Séjournant en Provence au début des années soixante, Natasha et son mari le poète Stephen Spender tombent sous le charme d'une ferme en ruine dans les Alpilles, près du village de Maussane. Quelques années plus tard, ils en deviennent propriétaires. Commencent alors la restauration du "mas Saint-Jérôme" et - surtout pour Natasha qui s'y consacre particulièrement - l'histoire d'un magnifique jardin qu'il faut concevoir, aménager, entretenir malgré la pauvreté du sol, le manque d'eau et la difficulté d'acclimater certaines plantes... Ce défi, Natasha Spender le relève avec patience, guidée par une intuition sûre et un engouement pour la Provence, encouragée par ses amis célèbres ou moins connus : gens du pays ou résidents, amateurs de jardins qui, aussi passionnés qu'elle, rivalisent d'imagination et d'enthousiasme. Nourri de souvenirs, de rencontres (Léonard Woolf, Iris Murdoch, Francis Bacon...), de documents anciens (archives de Stephen Spender) et de photographies contemporaines (Jean-Marie del Moral), le livre de Natasha Spender nous invite à pleinement entrer dans le bonheur de créer son jardin.

Un jardin anglais en Provence

Après plus d'un demi-siècle, un manuscrit refait surface, rendant à son auteur l'écho de ses vingt ans.
 C'est l'université du texas qui conservait le temple de stephen spender, roman écrit en 1929 et que les éditeurs refusèrent à l'époque pour cause de pornographie.  certes, l'ouvrage crie très haut la joie de vivre et la difficulté d'être durant l'entre-deux-guerres, ce long été de la saint-martin oú somnolait la république de weimar.  mais l'adolescent anglais qui découvrait hambourg pressentait la venue de l'orage.
 Raison de plus pour mettre les bouchées doubles, avec ses amis : w. h.  auden, christopher isherwood (qui tirera de son apprentissage allemand l'adieu à berlin dont sortira l'illustre cabaret).  ayant relu, corrigé, complété, son tout premier livre, spender lui permet d'enfin voir le jour.  et le lecteur s'émerveille d'entendre une voix si fraîche et si grave célébrer le bonheur fragile d'un monde qui court à sa perte.

Le temple

Stephen Spender: Autobiographie, 1909-1950

Journaux - 1939-1983

César, natures mortes - Hommage à Morandi

Stephen Spender, né le 28 février 1909 à Kensington et mort le 16 juillet 1995 à Westminster, est un poète, romancier et essayiste britannique fortement engagé dans l'action pour la justice sociale et connu pour ses idées sur la lutte des classes.

Un poète anglais écrit, je pense, juste pour les gens qui s'intéressent à la poésie. Un poète américain écrit et estime que tout le monde devrait l'apprécier. Puis il a un profond sentiment de grief. . .

Car je m'attendais à ce que la luminosité toujours de la confiance soit en confiance, une dernière innocentesse à l'exception de la poussière

Cult: Simplement une extension de l'idée que l'objectif suprême de chacun dans la vie est l'auto-épanouissement et le bonheur et que l'on a le droit de détruire le mariage, les enfants et certainement sa santé et sa santé dans la poursuite de cela.

Lorsque vous lisez et comprenez un poème, comprenant ses significations riches et formelles, alors vous maîtrisez un peu le chaos.

Paul Valery parle de la «Une Ligne Donnee» d'un poème. Une ligne est donnée au poète par Dieu ou par nature, le reste qu'il doit découvrir par lui-même.

Dans les salles de chemin de fer, sur les trottoirs près de la circulation, ils supplie, leurs yeux se sont rendus grands par des regards vides et seulement du temps de mesure, comme l'horloge vide. Non, je ne tisrai aucun entrelacier de stylo pour faire des oiseaux sur mon arbre de chant: le temps conduit simplement ces vies qui ne vivent pas alors que les marées poussent des trucs pourris le long du rivage.

J'ai donc appris à les deux à m'accepter et à viser au-delà de moi

L'histoire est le navire transportant des souvenirs de vie vers le futur.

L'arc en fer du voyage évitant recule sur ma faiblesse à la fin; Que la légère lumière étincelle contre mon visage ou dans l'obscurité, ma vue se cache de ma vue, du centre et de la circonférence est à la fois ma faiblesse.

Le seul véritable espoir pour la civilisation - la conviction de l'individu que sa vie intérieure peut affecter les événements extérieurs et que, qu'il le fasse ou non, il en est responsable.

HISTOIRE HAS Tongues Has Angels Has Guns a sauvé a salué aujourd'hui les proclamation des réalisations de ses exilés sont restés depuis longtemps plus sans racine, pour qui sa page imprimée glaçait leurs années de déchets meurtris dans un ciel présent d'équilibrage.

Il y a une certaine justice dans la critique. Le critique est comme une sage-femme - une sage-femme tyrannique.

La grande poésie est toujours écrite par quelqu'un qui s'efforce d'aller au-delà de ce qu'il peut faire.

Je pense continuellement à ceux qui étaient vraiment géniaux. Qui, de l'utérus, se souvenait de l'histoire de l'âme à travers des couloirs de lumière où les heures sont des soleil, sans fin et chantant. Dont la belle ambition était que leurs lèvres, toujours touchées par le feu, devraient raconter l'esprit vêtu de tête aux pieds dans la chanson.

La religion se dresse, l'église bloquant le soleil.

Impliqué dans mes propres entrailles et une croûte tournant une surface piquée vers un espace, je suis un monde qui regarde à travers un ciel et est persuadé par les miroirs de considérer son être comme une coquille externe, l'une d'un univers d'étoiles et de visages.

Si vous arrivez à un certain âge, tout ce que les gens veulent savoir pour vous, ce sont les gens que vous connaissiez. ... Un étudiant américain m'a dit un jour, vous savez, n'est-ce pas extraordinaire que je sois vivant et que vous n'êtes pas mort.

Quand un enfant, mes rêves ont roulé sur vos souhaits, j'étais votre fils, haut sur votre cheval, mon esprit un sommet fouetté par les cils de votre rhétorique, Windy bien sûr.

J'ai du mal à la fin pour sortir de la vallée de la jeunesse Hectoring, de l'âge du moyen journaliste, de l'imposture, de l'argent, des relations publiques, de la mauvaise écriture, de la confusion mentale.

Si Rilke se rasait, il saignerait la poésie.

Ma seule paire d'yeux contient l'univers qu'ils voient; Leur multiplicité en miroir est emballée dans un corps creux où je reflète celui, dans mon seul.

Je pense à ceux qui étaient vraiment géniaux. Les noms de ceux qui dans leur vie se sont battus pour la vie, qui portaient dans leur cœur le centre du feu.

Toutes les affiches sur les murs Tous les tracts dans les rues Sont mutilés, détruits ou coulent sous la pluie, Leurs mots s'effacent de larmes, Les peaux se décollent de leurs corps Dans l'ouragan victorieux.

Un poète doit s'adapter, plus ou moins consciemment, aux exigences de sa vocation, et donc aux particularités des poètes et à la condition d'inspiration dont beaucoup ont dit qu'elle était proche de la folie... Le problème de l'écriture créative est essentiellement un de concentration... une focalisation de l'attention d'une manière particulière.

Un type de concentration est immédiat et complet, comme il l'était avec Mozart. L'autre est en train de plonger et n'a terminé qu'aux étapes, comme avec Beethoven. Ainsi, Genius travaille de différentes manières pour atteindre ses extrémités.

Je pense continuellement à ceux qui étaient vraiment géniaux.

Mes frères et sœur et moi avons été élevés dans une atmosphère que je décrirais comme une «décadence puritaine». Le puritanisme nomme le comportement qui est condamné; La décadence puritaine considère le nom lui-même comme indécent et prétend que l'objet derrière ce nom n'existe pas avant son nom.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Stephen_Spender

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