D'Azzedine Alaïa, Cristóbal Balenciaga et Coco Chanel à Alexander McQueen, Yves Saint Laurent et Vivienne Westwood, cette nouvelle édition de Fashion Designers A-Z rend hommage aux grands noms qui ont signé la mode durant plus d'un siècle à travers les collections permanente du musée du Fashion Institute of Technology de New York.
Cet recueil mis à jour et plus accessible rassemble des photographies de centaines de vêtements choisis parmi les collections permanentes du musée. Robe du soir précieuse en velours brodé ou minimalisme chic à la Mondrian, chaque pièce a été sélectionnée pour sa beauté bien sûr, mais aussi pour son intérêt, en ce qu'elle est l'incarnation de la philosophie ou du style d'un des créateurs évoqués.
L'ouvrage est introduit par la directrice et conservatrice en chef du musée, Valerie Steele, qui raconte le développement des musées consacrés à la mode et l'émergence de l'exposition de mode comme phénomène populaire et controversé. La préface de la prêtresse du style Suzy Menkes ainsi que les textes signés par les conservateurs du musée reviennent sur le contexte historique de chaque marque et pièce présentées, tandis que les portraits de l'artiste Robert Nippoldt rendent hommage à ces grands créateurs.

Créateurs de mode A-Z (40e édition)

D'Azzedine Alaïa, Cristóbal Balenciaga et Coco Chanel à Alexander McQueen, Yves Saint Laurent et Vivienne Westwood, cette nouvelle édition de Fashion Designers A-Z rend hommage aux grands noms qui ont signé la mode durant plus d'un siècle à travers les collections du musée du FIT de New York.

Quinze nouveaux noms de cette industrie prestigieuse, dont Phoebe Philo, Patrick Kelly et Sonia Rykiel, sont venus rejoindre les rangs de cet ouvrage mis à jour et enrichi, qui présente près de 500 vêtements choisis dans les collections permanentes du musée. Robe du soir précieuse en velours brodé ou minimalisme chic à la Mondrian, chaque pièce a été sélectionnée et photographiée pour sa beauté bien sûr, mais aussi pour son intérêt, en ce qu'elle est l'incarnation de la philosophie ou du style d'un des créateurs évoqués.

L'ouvrage est introduit par la directrice et conservatrice en chef du musée, Valerie Steele, qui raconte le développement des musées consacrés à la mode et l'émergence de l'exposition de mode comme phénomène populaire et controversé. La préface de la prêtresse du style Suzy Menkes ainsi que les textes signés par les conservateurs du musée reviennent sur le contexte historique de chaque marque et pièce présentées, tandis que les 125 portraits de l'artiste Robert Nippoldt rendent hommage à ces grands créateurs.

Fashion designers A-Z ; updated edition

Elsa Schiaparelli and The Artists

Au milieu des années 1990, lorsque j'ai cessé de devoir courir des spectacles au laboratoire de développement du film et j'ai vu pour la première fois des images numériques, j'ai béni la technologie et j'ai été convaincu que ma vie professionnelle changeait pour le mieux.

Je ne suis pas un thésauriseur, mais ma garde-robe est l'antithèse de la mode rapide. J'achète des vêtements - beaux en looks et en faisant - pour durer. À l'origine, j'ai stocké des choses comme Ossie Clark parce que je ne pouvais pas supporter de me séparer de ces trésors.

J'ai été emmené à mon premier défilé de mode - Nina Ricci Haute Couture - à Paris par la princesse russe blanche, sur sa chance, avec laquelle je fais de mone à Paris en 1963. J'ai été captivé par le glamour du salon doré, l'élégant vêtements et le public des grandes dames.

Au Times, tous les journalistes de chaque sujet ont suivi les mêmes règles et étaient censés répondre aux mêmes normes, donc je n'ai jamais vraiment pensé à l'écriture de la mode comme étant dans une bulle.

Seules les sociétés FAT-CAT peuvent vraiment se permettre de présenter deux émissions méga-prêtes à porter un an, ou quatre si vous ajoutez deux spectacles de haute couture, ou six si vous comptez les vêtements pour hommes. Le complexe et le préfabrication poussent le nombre à huit. Quelques spectacles promotionnels en Asie, au Brésil, à Dubaï ou à Moscou peuvent porter le décompte à 10.

La façon dont les gens s'habillent les font partie d'une armée, vêtue de leur propre uniforme, déterminée à faire quelque chose

Je suis ravi de devenir éditeur international de «vogue» chez Conde Nast International, qui a un véritable engagement envers l'excellence journalistique et d'avoir l'occasion d'écrire pour un public mondial plus large à travers les sites Web de «vogue».

Mes vêtements sont fabuleux - colorés, amusants et par certains designers très spéciaux. Ils méritent une vie meilleure que d'être des beautés endormies dans un lit de tissus à l'intérieur d'un coffre.

Je ne suis pas dérangé par la surface de la mode. Je le trouve assez excitant!

Je pense qu'il y a une sorte d'agonie avec tous les designers intelligents et très créatifs que ce n'est que la mode, qu'en fin de compte, ce ne sont que les arts décoratifs. J'avais le sentiment vers la fin que Saint Laurent et Berge étaient très désireux d'atteindre cette immortalité que beaucoup de designers aspirent. Vous savez, ces expositions sans fin.

Les designers naissants ont besoin d'investissements - mais à quel point il est plus facile de les mettre dans des chaussures de mort ou de femme, peut-être aussi soutenir la ligne homonyme du nouveau designer, mais seulement comme ce que les Français appellent un `` Danseuse '', un jeu de jeu.

Je me suis toujours séparé de mes critiques des collections. Mon jugement ne concerne pas si je le porterais - mais comment la collection se situe dans le lexique d'un designer établi. Comme je suis maximaliste, pas un minimaliste, je ne porte pas Armani ou Céline - mais j'apprécie tellement ce qu'ils ont accompli.

La façon dont les gens s'habillent les font partie d'une armée, vêtue de leur propre uniforme, déterminée à faire quelque chose.

Je pense qu'il y a trop de mélange de mode et d'intellect. La mode est finalement conçue pour couvrir le corps humain, pour vous donner de la joie, pour vous faire sentir mieux. Je ne pense pas qu'il doit avoir une grande signification intellectuelle.

Je ne crois pas vraiment à l'élégance. Depuis que je suis venu en France il y a de nombreuses années pour faire le cours de Chambre Syndicale, j'ai toujours senti que je manquais en quelque sorte, tout d'abord étant britannique - évidemment un désastre! Mais j'ai également été perplexe avec cette idée que vous devez attacher votre écharpe Hermès juste, ou vous ne pouvez porter que du noir.

Il y a quelque chose de triste dans les vêtements posés dans un tombeau de troncs.

Je trouve que certaines collections sont plus dynamiques que d'autres, mais les designers qui durent ceux qui sont capables de continuer à être créatifs dans le moule qu'ils ont jeté, généralement au début de leur carrière.

Les smartphones sont si fabuleux à bien des égards que cela semble stupide d'être nostalgiques à l'époque où une image n'a pas fait le tour du monde en nanoseconde.

Les Romanov sont dépassés par les Maharajahs indiens alors que les héritières américaines choisissent les carcasses de l'empire déchu.

J'ai été formé en tant que journaliste à ne jamais utiliser le mot «je», jamais pour y mettre ma propre opinion. En fait, si vous aviez un dollar ou un euro pour chaque fois que j'utilise le mot «je», vous seriez une personne pauvre. Mais ce n'est pas vrai en général. J'aime l'idée de pouvoir m'éloigner et de porter un jugement.

En tant que journaliste, je ne peux m'empêcher d'imaginer avec excitation une nouvelle ère avec un face à face entre Hedi Slimane chez YSL et Raf Simons chez Dior - une magnifique bataille de style et de volontés faisant écho aux Armani/Versace, Gucci/Prada ou encore Chanel/ Les confrontations de Schiaparelli des années précédentes. Mais je me rappelle que ce n'est pas une partie d'échecs.

Je ne suis pas vraiment sûr que Diana Vreeland ait fait service à Yves Saint Laurent, par opposition au monde, en mettant cette exposition au Met en 1983. Parce que je suis sûr que Saint Laurent a commencé à regarder en arrière son propre travail. Vous voyez cela avec des artistes, n'est-ce pas? Une fois qu'ils ont obtenu leur première rétrospective, il leur est vraiment difficile de faire avancer.

Avec une société mondiale faim de luxe, la distribution et les chaînes d'approvisionnement sont désormais aussi importantes pour les cadres qu'une sensation pratique pour les produits.

L'élément le plus puissant est qu'un concepteur doit refléter les temps. Si souvent, vous ne pouvez ressentir qu'un changement, et ne pas vraiment comprendre que bien plus tard, sa signification.

Alors que le carrousel de mode tourne plus rapidement, la préoccupation est que, bien que le flux de nouveauté ne s'épuise jamais, il y aura beaucoup plus de crash et de brûler parmi les designers à l'avenir.

Je suis reconnaissant d'avoir passé 25 ans au «International Herald Tribune» - un journal où j'ai eu un soutien inébranlable pour pouvoir m'exprimer librement et honnêtement.

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