nous devons regarder à long terme ici. Ceci est un exemple - la situation entre les Nations Unies et l'Irak - où les Nations Unies s'introduisnt délibérément dans la souveraineté d'une nation souverain .... Maintenant, c'est un merveilleux précédent (à utiliser dans) tous les pays du monde.

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    À 2 h 26 le 3 juin 1980, le colonel William Odom du Commandement aérien stratégique a alerté le conseiller à la sécurité nationale Zbigniew Brzezinski que le système d'alerte nucléaire américain avait détecté une attaque nucléaire imminente de 220 missiles contre les États-Unis. Peu de temps après, le système automatisé a révisé sa projection de 220 missiles à une attaque totale de 2200 missiles. Juste avant que Brzezinski soit sur le point de réveiller le président Carter pour autoriser une contre-attaque, on lui a dit que « l'attaque » était une illusion causée par « une erreur informatique dans le système ».

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    Tant que les deux superpuissances nucléaires maintiennent des arsenaux dans des dizaines de milliers d'ogives nucléaires, il n'y a aucun moyen qu'ils puissent avec une cohérence que d'autres nations ne soient pas autorisées à acquérir ces armes.

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