De retour d'Egypte avec sa femme Bethesda, Gordien, qui s'est retiré de son premier métier d'enquêteur privé, se trouve dans l'incapacité de refuser la demande de Calpurnia, la femme de César. En effet, celle-ci, préoccupée par des rêves lui prédisant un désastre et craignant un complot contre la vie de son mari, a décidé d'engager quelqu'un afin d'enquêter sur ces rumeurs. Mais cette personne, un ami proche de Gordien, vient tout juste de mourir, assassinée sur le pas de sa porte. Avec les quatre Triomphes organisés en l'honneur des victoires militaires de César prévus dans les jours prochains, et César plus que jamais exposé au danger, Calpurnia souhaite que Gordien fasse le jour sur ces rumeurs de conspirations avant qu'il ne soit trop tard. N'étant pas un partisan de César, Gordien accepte tout de même de lui venir en aide, mais dans le seul but de découvrir qui a tué son ami.

Le triomphe de César

Rome, 48 av. J.-C. Elle est belle, prétend avoir oublié son passé, est considérée comme folle et entre dans des transes spectaculaires avant de proférer d'impressionnantes prophéties. On l'appelle Cassandre. Le jour où, sur le marché du Capitole, la jeune pythie expire dans les bras de Gordianus, en murmurant " elle m'a empoisonnée ", le limier le plus célèbre de Rome décide d'enquêter. Sa curiosité redouble lorsque sept femmes parmi les plus riches, les plus éminentes et les plus puissantes de Rome, dissimulées derrière les rideaux de leur litière, arrivent à la nécropole avec leur suite pour assister à la crémation. Quel était donc le lien entre ces patriciennes et la mystérieuse inconnue ?

La dernière prophétie (Roma Sub Rosa, #9)

Rome, 48 avant J-C. Elle est belle, prétend avoir oublié son passé, est considérée comme folle, et entre dans des transes spectaculaires avant de proférer d'impressionnantes prophéties. On l'appelle Cassandre. Le jour où, sur le marché du Capitole, la jeune pythie expire dans les bras de Gordianus, en murmurant " elle m'a empoisonnée ", le limier le plus célèbre de Rome décide d'enquêter. Sa curiosité redouble lorsque sept femmes parmi les plus riches, les plus éminentes et les plus puissantes de Rome, dissimulées derrière les rideaux de leur litière, arrivent à la nécropole avec leur suite pour assister à la crémation. Quel était donc le lien entre ces patriciennes et la mystérieuse inconnue ? Tandis que Jules César et Pompée continuent de se livrer une guerre sans merci dans les territoires les plus éloignés de l'empire que menace le chaos, la capitale est livrée aux espions, aux intrigues et aux trahisons. La huitième aventure de Gordianus, le privé le plus sagace de l'ancienne Rome.

La dernière prophétie

" Alea jacta est. " César a franchi le Rubicon et les Romains, gouvernés par son rival Pompée, tremblent pour l'avenir de leur cité. Patriciens et sénateurs fuient la ville pour échapper aux armées du proconsul, la laissant sans défense contre bandits et pillards.
Dans pareil chaos, un assassinat pourrait presque passer inaperçu, sauf quand la victime est apparentée à Pompée lui-même. Le grand homme fait alors appel à Gordianus pour retrouver le meurtrier, et le fin limier plonge dans la tourmente.
Mais dans une république agonisante, à l'aube de la guerre civile d'où naîtra l'Empire, les alliances politiques brouillent les cartes : qui a tué le messager ? Un proche de César ? de Pompée ? Quel rôle joue Cicéron dans la machination qui menace son ami ?
Steven Saylor ressuscite les grandes figures romaines avec une étonnante virtuosité, et entraîne ses personnages dans une intrigue passionnante, sur un arrière-fond historique magistralement documenté.

Rubicon

Meurtre sur la voie appia

L'etreinte de nemesis

Une glaciale soirée de janvier 56 avant notre ère. Un couple étrange se glisse dans les rues enténébrées de Rome. La " femme " n'est autre que le distingué Dion d'Alexandrie, philosophe, maître et membre estimé de l'Académie, envoyé par l'Egypte à Rome à la tête d'une ambassade. Quant au " jeune homme ", c'est un prêtre eunuque du temple de Cybèle. Ils se hâtent vers la demeure de Gordien, détective dans la haute société romaine. Si le philosophe est ainsi accoutré, c'est qu'il craint pour sa vie : au cours des derniers jours plusieurs membres de sa délégation ont été assassinés. Mais, avant que le coq ne chante, Dion aura cessé de vivre.
Une femme aussi magnifique que sulfureuse charge Gordien de confondre les meurtriers. Le détective va se retrouver précipité dans l'enquête la plus dangereuse et la plus déroutante de sa carrière. Gordien croit enquêter sur un crime politique mais, en approchant les sphères élevées de Rome, il s'introduit dans les recoins les plus glauques de la Ville, où règne une extrême débauche... Il y retrouve la belle et vénéneuse Clodia, le brillant avocat et orateur Cicéron, le poète de l'amour Catulle...
Plus que jamais, le voile de Vénus-Isis qu'il sera amené à soulever lui révèle que les apparences ne sont pas la réalité.
Quand les secrets du cœur se confondent avec les secrets d'Etat, c'est la tête de Gordien qui tourne... et celle du lecteur, emporté dans une course tourmentée et tumultueuse.
Un roman historique passionnant, où la grande tradition policière est savoureusement mise en relief par la vie quotidienne de la Rome antique, reconstituée avec une érudition et un souci du détail remarquables. Un régal...

Un Égyptien dans la ville

Les Mysteres De Rome Tome 1 : Du Sang Sur Rome

Même le roman le plus grossier et le plus dérivé est une expression des espoirs et des peurs et des idées de l'auteur sur le bien et le mal.

N'écrivez pas ce que vous savez, mais sachez ce que vous écrivez. Si vous écrivez sur un monde auparavant, après ou autre que celui-ci, entrez complètement ce monde. Recherchez-le pour trouver vos aspirations les plus profondes et vos peurs les plus terribles. Laissez l'imagination vous porter aussi loin que possible, tant que vous racontez le voyage avec excitation et émerveillement. Mais c'est la règle la plus importante: écrivez le livre que vous avez le plus longtemps à lire.

Certains hommes sont une chose à la surface et un autre en dessous. Le vrai poète montre non seulement l'extérieur de son sujet, mais toutes les contradictions à l'intérieur, et permet au lecteur de tirer ses propres conclusions.

L'écriture d'un premier roman demande tellement d'efforts, avec si peu de promesse de résultat ou de récompense, qu'il doit nécessairement être un travail d'amour limite de la folie.

L'enquête d'Adrienne Mayor sur le mythe - et la réalité surprenante - des femmes amazones commence avec la féroce chasseresse grecque Atalanta, mais nous emmène profondément dans le passé et aussi loin que la Grande Muraille de Chine. Avec la curiosité insatiable et l'érudition méticuleuse qui sont devenues sa marque de fabrique, l'auteur a une fois de plus trouvé un vide dans ma bibliothèque et l'a comblé, admirablement.

Quand j'étais un garçon, mon grand-père m'a appris la liste des rois: Romulus, Numa Pompilius, Tullus hostilius, ancus marcius, tarquinius l'aîné, Servius Tullius. Tarquinius le fier était d'être le dernier, le tout dernier, chassé et remplacé pour toujours par quelque chose appelé une république. Une moquerie! Une erreur! Une expérience qui a échoué! Aujourd'hui est le dernier jour de la République. Demain, les hommes crieront dans le forum: «Tous les roi de la grêle Coriolanus!

Toute écriture est un acte d'auto-exploration. Même une liste de courses dit quelque chose sur vous ; que dit un roman de plus ?

En politique, la réalité et l'apparence sont de même importance. Vous ne pouvez pas y assister et négliger l'autre. Un homme doit déterminer à la fois ce qu'il est et ce que les autres le croient.

Nous avons tous beaucoup de gens en nous, mais nous ne vivons qu'une seule vie. La fiction nous permet de nous glisser dans la peau de quelqu'un d'autre, pour ainsi dire. C’est pourquoi nous lisons des romans, et aussi pourquoi nous les écrivons - pour vivre plus de vie, à travers l’imagination.

Je suis comme le peintre avec son nez sur la toile, en train de faire des détails. En regardant à distance, le lecteur voit la vue d'ensemble.

Il y a un bel sentiment de liberté qui vient de l'errance d'une ville familière sans destination particulière, sans personne à rencontrer, sans obligations, aucune obligation. Je n'avais rien à faire et un millier de rues sans nom et ensoleillées pour le faire.

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