NEW YORK TIMES BESTSELLERThe New York Times bestselling author of Compromising Positions returns at her sexy and satiric best, with a novel that blends sex, politics, and family craziness Marcia Green is a sophisticated, witty, successful New Yorker, a whiz of a political speech writer, a woman who finds a smoke-filled room more intoxicating than a magnum of champagne. Her private life is a little less bubbly. She has a passionate but not very promising live-in relationship with her boss's dashing chief of staff, Jerry Morrissey. He offers her only a good time-but what a time! Can Marcia resist when a new man arrives on the scene, a man who is exactly the sort her family wants her to marry-bright, kind, attractive, wealthy, and charming-in short, too good to be real? Marcia is determined to find the right kind of man, as well as the right kind of life. Compelling and entertaining, Close Relations is about the things that are vital to all of us, about men and women, about sex, money, work, family values and about what we need most in today's world-close relations.

Close Relations

NEW YORK TIMES BESTSELLER Susan Isaacs brings her wicked wit and keen understanding of what really goes on between men and women to a very different slice of Long Island-the Hamptons. Magic hour. That perfect time, that fleeting hour of enchanted light near dusk and dawn that is perfect for moviemaking, perfect for making love. Perfect for murder. And into the magic hour steps Stephen Brady, wise guy, tough guy, local farm boy turned homicide cop, and a good man with a very bad life. But just as his luck is about to change, the rich, gifted, and urbane filmmaker Sy Spencer is murdered, and Brady discovers that his prime suspect is a woman he and the victim shared. A spellbinding mystery, a scathing social satire and a poignant love story, Magic Hour looks beyond the trendy magazine-cover Hamptons' world of the summer set's high-cheekboned elegance and the locals' down-on-the-farm authenticity into the hearts of real people. Magic Hour is the story of the treacherous murder that rocks them all and of the police detective who is too cold-hearted, too world-weary to ever fall in love-until he does.

Magic Hour

Un soir d'Halloween, Courtney Logan, paisible mère de famille, disparaît mystérieusement de sa maison de Long Island... Jusqu'à ce jour de printemps où le jardinier retrouve son cadavre dans la piscine, deux balles en pleine tête ! La police suspecte son mari, Greg Logan. Seule Judith Singer, professeur d'histoire en mal d'action, ne croit pas en sa culpabilité. Certes, elle ne connaît pas Greg, mais son intuition ne la trompe jamais. Jadis, elle a déjà résolu une énigme de ce genre ; ce fut une aventure très excitante. Alors, c'est décidé, Judith mènera l'enquête et interrogera tout l'entourage des Logan. De Wall Street à SunValley, le fantôme de Courtney risque de l'entraîner plus loin qu'elle ne l'aurait imaginé...

Tout doit disparaître

Tout doit disparaitre

Ce cher disparu

Le style n'est pas mon long costume, mais je suis vraiment fasciné par lui.

Tout le monde a les premiers fantasmes de fiction, mais ce n'est que lorsque mon deuxième enfant Betsy est né que j'ai permis à l'envie d'écrire une nouvelle bulle.

Avec mon métabolisme de la classe moyenne, les banlieues étaient là où j'ai toujours voulu être.

Je déteste quand les gens disent: «Oh, ils ont ri jusqu'à la banque». C'est un non-sens parce que les gens les plus cyniques et les plus mécontents sont des scénaristes hollywoodiens. Ils gagnent des centaines de milliers de dollars par an pour un travail qui n'est jamais fait.

Ce n'est pas que je suis apolitique ... Dans ma jeunesse, j'étais un rédacteur politique indépendant, qui m'a beaucoup appris sur l'écriture de fiction, je dois ajouter.

Je ne peux écrire que environ deux ou trois pages de fiction par jour.

Quant à écrire des romans, c'est ce que je fais depuis une trentaine d'années. Je ne peux pas dire d'un coup que je vais me mettre au golf. J'ai besoin de quelque chose dans ma vie. Tant que je peux écrire une phrase cohérente, je m'y tiens.

Être romancier est la version adulte d'un enfant créant un monde imaginaire. Mais contrairement à un enfant, un écrivain de fiction doit proposer une histoire structurée, qui a autant de sens pour les autres que pour elle.

J'ai dû aspirer à un contenu juif au-delà de mon maquillage génétique parce que peu de temps après mon 21e anniversaire, j'ai remarqué que je ne sortais plus dans les guêpes.

Je n'ai jamais échoué à rien dans la fiction.

Pour un romancier, quoi qu'il arrive, c'est une œuvre complète, même si elle n'est pas publiée. Mais si vous écrivez un scénario, et qu'il n'est pas joué, alors c'est une expérience triste et frustrante.

J'adore être un grand-parent. Je fais partie de ceux que vous voulez éviter - je retire l'iPhone et dis: "Hé, tu veux voir mon appareil photo rouler?"

Notre culture est tellement obsédée par les célébrités que pour que les individus montrent qu'ils comptent, ils doivent afficher leur intimité à la gloire.

J'aime montrer aux gens ordinaires réagissant à des circonstances extraordinaires. C'est une opportunité pour l'aventure, et j'aime que les femmes aient des aventures. Il y en a beaucoup trop peu avec les femmes.

Nous avons rejoint une synagogue conservatrice. J'ai commencé à apprendre en m'engageant, en apprenant par cœur et en lisant. Soudain, je me suis sentie à ma place... enfin, dans la mesure où un romancier peut avoir l'impression de faire partie d'un groupe ; nous faisons peut-être partie d'un minyan, mais nous ne nous fondons pas complètement dans la communauté.

J'ai une telle admiration pour Whoopi Goldberg en tant qu'actrice et personne intelligente générale.

Ce n'est pas un hasard si j'ai commencé à écrire le jour où ma fille a commencé l'école. Je savais tout ce que je savais avant de commencer à écrire, mais je élevais deux enfants et je n'avais pas le temps de me rendre à la machine à écrire.

Il y a tellement de mondes différents à Long Island. C'est pourquoi c'est si fascinant. Entre Great Neck et Montauk, il y a 10 000 mondes.

Au début, je voulais vraiment être à la maison avec mon enfant. J'étais un produit de ma génération. Mais dans la banlieue, vous êtes très isolé, vraiment seul.

Mon premier roman, «Compromissing Positions», a été un Whodunit. Le protagoniste était une femme au foyer juive de Long Island qui devient un enquêteur privé. Mais elle était juive comme je l'étais: allumer les bougies du sabbat mais enviant les options de décoration de décembre de ses amis protestants et catholiques.

Je voulais être une cow-girl ... mais, vous savez, il m'a été souligné que, vous savez, en grandissant à Brooklyn, il n'y avait pas beaucoup d'occasions ... pour la cow-girly.

Ce n'est pas tout «Jane Eyre» là-bas. Dans sa manière douce, honorable, légèrement passive-agressive, Jane était aussi parfaite qu'un protagoniste peut obtenir tout en restant intéressant; En fait, elle est l'une de mes préférées. Mais la plupart des personnages sont plus moralement ambigus.

Il y a des jours où je perds la trace du temps, de la place, de tout le reste, parce que j'ai été transporté dans un autre univers.

Je me considère comme des biographies d'écriture, l'histoire complète de la vie de quelqu'un.

Tout comme vous pouvez accepter que Mlle Marple va prendre le thé avec le vicaire, il n'y a aucune raison pour que Long Island ne puisse pas avoir une universalité.

J'ai toujours été le bizarre qui voulait avoir un service égalitaire dans la synagogue et a senti que j'allais toujours à l'encontre du grain.

Ses oeuvres

Ses derniers livres