Stefon Harris (né le 23 mars 1973) est un vibraphoniste américain de jazz. En 1999, le Los Angeles Times  dit de lui qu'il est « l'un des plus importants artistes de jazz ».
Il est très demandé en sideman dans plusieurs groupes : Stefon Harris a joué avec Kenny Barron, Steve Turre, et Charlie Hunter et a enregistré plusieurs disques en sideman et en leader.

Je pense que tout revient à l'individu. Mon instrument est juste un tas de métal et de bois! Si vous écoutez la façon dont je parle, j'ai beaucoup de rythme, utilisez beaucoup d'accents. Quand je joue mon instrument, ce concept passe très clairement. En fait, certaines personnes qui m'ont vu jouer ont remarqué que je chante - mais c'est plus que je parle. Il ne s'agit donc pas vraiment de l'instrument. Mais pour moi, dans ma pensée, la musique est une question de mélodie. Quand je me compose, 99% du temps, je commence par la mélodie.

L'Italie a une excellente nourriture et Barcelone a une grande énergie.

Si vous écoutez la façon dont je parle, j'ai beaucoup de rythme, utilisez beaucoup d'accents. Quand je joue mon instrument, ce concept passe très clairement.

Être à la maison avec ma famille m'inspire toujours. J'ai du mal à être inspiré quand je suis en déplacement. Je ne suis pas créatif quand je suis en décalage horaire et que je dors dans des hôtels étranges.

L'une des choses que je suis catégorique en tant que chef d'orchestre n'est pas la microgestion. Je suis un défenseur du concept de permettre à chacun d'être pleinement dévolu à ce qu'il fait, donc tout le monde contribue à ce qu'ils soient inspirés pour contribuer.

Si je joue la mélodie, même si je le joue d'une manière abstraite, c'est instantanément reconnaissable. Même lorsque j'étudiais pour être un percussionniste classique, je pense que j'étais un percussionniste plus lyrique; Melody est le cœur et l'âme de la musique.

Miles Davis est une influence majeure à moi en ce qui concerne la façon dont je suis en tant que chef d'orchestre.

Je suis une personne spa. Les massages me gardent détendue, alors j'essaie toujours de prendre du temps pour eux quand je fais des tournées.

J'écoute beaucoup de chanteurs, car je trouve que le phrasé est l'un des éléments les plus essentiels du jeu.

L'Italie a une excellente nourriture et Barcelone a une grande énergie

J'ai grandi dans le centre-ville, écoutant Stevie Wonder, Donny Hathaway, James Brown, les Commodores - beaucoup de musique soul.

J'adore Amsterdam. La ville est vibrante et vivante. C'est frais et tellement ouvert. C'est définitivement l'un de mes endroits préférés.

Je ne vois pas vraiment d'énormes barrières entre les styles de musique.

Je ne vois pas vraiment d'énormes barrières entre les styles de musique. Ma définition de la musique est «l'organisation du son et du silence en émotion», et c'est une définition très large.

Ce qui se passe lorsqu'une forme d'art devient ambiguë, je pense, c'est que les normes sont abaissées. Vous pouvez dire que tout est du jazz. Je pense donc qu'il est important de réfléchir à ce qui a rendu le jazz si spécial.

En fin de compte, ce que nous faisons en tant que musiciens, je considère que nous comme un type d'ingénieur émotionnel. Nous prenons essentiels à ces ondes sonores, ce son, et nous l'organisons en émotion, et c'est ainsi que nous nous connectons avec notre public.

L'une des choses que je suis catégorique en tant que chef d'orchestre n'est pas la microgestion. Je suis un défenseur du concept de permettre à chacun d'être pleinement dévolu à ce qu'il fait, donc tout le monde contribue à ce qu'ils soient inspirés pour contribuer. Notre musique ne concerne pas moi; Je contribue une partie, une expérience, et le batteur Terreon Gully apporte quelque chose de complètement différent.

Je pense que lorsque vous regardez les différentes époques du jazz, ce qui mène de l'un à l'autre n'est jamais une révolution mélodique, mais une révolution rythmique.

Il s'agit d'être ici dans l'instant, d'accepter mutuellement et de permettre à la créativité de couler.

La façon dont je regarde la musique, ce qui m'intéresse n'est pas nécessairement la créativité - à bien des égards, je pense que la créativité est surfaite, en fait. Ce que je pense est important, c'est l'authenticité. Je veux entendre de la musique qui a la résonance du peuple. Je veux entendre de la musique qui en est une amplification. Parce qu'alors, je peux découvrir les gens. Mais parce que la musique est devenue si institutionnalisée, tout le monde apprend et régurgite le même matériel de la même manière.

J'ai appris à lire de la musique à un très jeune âge, alors quand j'ai commencé à prendre des cours à l'école, les professeurs me donnaient d'autres instruments pour me tenir occupé, car j'étais plus avancé que les autres enfants.

Le kiosque à musique est un espace incroyable. C'est vraiment un espace sacré. L'une des choses qui est vraiment sacrée à ce sujet est que vous n'avez aucune possibilité de penser à l'avenir ou au passé.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Stefon_Harris

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